mardi 21 décembre 2010

DU PLOMB, DU PLATRE ET DE L’EAU FRAICHE...

Mais qui sera donc l’heureux élu pour cette année 2010 ? Qui va succéder au maître de l’année 2009, Jourdanov ? L’année s’achève, l’heure est donc désormais aux bilans, bons et mauvais, aux bétisiers et autres rétrospectives des grands moment passés de janvier à décembre et bien entendu à la récompense suprême que le monde du football nous envie, le Junas de Verre, où l’élection du joueur qui aura le plus marqué de son empreinte cette année écoulée. Un peu partout dans les magazines spécialisés, de papier ou d’électronique, ce genre de votes passionne et se diversifie, des récompenses plus ou moins loufoque, le Fifa Ballon d’Or pour le meilleur joueur de l’année élu par les journalistes Européens (mon humble personne vous représentera dans cette institution…), le ballon de plomb pour le pire footballeurs Français, élu par les internautes, ça c’est pour les plus connus, mais il existe également le ballon de plâtre, pour ceux qui ont fréquentés plus souvent l’infirmerie que les terrains, et le ballon d’eau fraîche, récompensant le joueur s’étant démarqué le plus par un geste ou une attitude en contradiction avec l’image actuelle du foot-business. Quelle différence propose donc le Junas de Verre ? Un peu tout ça et rien de tout cela à la fois. D’abord, obligation première et non des moindres, avoir effectué au moins un match durant l’année avec l’équipe Foot Loisir du Junas Omnisports, ça passe juste pour certains mais ça passe pour tout le monde, ensuite s’être fait remarqué positivement, négativement ou de façon plus ou moins comique lors d’un, deux ou trois matches, un tournoi, un entraînement, une troisième mi-temps, un apéro, bref, il n’y a pas de limites à ce critère et enfin s’être montré régulier dans ce domaine là, lors de matches, d’entraînements, d’apéros, de séances de kinés, de forfaits, etc… Ces trois conditions réunis offrirons le Joueur de l’année et en guise de récompenses, le vainqueur devra ramener sa bouteille pour pouvoir être désigné Junas de Verre 2010.

Voyons désormais les chances de chacun, ou les faits d’armes des uns et des autres durant cette saison, et commençons par les favoris avec en premier lieu, et à tout seigneur tout honneur le tenant du titre, Jourdanov Ier. Après une longue absence, il redémarre la compétition en janvier, en 2010, il réussit l’exploit de dépasser les 50 mètres parcourus sur  un terrain, mais pour arriver à un tel chiffre il a fallu ajouter toutes ses statistiques de tous ses matches mis bout à bout en comptant l’échauffement et la distance du terrain aux vestiaires. Côté faits notables, signalons son but de la tête marqué lors du dernier entraînement de l’année…alors que tout le monde dégustait un agréable rafraîchissement, sa famille nombreuse comme l’atteste ses nombreux votes, environs 30 par sondage, pour l’élection du talent d’or à chaque match et un pénalty non raté, parce que non tiré, lors de la Copa du 1er mai, il reste une valeur sûre pour le Junas de Verre 2010.

Ses articles en font trembler quelques uns, plus que les filets d’ailleurs vu qu’il n’a plus touché un ballon depuis la Garden Party du mois de Juin, Willy Menes se concentre plus sur les tapis roulants, presses ou autres instruments de torture dont dispose les kinés et devrait rester dans ces salles un bon moment encore. Qui n’a pas vu son péno supersonique de la Copa, n’a rien vu cette année, certains jaloux on affirmé qu’ils ont pu lire la marque du ballon à cet instant-là, mais seul Steve Austin en aurait été capable, a tout de même marqué 9 des 12 buts de son équipe lors de l’affrontement de la Garden et de la superbe victoire des siens face aux mauvais perdants Mickey et consort, mais de ça personne s’en souvient bizarrement…Bonne présence en troisième mi-temps où malgrè sa blessure est resté une valeur sûre.

Le troisième des favoris se nomme Pascalou, 25 minutes effectués lors de toute la saison 2009/2010, il n’a pas gagné l’année passée pour la simple raison que personne ne pensait qu’il faisait partie de l’équipe, il est revenu lors de la Copa dans un rôle inhabituel de gardien de but, et remporta cette épreuve avec ses camarades de rouges…de route pardon c’est un lapsus. Un pénalty loupé lors du classico a relancé sérieusement sa candidature pour le titre, là, le gardien n’a même pas eu besoin de se salir les gants, par contre le grillage du Stadio de Congénies a eu mal…A tout de même bien stabilisé la défense et relégué le coach, enfin quand celui-ci jouait, au milieu de terrain, les gains des paris sur lui pour la victoire finale lors de ce trophée ne devrait pas vous permettre de vous offrir un verre d’eau.

Ces trois-là sont les favoris incontestables, mais parfois lors de ce genre de trophée, un outsider coiffe tout le monde sur le poteau, c’est d’autant plus possible que les critères ne seront peut-être pas tous les mêmes en fonction des votants. Les plus sérieux outsiders se nomment Diego, où comment passer de l’anonymat le plus complet à icône de tout un peuple, où du moins d’une équipe, son dégagement loupé en finale de la Copa l’a rendu à la postérité, son défilement lors de l’épisode de la piscine lors de la Garden beaucoup moins ainsi que ses interminables palabres envers les journalistes intègres. L’oiseau Diegolito est à surveiller, tout comme les deux compères Big et Mac, séparé lors du tournoi de l’année, leurs performances le furent également, lorsqu’un coach se blessait tous les matches et demi, l’autre enfilait les postes comme d’autres des 51, c’est d’ailleurs autour de ce breuvage qu’ils se retrouvent, année très correcte pour les deux lascars qui pourraient créer la surprise. Citons également Fifi, alors le Fifi est comme le Diego, il craint l’eau, beaucoup plus que le pinard, ses petites poussettes et légers (toujours) accrochages restent inimitables, comme sa potion, bien loin d’être magique… On pourrait également mettre du côté des outsiders de deuxième catégorie disons, Mickey Petit Prince, où hormis un péno provoqué en finale qui aurait dû couter la victoire aux Macs, peu de faits notable cette année, mais une constante par contre, celle de touours plus reculer sur le terrain et cette curieuse façon d’être transparent sur un terrain, surtout depuis la reprise de septembre. Son objectif majeur désormais ? concurrencer Baumettes côté fourchette, un peu présomptieux mais pas ridicule non plus, encore un effort et il l’aura sa récompense. Patou, le patator de l'équipe, il aurait quand même été judicieux de sa part de ne pas bouffer la feuille lors de la 1/2 finale de la Copa mais bon... ça a dû quand même coûter un max aux Macs. Sinon troisième mi-temps raisonnable. Christophe, la recrue de l’année est en sensible baisse sur le terrain depuis Septembre mais heureusement la Fraise ne faiblit jamais, avec ses deux kilos de moyenne par repas, il aura coûté à l’association la bagatelle de 12 cartons de 51 durant l’année, un petit retour sur investissement ne serait pas de refus du côté de la trésorerie, pourquoi pas un trophée d’honneur, histoire qui raque au moins une fois ce  pochtron, mais son principal fait d'arme de l'année, les clés dans son sac, lui sur le canapé et les potes dans le noir et le froid au stade, pourrait creer la surprise. Enfin notre dernier outsider, Brandadao O9, le roi de l’épaule contre épaule où son année fût respectable avec 128 épaules défoncés, 94 chevilles écrasées, 68 béquilles distribuées et…deux buts marqués, côté troisième mi-temps toujours là mais toujours raisonnable aussi quand même.

Enfin notre troisième catégorie, les improbables, ils ont passés l’année dans le presque anonymat, ce qui n’est pas un mal parfois bien au contraire, ou alors leur arrivée tardive les font partir d’un peu loin. Pat a sauvé quelques matches de la bérézina mais son entente avec le Coach à Aubais fût fantastique, ses absences de fin de saison pourrait tout de même lui valoir quelques votes. Juju, ce qui fît sa force par le passé est désormais son talon d’achille, la troisième mi-temps où il fût inexistant, côté terrain moins de blessures qu’auparavant, quelques prouesses dans les cages lors des rares matches effectués à ce poste et un zéro but pointé lors de la Copa, pour l’attaquant de l’équipe vainqueur, son seul fait notable de l’année,  c’est un fait à ne pas négliger mais sa victoire finale lors de ce trophée reste très improbable. Ah si Thierry M. était arrivée au mois de Mars, il n’y aurait surement pas eu de concours tant il aurait écrasé la concurrence, un match, 30 minutes, une cheville en compote, une troisième mi-temps et un apéro de fin d’année et déjà un caniveau, pas mal du tout pour un novice, s’il y avait une catégorie espoir, il ne serait pas loin de la victoire ! La Boule, par contre très décevant cette année-là pour lui, aucune biture à noter, côté terrain, le classico l’inspire, un tacle assassin en mars et un but pour sa gueule en décembre, maigre toutefois pour douze mois. Il nous reste Arnaud l’homme de Cristal, le verre il connaît mais sinon peu de débordements en troisième mi-temps du moins, son temps de jeu progresse toutefois, il est passé de 7 secondes en moyenne en janvier à presque 45 minutes en décembre ! Titi, lui reste dans son petit coin, toujours discret, il ne crache néanmoins pas sur le petit jaune mais touours à l’abri des regards et des journalistes. Enfin Richard, qui fît son retour en Septembre après deux ans de disette, une superbe relance à Vauvert côté terrain et un magnifique coup de balais remarqué lors de l’apéro de Noël, sera surement plus dangereux pour la victoire lors de ce trophée l’année prochaine mais en attendant il gouterait bien au breuvage que le vainqueur apportera.

Voilà, désormais les dés son jetés, si j’en ai oublié certains c’est qu’ils n'ont vraiment pas dû être mémorable cette année. Autre précision, pour l’équité du concours, il serait interressant que certains (Jv,MPP,Bt) ne votent pas douze fois, une bouteille est tout de même en jeu, clôture le 31 décembre 23h59.

dimanche 12 décembre 2010

Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, trés lointaine...


















La fratricide lutte pour le contrôle du ballon vétéran du système Vaunage se poursuit, plus intense que jamais. Alors que la dernière bataille avait vu la déroute et le renversement de l’Empire de Congénies au profit de la République de l’alliance de Junas, on pensait que ce nouvel affrontement allait poursuivre les créatures Sith de Congénies dans leur descente aux enfers et leur exil total sur la planète indifference. La Classico Wars n’est définitivement pas une guerre comme les autres, la domination d’une espèce sur l’autre ne durant jamais bien longtemps, et les ressources des derniers battus s’en retrouve constamment réévaluer lors de l’échéance suivante. Les troupes de clones Congenissoise ont forcemment dû aborder cette nouvelle rencontre avec des forces rassemblées et décuplé au vu de l’humiliation dernière au contraire des Junassols, sûr de leur forces et de leur puissance supérieure ou du moins présumé supérieure à tel point que le commandement et la direction des opérations fût confié à l’ancien Petit Prince déchu qui avait donc là l’occasion de prouver sa valeur et ses talents stratégiques pour mener à bien une mission vers son succès total. Le Coach Yoda n’était pas le seul grand chef laissé en réseve de la République, le Général Menes et les lieutenants gardien du Temple des Sages étaient également resté sur leur planète respective afin d’ y garantir leur pérénité et leur paternité. L’affrontement débutait sur la planète Hoth, froide et désertique, dans la bordure extérieure de Congénies. Les deux camps se rendant coups pour coups sans conséquences majeures dans un premier temps mais malgré tout on sentait vite que le combat ne serait pas de même facture que le précédent, plus âpre, plus équilibré et aussi plus respectueux et détendu. Deux grands guerriers Congenissois posait tout de même quelques soucis à la défense Junassole alors que dans l’autre camps, le Grand Christophe Solo semblait en difficulté constante, ne parvenant pas à se débarrasser de frêles chasseurs lui empêchant de se diriger à sa guise dans le ciel étoilé. Après quelques cibles facile gaché par les guerriers de l’attaque Jaune et Noire, la puissance Rouge faisait parler sa vitesse d’execution en détruisant leur première forteresse sur une contre-attaque supersonique, Diegolito, élevé au rang de Défenseur du dernier rempart, ne pû que constater les dégâts. Surpris par cette manœuvre et un peu désarçonné, les défenseurs Jaunes étaient pris de vitesse, le Grand Froid de cette planète n'arrageait pas les choses et quelques armes s'en trouvaient quasimment hors service, gelé en orbite autour du ballon comme le cas Fifi, satellite dépassé et inutilisable lors de cette bataille. Une pause était instauré, les deux armées en profitant pour resserer quelques boulons, remettre du carburant dans les vaisseaux et repartir à l'assaut de la planète verte. En y mettant plus de hargne et plus d'alan, les serviteurs de la République Junassole envoyèrent quelques escadrilles à la conquêtes des forteresses Congénissoises, toujours debout à cet instant du combat, et à force de pillonnage, les attaques incessantes des chevaliers de Junas eurent les effets escomptés, une première escadrille fît mouche sous l'impulsion du maître Jedi Pat Hu, une seconde salve peu de temps aprés, emmené par le même Pat Hu et conclu par le Capitaine Solo enfin reveillé, le combat changeait d'âme et l'on pensait que l'Ordre de la Galaxie Vétéran rsterait toujours jaune à l'issue des hostilités. Il n'en fût rien, car deux malveillances dont l'une de la troupe à la Boule permirent aux Rouge et Noir de planter leur drapeau au sommet du Mont Victoire et surprendre l'armée du Petit Prince, certes battu mais pas vaincu, ils restent les maîtres des lieux, comme en atteste les survivants de la planète Apéro mais leur domination est sérieusement affaiblit, la Classico Wars continuera durant des siècles et des siècles, des Rois, des princeses et des chevaliers se succèderons aux grès des victoires et des défaites mais l'esprit de la Force du Ballon Rond, le bon côté sera toujours Junassol en espérant que lors du prochain affrontement, en galaxie Junassole cette fois-ci, l'ennemi s'agenouillera en respect de leurs glorieux vainqueurs...

FIN

mardi 7 décembre 2010

Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, trés lointaine...











L’Empire Galactique de Congénies est ébranlé, d’incessantes querelles interne pour une fratricide lutte de pouvoir détruise en son sein, la machine à Vétérans de cette constellation lointaine quasi perdue. La dernière bataille face à la résistance Junassole a causé beaucoup de dégâts dans le système de défense de la planète rouge et noire, ainsi nombres de désertions furent dénombrés dans les rangs Impériaux, et cette armée termina la bataille presque totalement décimé, seul l’empereur suprême réussit à échapper aux sondes interstellaire de la coallition Junassole pour s’évader promptement à bord d’une frêle capsule de survie. La domination du peuple de Congénies sur le Ballon-Loisirs du Système Vaunage ne tient désormais qu’à un simple éclair de laser. En face, chez les Jaunes et Noirs, la bataille fût minutieusement préparé, et les chefs Jedi, maître de la technique du cuir, ont démontré l’étendu de leur pouvoir à l’interieur de la Vallée Verte de Réparation. Le Conseil des Sages Junassols, toujours en avance tactiquement sur leurs adversaires, avait dépéché des capteurs, un peu partout dans l’univers de la bordure Gardoise, afin de découvrir les forces stratégiques manquantes à l’Union de la Force des Carrières, pour renverser la puissante machine Congénissoise. C’est lors de ces minutieuses recherches que fût déterré celui qui rétablirai l’équilibre du milieu et par la même occasion ramènerais le pouvoir du Ballon Rond, Place de l’Avenir : l’Elu. Ce dernier ne serait-il donc pas le Petit Prince ? Celui en qui tout un peuple croyait et qui finalement ne serait qu’un simple soldat, à peine un caporal d’Escadrilles dotés de facilités à peine plus élevé que la moyenne ? Son manque d’ambition dans les batailles stratégiques, à toujours reculer face aux Sith ennemis, au cœur de cette armée conquérente auront eu raison de ses ambitions personnelles. Le Prince déchu s’en retournera t-il alors vers sa planète d’origine en chevauchant un Bantha et en murmurant des désirs de vengeances et donc de côté obscur ou s’en remettra t-il à son chef suprême, le vénéré Maître Coach Yoda afin de se mettre sous ses ordres et ravaler sa fierté dans le seul but d’exterminer les forces au pouvoir et de faire triompher le bon football Junassol à la mauvaise foi Congénissoise. Mikakin Skylaterre est un brave, un futur Grand Chef Jedi et son courage à choisir la voie de la sagesse l’honore, il terrasse de ce geste son côté sombre et dans quelques classico Wars, lorsque les Grands décideurs actuels auront tombés leur dernière bouteille, il sera peut-être temps que le Petit Prince devienne Roi mais en attendant il s’en retourne dans l’anonymat d’un petit clone. Les Généraux Coach Yoda, Boh Mettes et autres Menes et Jourdanov complotent au fin fond de caves obscures un plan pour renverser définitivement la planète Congénies. Christus Ponce Solo, depuis la chute du Petit Prince, est désormais considéré comme la force absolue de Junas et son rôle sera prépondérant quant à l’issue de l’ultime Classico. Mais il ne sera pas seul, aidés à tout va par les créatures du système, véritables clones au service du Conseil des Sage. On y retrouve des chasseurs de primes, genre la Boule, toujours à la recherche d’apéros fûmants, La Diègue, toujours casqué et capable de donner son corps à la science en testant des modules explosifs, Phyphi et ThiThy les gardiens des frontières de la ligne, détruire les attaquants ennemis voulant déborder le vaisseau amiral par les côtés, c’est leur rôles. En première ligne il y a aussi les plus entreprenants, BrandO9 chargé de foncer droit devant et déstabiliser la défense adverse, Pat Hu dont la précision dans les tits lasers n’est plus à démontrer et Juh Juh  le trésor du temple, c’est lui et pour le garder mieux vaut achever les créatures qui veulent s’en emparer.

Le jour où tout bascula arriva enfin, le Classico Wars est à son paroxysme, Junas à son apogée et Congénies au fin fond des ténèbres. La Planète Rouge et Noire fût entièrement détruite par les assaults incessant de la flotte Junassole, Christus Solo enfonça à lui seul les piliers du temple, tous tombèrent un à un et les malheureux Congénissois furent exterminés jusqu’au dernier, seuls les vieillards, les femmes et les enfants furent épargnés. Les nouveaux maîtres de la Vaunage du Foot-Loisirs sont désormais Jaunes et Noire et la nouvelle République de Junas est créée. Une nouvelle table des lois est érigé, Tout footballeurs de plus de 35 ans doit se faire connaître de la chancellerie, les jeunes Padawans seront formés dans le fief Junassol, les troisièmes mi-temps seront allongés, les cartons de jaunes devenant breuvage planétaire. Un nouveau temple en honneur à ces brillantes victoires sera édifié au centre des stratèges, le Stade de Junas, s’y retrouverons entre autres le nouveau Conseil des Sages et de nombreux banquets y seront célébrés. Du côté des battus,les survivants au massacre durent se réfugier dans la jungle équatoriale de derrière le Stade, un long chemin de disette commence désormais pour eux mais dans tout le reste de la Galaxie Junassole, l’heure est désormais à la fête. Mais gare, la Classico Wars n’en est pas pour autant terminé, les résistants d’avants sont devenus le nouveau pouvoir mais des blocus et autres renversements sont toujours possibles. Dans la 20010ème année, les résistants de Congénies vont à nouveau rencontrer sur leur passage la planète Jaune et Noire, des stratèges habituels sont éloignés, le grand Coach Vadid, Menes ou récemment le gardien de la Défense, Pat. Certes les prisonniers des géoliers Kiné ont été libérés, Pask Alu ou encore l’Arno mais gare à la vengeance des Sith de Congénies, ainsi est la dure réalité des Classico Wars, issue d’une galaxie lointaine, très lointaine… (A suivre, dernier Opus de la Saga après l’énième bataille de vendredi).

mardi 30 novembre 2010

Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, trés lointaine...











Fort de son dernier succès sur l’Empire Galactique de Congénies lors de la Bataille de printemps, l’alliance Rebelle Junassole défie encore un peu plus les terrifiantes créatures du système footeux voisin. La tactique de combat se faisant de plus en plus étoffé, l’armée Junassole marche désormais sur la planète aux Vétérans, les têtes pensantes de cet ordre, Coach Yoda en tête, n’ont désormais qu’un seul mot d’ordre, anéantir l’ennemi confédéré. Mais pour parvenir à ce but-là, il faut attirer de nouveaux combattants pour multiplier les pouvoir de la force footballistique Jaune et Noires afin de dévaster les défenseurs adverses. C’est dans cet esprit que sont accueillis Pat Hu, Pask A Lu et surtout Christus Ponce Solo. Mais qui est véritablement Christus Solo ? Un mercenaire avide de jaunes et de fraises ? Son passé glorieux pourrait en être le témoignage, mais si son arrivée se fait en toute discrétion, son emprise sur la force Junassole va petit à petit grandir au sein de la communauté. Christus Solo va créer indéniablement de l’ombre au petit génie local, celui que tout le monde appelait l’Elu, alias le Petit Prince. Le risque de le voir retomber du mauvais côté du terrain est réel, aura t-il assez de puissance pour résister aux sirènes de son ancien peuple ? Acceptera t-il désormais de ne plus être considéré comme le sauveur de la liberté du ballon rond ? Skylaterre est attentif et vigilent mais la résistance à la tentation du recul sur le terrain est vaine, son emprise sur les missions qui lui sont confiés font craindre le pire, le poste de gardien de la toison doré des cages du royaume est désormais proche, et derrière ce poste c’est le point de non-retour : le côté obscur du terrain, le Banc ! Devant la menace, ses principaux maître formateur, Jourdanov et Menes accompagné par leur fidèle petit droïde Brand O9, l’appelle discrètement à se former sur la planète Dagoba dans le système Frontignan. A bord du vaisseau-camping, le petit prince va parfaire son éducation du rectangle vert, apprendre les différentes stratégies, avancer pour combattre et non reculer pour défendre face aux créatures adverses et ceci pour éviter le côté noir du maillot de Junas. Lors de cette mission, Mikakin apprendra sa véritable identité, la vérité sur son passé caché et celle de son autre père spirituel, après celui de Tonio Di Fraya, l’empereur de Congénies lui-même ! Quel choc pour Mikakin, qui eu beaucoup  de mal à accepter la vérité mais c’est pourtant la dure réalité, il est Congenissois ! Pendant les longs tourments du Petit Prince, ailleurs la Classico Wars fait rage, c’est la guerre et une nouvelle confrontation entre les deux protagonistes de l’héritage Loisirs est désormais inévitable. Malheureusement pour les rebelles, le nouvel arrivant Pask A Lu est retenu prisonnier du peuple Kiné et ne participera pas à la bataille. L’affrontement aura lieu au cœur même de l’empire de Congénies, en premier lieu sur la planète Stadium pour ensuite dévier lors de l’assault final dans la capitale, Corus-Bar-Cant. L’armée de l’empire est vite dépassé, la faiblesse technique des clones Impériaux se fait cruellement sentir et ce malgrè l’abbatage de leur arme principale, maintes et maintes fois desructrice par le passé, la mauvaise foi. Christus Solo dissipe très vite les quelques soupçons qui pesaient sur lui, il détruit deux flottes imperiales dès le début des hostilités, tout comme l’autre Jedi naissant, Pat Hu. C’est durant cette bataille que quelques épisodes célèbre forcère la légende, maître Baumette et son « défrisage » sont désormais reconnu dans l’univers Vaunage tout entier, ainsi que le double contact de Feu Erik le Rebelle. Les séparatistes forcèrent alors l’armée de l’empire à se retrancher à l’interieur du palais impérial, la seconde vague Junassole allait terrasser l’ennemi, les héros de ce mouvement ? Diegolito, La Boule et Christus Solo qui sauva son compagnon de route, El Gitan de l’extermination, désormais ce moment de bravoure est gravé dans le Get. L’apéro, ce moment qui précède les dernières heures d’une étoile, est désormais Junassol, la planète de Congénies est désormais bien ébranlé, et seul la fuite du grand commandant en chef des locaux, empêchère que le triomphe soit total, mais la langue fourchue et la mauvaise foi sont tenace et toujours aux prises de l’Empire. Il est à noter la discrétion du Petit Prince lors de cette bataille qui font toujours planer sur lui les soupçons de possible menace obscures. (à suivre…)

jeudi 25 novembre 2010

Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine…

La révolte séparatiste menée par quelques audacieux Jedi Junassols, formée quelques années lumières auparavant pour contrecarrer les diaboliques plans de l’Empire de Congénies, prend peu à peu de l’ampleur et se montre menaçant à plus d’un titre sur l’égémonie du pouvoir en place. Le blocus entamé sur la planète du stade, satellite de Junas, ne fait pas que des heureux, cette planète plongé dans le noir dès le solstice d’été achevé oblige les autochtones à s’exiler en terre occupées pour monter secrètement leur armée dans le but infime de combattre plus efficacement l’ennemi et son escadron de droïdes. Les acteurs principaux, véritable philosophe-guerrier, se plient aux exigences de la tâche, un régime sec à base de cacahuètes et de jaunes, et surtout ils respectent tous les codes de l’Ordre : Il n’y a pas de lundi sans ballons, il n’y pas de défaites que des victoires, il n’y a pas de matches sans troisième mi-temps et il n’y a pas de week-end sans apéros. Et le petit prince dans tout cela ? Ils se forment efficacement sous l’aile protectrice de son maître Obiwan Jourdanov qui lui enseigne l’art du jongle, de l’aile de pigeon et de la roulette à sabre lasers mais le conseil des sages est inquiet car le caractère bien trempé du petit prodige interroge sur sa faculté à dominer la force, quelques épisodes navrant confirme hélas ces angoisses comme lors d’une mission « Jour de l’An », où Mikakin Skylaterre se laisse déborder par la boisson et le cigare, il finira à quelques mètres de la cahute de la Boule, obscur petit Ewok venant du sytème Vainkipétiye qui se fond dans le paysage Junassols en leur imitant leur traditions blotti dans une roulotte, notre Petit Prince sera sauvé in-extremis par une aide allié mystérieuse. Tous les espoirs mis en lui ne sont-ils pas trop lourd à porter pour ses frêles membres ? Est-ce vraiment lui, l’Elu ? Alors que la bataille remporté par l’Empire quelques rayons cosmiques auparavent, et conté dans le premier opus de cette saga, est toujours dans les mémoires, se profile à l’horizon un autre tournant dans cette guerre des cloches, la bataille de printemps, qui a  lieu donc en mars de la 20009ème année. Du côté de l’Ordre Junassol, beaucoup d’espèces des planètes voisines ont répondus présent, tout d’abord le peuple des Gran, humanoïdes mesurant 1 m 60 en moyenne, descendants d'ongulés herbivores et originaires de la planète Heineken. Ils ont une tête ressemblant à celle d'un bouc (ou d'un veau) imberbe, trois yeux noirs protubérants, des oreilles triangulaires en éventail ainsi que de petites cornes sur le haut du crâne. Ils bénéficient d'une excellente vision et distinguent plus de couleurs que la plupart des espèces. Comme n'importe quels ongulés, ils possèdent plusieurs estomacs (véridique dans la saga, la vraie). Les Wookies, ours bien léchée et leur chef Titi sont également de la partie tout comme le seigneur Baumettes menant les Gungans, les hommes des sables représentés par Fifi, le maître Diegolito représentant les Ongrees, espèce originaire du Bois Scié, ils sont caractérisés par une peau jaune et par une morphologie crânienne particulière avec des appendices oculaires tombant en dessous du niveau de leur bec, ces deux appendices flexibles leur permettant de voir un objet sous beaucoup d'angles. Cette capacité a peut-être stimulé la mentalité commune des ongrees à examiner une situation sous toutes les perspectives possibles. Les deux armées rivales campent sur leur position, chez les Junassols, celui qui deviendra Dark Dimitrius se dévoile en laissant l’ennemi organiser une percée mais c’était sans compter sur la vista des Chevaliers Juju et du toujours padawan Petit Prince. L’âme de cette colonie, Coach Yoda, se démarquera lui même, ne laissant passer que peu de ballons, s’étant aperçu rapidement du stratagème de Dark Dimitrius. Coach Yoda, surnommé aussi Maître Vadid, sû remobiliser ses troupes pour infliger à l’Empire de Congénies une cinglante défaite. Le Big maître Vadid contrôle parfaitement un champs énergétique mystérieux qui assèchent automatiquement le dernier breuvage qui lui est proposé, il est également en parfaite osmose avec maître Baumette, lui c’est les champs de tartiflettes qu’il décomposent aussi rapidement que d’autres sortent leur sabres lasers. Toujours est-il que cette défaite subît ce jour là aux droïdes de Congénies aura un impact important sur la suite des évènements et la route pour le contrôle des ballons de la région s’est un peu plus dégagé pour les forces rebelles Junassoles, le chancelier suprême Congénissois voit le danger grandir mais sa perfidie aura t-elle raison du petit génie mystérieux qui grandit en nous ? Heureusement la Reine Sophidala reste encore assez influente pour contenir les ambitions effrénés de son époux, mais pour combien de temps encore ? Toujours est-il que la force Junassole va se reconcentrer sur ses objectifs de conquêtes et pourra tranquillement déployer ses forces avec la création de la Copa, arme mystérieuse qui d’abord divisera un peu dans le camps des Experts-Despé avant de rassembler tout le monde sur la même étoile : Junas. Mais une nouvelle arme ou plutôt un nouveau chevalier sera bientôt à disposition du conseil des sages et le Petit Prince s’en retrouvera bouleversé, basculera t-il alors du mauvais côté ? (à suivre…)

vendredi 19 novembre 2010

Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine…


La galaxie Vaunage du foot-loisirs est gérée sous la forme dominatrice de l'empire de Congénies, des siècles qu’ils règnent sur cet ordre en semant la terreur verbale à travers moultes expressions sortis de leur code secret de la mauvaise foi. Peu de crises majeures durant ce règne malgrè une armée faiblement armée techniquement parlant mais doté d’une arme secrète absolu, la langue fourchue ! Grâce à ce pouvoir mystique, ils sont les gardiens d’une tradition et d’une justice se transmettant de générations en générations, les vétérans. Mais pas très loin de là, sur une petite planète doté du doux nom de Junas, une poignée d’irréductibles, anciens généraux de la grande époque des Seniors, qui terrassèrent jadis le pouvoir en place, s’allièrent en souvenir du passé et dans le but secret de refaire découvrir le football à quelques jeunes padawans de la cité. L’un de ces généraux, un petit prince pour être exact, eu la particularité de grandir dans le fief et aux côtés des ennemis, mais deux maîtres Junassols le découvrirent par hasard et décelèrent chez lui un taux importants de petits organismes andosymbiotiques, les midi-apéros, mais sa culture Congenissoise de la mauvaise foi ne le basculerons t-il pas du côté obscur ? Il devra toutefois épouser une fille des carrières pour se faire adopter dans la nouvelle alliance rebelle. Mais les premiers affrontements entre ces deux forces impériales ne furent pas toujours à l’avantage des rebelles, en l’an de grâce 20008, une cuisante défaite, durent subir les Junassols, éparpillés aux quatres vents du système bobolà, la grande Armée de Congénies, supérieure en nombre terrassa sur l’herbe partagée de la planète « DesButs » une milice jaune et noires dépassés de toute part et la tactique du maître Coach Yoda, le tous derrière, s’avèra infructueuse et la résistance ne dura que peu de temps. Grande fût la déception du côté des vaincus, sûr de leur supériorité, un peu trop peut-être, mais la vengeance se préparait en coulisse avec l’émergeance de quelques lieutenants qui s’avèrèrent décisif pour la suite de cette lutte. Qui-Gon Pat, le seigneur des cages fût formé pour contrecarrer les déconvenues de la défense Jaunes, ancien soldat du milieu, il fût nommé à cette place-là après la perte du Sith Dim. La défense, ce système d’alertes de ballons non identifiés mais présumé dangereux fût également remanié, Space Diego simple initié à l’époque deviendra quelques batailles plus tard le célèbre Diegolito, redouté par tous les Empires par sa faculté à dominer sa force, une récompense orne son vaisseau en guise de souvenir d’une célèbre victoire, à noter que le Diegolito fût racalé quinze fois à la conduite de modules mais ceci n’est qu’anecdotique dans la légende. Fifi, spécialiste des coups d’éclats chirurgical et invisible, Jourdanov le maître qui format le Christophe et feu le David aux maniements des armes, la technique du ballon, c’est lui qui l’a inventé et mise au point. Tous ces anciens fantomes menacent désormais le pouvoir en place de la planète Congénies, et la guerre du classico s’intensifie, plus de petites luttes intestines, désormais la solidarité est de rigueur, on partage Le Jaune et pour être parfaitement au point, on multiplie les distributions, la force se matérialise par cette faculté de faire apparaître les bouteilles mais gare à ce pouvoir, l’apéro mène au 51, le 51 à l’ivresse, l’ivresse à la bassine, la bassine à l’exil et l’exil au côté obscur de la force. Ainsi fût la préparation de Mars 20009, pour ce qui décida du futur dans la lutte Junassole… (à suivre)

vendredi 12 novembre 2010

Villetelle-Junas 1-2 : Les Junassols montent en puissance


Quelques trois semaines aprés une probante et belle victoire à Aigues-Vives, la première de la saison, le Junas Foot Loisirs voit se profiler à l'horizon une formation qui a laissé quelques cinglante cicatrices dans le cœur de quelques Junassols l'année passée, Villetelle. Un souvenir amer, qui toutefois n'avait laissé que peu de regrets tant l'adversaire était apparut alors bien supérieur aux troupes de Coach Vadid. Mais d'autres cicatrices apparaissent encore cette année, au sens propre cette fois-ci tant les blessures et les inquiètudes physiques s'accumulent au fil des rencontres. Si le maillot devait à être renouvellé prochainement, une pharmacie, un kiné voire une compagnie d'ambulance en ferait un sponsor idéal tant les jaunes et noirs semblent clients de ce genre de services et accuser le poids des années. La Coustourelle se rapproche à grand pas pour certains qui commencent déjà à feuilleter sérieusement la brochure de l'établissement Sommiérois. Déjà en tête la saison prochaine Willy Menes est plus à la recherche de bonnes béquilles ou d'une solide atèle qu'à fouiner les dernières soldes de Décath pour trouver enfin la paire de crampons efficace, le coach Vadid semble lui emboîter le pas, et c'est pas la meilleure idée qui soit, pour lui ses prochaines chaussures risquent d'être à semelles compensées et l'idée de la chaise roulante n'est pas à exclure. A ces deux-là vient s'ajouter l'homme de Cristal, alias Arnaud, celui qui va tenter, dans un suspense insoutenable, à battre son record de longévité sur un terrain, le temps à battre ? 3 minutes 47 secondes 18 centième sans ressentir de pointe à la cuisse, de sifflement d'adducteur, de cheville grinçante, de genoux boiteux, d'épaule douloureuse, de tête encombré, j'en passe et des meilleurs, courage Monsieur le Duc et la fatidique barre des 4 minutes pourrait être atteinte avant la fin de la saison ! Le dos de la Boule, lui, frôle celui d'un papé de 88 ans et combattre le mal par du jaune ne semble pas forcémment convenir à ses vertèbres, il a bien tenté quelques excursions de nuit mais les résultats sont à prouver... et le dernier en date, notre roc Baumettes, qui semble atteint d'une façon plus générale, un coup le tendon, l'autre le mollet et la prochaine ? le foie, l'estomac ou la flemingite aigüe !? Pour la rencontre de ce soir, en plus de tous ces grabataires, les malades et les absences professionnelles viennent s'inviter à la danse, cela nous donne onze joueurs presque valide pour débuter...ou presque, l'ajout de Gaëtan vient sauver le banc pour y apporter un peu de validité plutôt que ces sansues avident de 3ème mi-temps et de commentaires acides sur les acteurs du terrain. L'heure de la compo a enfin sonné, sans Coach Vadid, Mickey le petit Prince est chargé de composer une équipe capable de rivaliser avec l'ogre de la saison dernière. Aprés deux ou trois remontées gastriques notre chef d'orchestre se lance, Pat dans les buts, jusque là tout va bien, sur les côtés Richard et Fifi, ça se tient, et une charnière inédite, Monsieur Jourdanov-Chateau d'Ax associé à la Boule Rémoise mais sans le panache des bulles, l'efficacité reste à prouver mais pourquoi pas. Le milieu de terrain à présent, Mickey dans un rôle qu'il tient à chaque match sans pour autant le reconnaître, récupérateur, aidé pour cela par Christophe et Arnaud devant lui, Patou, O 9 et Juju formant le trio offensif. Une équipe construite de briques et de broques mais qui pourtant tient assez la route. Autant vous l'avouez, votre journaliste préféré, pris par des obligations bien plus importante a un peu zappé le premier quart d'heure, d'incessantes discutions sur le nouveau pont d'Or offert au Coach Vadid pour la saison prochaine était au centre de ces tractations. Arrivé dans la loge présidentielle, le président assiste à la percée de Juju qui se fait lamentablement projeté à 23 mètres de son point d'appui, par le défenseur adverse. Coup franc bien placé, Patou va s'apprêter à placer sa frappe chirurgicale, mais l'étrange décision de désigner Christophe pour cet exercice est prise. Le jeune Padawan s'execute...lunette gauche, 1-0 pour Junas, le maître Jedi Jourdanov se félicite d'avoir été un si bon instructeur. Dès lors, les Jaunes et noirs vont poser leur patte sur cette rencontre, un milieu bien maitrisé, une défense rassurante ou l'étonnante bonne performance du Rémois surprend agréablement, Un Pat qui à la fois rassure, dirige et commente ce match, du pain béni pour un journaliste, devant ça combine assez bien entre Juju, O9 et Gaëtan, Patou observe, note mais ne se mêle pas trop aux discussions. Junas gère assez bien ses temps forts et ses temps faibles et malgrè quelques alertes sans conséquences derrière, parvient à doubler la mise sur un trés beau relais d'Arnaud vers Gaëtan qui, sans paniquer, offre l'immanquable à Christophe pour le doublé, 2-0 juste avant la mi-temps, l'affaire sur Betclic se complique car peu de parieurs assez audacieux n'avaient envisagé cette tournure des évènements. Baumettes se félicite de sa première mi-temps sans erreurs et décide d'aller parfaire son apparence, seul dans la douche bien chaude. La seconde période débute, plus délicate pour Junas, La Boule commence à vriller ses relances, Jourdanov lâche l'élastique pour surveiller son alter égoe et les Jaunes recule dangereusement. Quelques situations chaudes égrennent ce début de mi-temps, les gardois  ne sortant que pour des contres improbables par le trio des 100 kilos, bien pour la balance, mois pour la charette à tirer. Mais à force de reculer et de subir, sur une trés belle combinaison, les locaux réduise le score sur une magnifique frappe des 18 mètres au ras du sol, un tir venant heurter le poteau du gardien Junassol mais qui finit toutefois dans les filets du gardiens Junassols. L'Etau se resserre et Junas n'arrive touours pas à sortir de sa moitié de terrain, les occasions s'amoncèlent côté Héraultais, mais un pied, une transversale ou les bras de Pat empêche toute égalisation. Devant Julien mange plus souvent l'herbe que le ballon, Patou compte les jours qu'il lui reste avant de devenir papa, Brandadao s'essaie plusieurs fois sur le 100 mètres sans ballons et Gaëtan tente de trouver un camping pour y déposer sa caravane. Le milieu travaille dans l'ombre à l'image d'un petit prince plus porteur d'eau que créateurs de bons ballons, Christophe sombre petit à petit dans l'anonymat dandis qu'Arnaud maîtrise assez bien son sujet et tient touours son exploit, à avoir passer une heure et demi sur le terrain, au grand dam de sa dame, à l'autre bout du fil, desepéré que son roi ne rentre pas plus tôt de sa campagne. Mais nos vaillants soldats résiste jusque au bout et malgrè d'ultimes tentatives, le score reste en l'état pour la deuxième victoire consécutives du Junas Foot Loisirs. Deux buts à un, ce fût dur et long, l'idéal pour passer un moment d'émotions intenses, aahhh que c'est bon...La troisième mi-temps tend les bras au vainqueur et des discussions importantes débutent. Vendredi 12 novembre et déjà la 3ème Copa de Junas est dans certaines têtes, premières décisions importantes, les Big et Mac seront reconduit en l'état pour les hostilités du 1er mai et devront passer la nuit sous la tente à déguster une raclette à 6 heures du matin avant d'être fin prêt au grillades de Baumettes une heure plus tard, la défense du titre si vaillamment gagné par les hommes de Mac l'année passée pourra alors débuter. Mais d'ici là, quelques bouteilles se seront évaporés et d'autres directives sortirons du chapeau des organisateurs et pourquoi pas Diegolito aura réparé sa moto... EN attendant a prochaine rencontre sea le derby de Congénies, place aux votes, qui succédera à Juju (Vauvert), Willy Menes (!!! Aubais) et Jourdanov (désigné vainqueur par fair play) pour le qutrième talent d'Or de l'année ? à vos votes !

mercredi 27 octobre 2010

Survêtements Omnisports
























En marge de survêtements enfants pour nos équipes de jeunes, Omnisports vous propose ces survêtements, marque Hummel, en noir et jaune et floqué Junas Omnisports dans le dos (un peu comme les coupe-vents de l'année dernière) et vos prénom et surnom devant (si vous le souhaitez). Deux prix, 25€ pour les dirigeants des enfants (les 3 Olives, Arnaud, Did et Christophe) et pour les membres du bureau et 35€ pour les autres membres d'Omnisports (comme vous). Si vous êtes interressés un petit commentaire suffira et n'oubliez pas de me préciser la taille (S-M-L-XL-XXL-XXXL). Dépechez-vous que je commande rapidement.
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samedi 23 octobre 2010

Aigues-Vives 3 Junas 4 : victoire !


Tout le microcosme Junassol avide de spectacles et de sensations fortes était surement rivés sur les petits écrans, hier au soir, pour scruter l'évolution de l'équipe locale de foot-Loisirs. Ainsi, aprés deux défaites de rang, une réaction était attendu afin d'apaiser les rumeurs les plus farfelues concernant le coach de cette formation. Des têtes allaient-elles tomber ? Les bourreaux ou autres amateurs d'hémoglobine étaient aux aguets, un manager forcement en danger comme tout entraîneur Lyonnais qui se respecte et dont l'avenir commençait à devenir incertain au vu des résultats décevants de son équipe et de la gronde montante de la rue. Comment aller s'organiser le combat pour lutter contre le prolétariat de la malchance et inverser ainsi une tendence virant vers le pessimisme, en deux mots : la crise. Nul besoin de grèves ou de contestations déplacées pour relever la tête et repartir ainsi de l'avant et pouvoir faire avancer allègrement les acquis obtenues si durement la saison passée. Comme dans tout mouvement de cet ampleur, quelques devoirs de réserves ont dû être mis en avant, afin de protéger l'unité familiale et une paix plus ou moins durable dans certains foyers. Les acteurs principaux du mouvement d'Arnaud ont dû s'incliner devant la fermeté de la gente féminine, pas prête à lacher du lest devant les revendications de leurs hommes. Des meneurs aussi important dans la lutte tels Fifi, La Boule ou Arnaud, tous privée des camarades ce soir. Le premier dû expliquer l'intrusion d'un collaborateur à 5 heures du matin, venant demander les clefs de logements sociaux surrement illicite, le second fût séquestré chez lui par le représentant du personnel irrité par des appels incessants en pleine nuits, une mise à pied de quelques semaines lui fût infligé immoralement. Le troisième de ce groupe, lui, dû se résonner à laisser ses compagnons au milieu du pré à terminer seul leur manifestation pacifiste, le prix à payer pour un football plus juste. Pour résumé, manquait à l'appel des groupes révolutionnaires de l'Etat du Junas Omnisports, Arnaud, puni par la patronne, La Boule, mis à pied par la directrice, Fifi interdit de séjour par son gouvernement, ils ont tous regardé Arthur à la télé ce soir, tandis que Baumettes, assigné à résidence surveillé, dû quitter ses petits compagnons de lutte à l'heure où d'habitude les slogans pleuvent. Quel plan de bataille fût imaginé pour contrer la montée en puissance de la menace avoisinantes et quelles armes furent décidés pour arracher le retrait des réformes de la défaite dans le clan des jaunes? Non, Junas n'a pas joué en rouge hier soir mais les inégalités constatés la semaine passée ont amené à une réflexion générale, le partage du travail, en l'occurence, la solidarité entre les basses classes de la défense et les hauts privilèges de l'attaque, les revenus moyens du milieu étant là pour assurer le lien entre les deux. La tactique déployé était la suivante avec en tête de cortège, Juju, le dernier rempart du bastion, celui qui devait rassurer dans un rôle où certes il brille mais où il se sacrifie pour le bien de ses concitoyens. Les représentants des forces d'oppositions aux attaques adverses, Diegolito et Baumette chargés de contrer les probables débordements et la paire Jourdanov-Pascalou pour surveiller les casseurs de bons résultats, toujours craint dans ce genre de manifestation. Au milieu de cet escorte on retrouvait ceux qui étaient chargé d'apporter cet équilibre entre les modérés et les extrémistes, ces centristes composés du Coach Vadid, de Christophe, de Richard et de Mickey étant souvent mis sur la potence ces derniers temps, allaient prouver leur valeur de négociateurs de bons ballons. Enfin devant, les finisseurs, les signataires de la victoire se devaient de ne pas trop subir les négociations et de ne pas finir dans les filets du mouvement ennemi.

L'opposition débuta dans un calme apparent, nul n'osant trop se livrer ni déployer trop rapidement les solutions au beau jeu. On sentait tout de même chez les rouges et noirs une certaines application dans les transmissions des directives avec, il faut le dire aussi, des temps forts et des temps faibles. Ainsi Patou dégomma le premier sans réelles surprise dans les rangs de l'opposition. Mais sur une incompréhension entre le gardien des idées et son défenseur farouche, le ballon loba Juju pour profiter à l'avant-centre des bleus. Les quelques minutes qui suivirent ce coup du sort furent difficile pour les compagnons de Junas, plus moyen de se faire entendre sur le rectangle, la partie semblait prendre le même chemin que la semaine passée, mais c'était sans compter sur la détermination Junassole. Ainsi un beau mouvement partit de derrière et ayant pour relais Richard, d'abord, Christophe ensuite et Patou finalement pour parachever le travail et remettre un peu de beaume au coeur à tout un peuple pas du tout résigner à subir son avenir. Pourtant rien n'était épargné à la troupe des contestataires de la défaite, Baumette, touché au talon d'Achille dû laisser ses amis continuer le combat sans lui. Un nouveau symbôle de la malchance qui au contraire d'abattre le moral des jaunes le galvanisa et c'est le coach, si décrié à Aubais, qui remis les pendules à l'heure en quelques sortes, sur un centre d'un petit prince retrouvé et une figure Candelorotesque de brandadao, Vadid fusilla l'adversaire. A la pause administré légalement, le peuple de Junas menait deux buts à un. La reprise redémarrer tambour battant et la solidarité un temps affiché en début de conflit allait s'intensifier au fur et à mesure que les débats avançaient pour atteindre son paroxysme en toute fin du mouvement. Mais avant cela, Patou se révolta sur son côté et malgré son centre assez peu précis, Brandadao profita de la tergiversation des bleus pour offrir un troisième point d'accord à tous les partisans. C'était hélas son dernier acte de bravoure car lui aussi devait quitter la lutte peu aprés. Le plan Solidarnosc était alors mis en place et sur un contre subtil, Patou nous refait le coup du centre, cette fois-ci pour Christophe qui n'eu point de difficulté à enfoncer les opposants. La victoire finale se dessinait et malgré deux points laissés sous le coup de la fatigue, le patronnat d'Aigues-Vives lâcha, la victoire était là, enfin, le Junas Omnisports triomphait enfin. Les piquets de grève étaient enlevé autour d'un partage des richesses de troisième mi-temps. Viva Junas libre, Viva la Revolucion !

samedi 16 octobre 2010

Aubais 7 Junas 3 : les jaunes boivent la tasse

En pleine Tempête, le JO se noie dans les eaux Aubaisienne, Pirates de la Vaunage ou encore le Titanic du foot perdu, telles auraient pu être les gros titres de la presse Junassole au lendemain de ce derby historique tant les jaunes et noirs ont été surpassés par leurs adversaires d'un soir, une déculotté mémorable qu'il faudra pourtant oublier au plus vite. Mais qu'est-il donc arrivé à cette équipe, si brillante, si solidaire et si dominatrice l'année passée ? Un surplus de facilité ? d'arrogance ? ou simple accident de parcours ? Les prochaines rencontres apporterons surement leur lots de réponses mais, outre le score, c'est le jeu qui est apparût véritablement inquiétant. Le constat est amer mais est pourtant là, aprés deux rencontres et dix buts encaissés, une place de relégable et un jeu plus proche d'Arles-Avignon que du Barça, notre équipe de Foot-Loisir est rentré dans le rang, au revoir les rêves de Champions League, cette année on va la jouer à la Guy Roux : le maintient ! Faut appeler un chat, un chat. Mais comment analyser un tel cauchemard ? On pourrait passer au crible les acteurs de ce naufrage un à un, les passer à la moulinette et en ressortir un énorme Bloubi-Boulga indigeste. Dire que le coach a joué pour Aubais, que la Boule n'a bouffer que le numéro de son adversaire direct, que Mickey a force de jouer de partout s'est retrouvé nulle part et que Brandadao s'est crû encore sur la voie verte à courir dix kilomètres sans ballons sauf que son temps cette fois-ci n'était franchement pas au niveau, on pourrais dire tout ça mais un, le schmilblick n'avancerais pas plus, et deux, on y passerais trois plombes, donc on va éviter d'analyser la rencontre grotesque de Chris, la énième blessure d'Arnaud ou encore la sieste de Jourdanov durant une heure trente...
Le récit du film tout d'abord, un schéma tactique classique, Pat dans les buts, Titi et Diego arrières d'ailes, Vadid et Jourdanov en charnière, Chris à la récup, Gégé et Baumettes sur les côtés, Mickey en meneur et Patou et Brandadao devant, sur le banc Arnaud, Juju et Fifi pour commencer. D'entrée le bateau s'est mis à tanguer, prenant de plein fouet les vagues adverses, pas de simples embrunts mais de véritable tsunamis tant le ballon avait du mal à dépasser les quarante mètres Junassol. Le capitaine tenait sa barque tant bien que mal et les moussaillons jaunes ne rompaient pas. Aprés dix minutes de jeu pourtant intense, une accalmie était constaté, et Junas commençait à sortir la tête de l'eau, se créant même quelques timides brêches. Mais c'était le calme avant la tempête, un débordement côté droit, un centre mal repoussé par le duo baumette-Jourdanov, et comme à la parade une belle reprise qui finit au fond des filets, le mât est fissuré mais on va pas sauter par dessus bord pour si peu. Sauf qu'en cinq minutes, on va passer d'un rayon de soleil sur le pont du navire au naufrage du titanic et le capitaine, telle que la légende le dit, s'est bien noyé avec son bateau. Une action anodine, une passe en profondeur un peu longue du milieu d'Aubais, une remise de la tête de Vadid façon Benny Hill et 2-0 pour Aubais. Mais au cas ou les spectateurs distraits n'auraient pas bien vu, un ralenti deux minutes plus tard, du pied cette fois pour mieux comprendre, le capitaine pour son gardien qui mis deux ans et demi à sortir, et un, et deux et trois zéros, la demi heure de jeu n'était pas atteinte et en l'espace de même pas dix minutes on est passé des eaux calme et tranquille d'un lac de montagne aux tumultueuses lames du détroit de Magellan. Le magnifique vaisseau qu'était le Junas Omnisports avant la rencontre est désormais un vilain petit chalutier tout rouillé par le poids des ans. Mais tout de même un petit réconford juste avant la mi-temps, Arnaud l'un des meilleurs nageurs de cette première mi-temps nous offrit un magnifique spectacle tout en couleurs, un face à face devant le gardien ponctué par un astucieux petit lob, 3-1 à la mi-temps, l'espoir que les vents tournent enfin renaissait. Quelques petits ajustements de fortune à la mi-temps, un Chris libéro et un Vadid milieu pour éviter de s'enfoncer un peu plus et de transformer ce sous marin jaune en, au moins, un bateau pneumatique permettant de rentrer au port sain et sauf . On y a presque cru en début de seconde période avec deux beaux enchaînements entre Arnaud et Juju, avec un deuxième face à face pour le Duc d'Orléans mais cette fois-ci Gepetto fut avalé par la baleine nommé aducteurs... Le tournant du match car aprés ça, Katrina ressurgit, plus de capitaine à bord cette fois-ci, plus de révoltés, pas même un Jack Sparrow ou un capitaine Crochet, juste des petits baigneurs croqué tout cru par les dents de la mer. Le coeur n'y est plus, malgré quelques réductions du score, et cette fois-ci le bateau coule définitivement et va allègrement nourrir les petits poissons du fond des eaux et servir de cachettes à quelques Bernard Lermitte opportunistes. Alors désormais, aprés la catastrophe, l'heure va être au bilan, comment se remettre d'une telle bouillie, quelles solutions pour que ces évènements naturels ne se reproduisent plus, le risque zéro n'existe pas mais éviter de telles catastrophe ou du moins les prévoir pour éviter le pire et pouvoir sauver ce qui peu l'être. Dans des coups durs comme celui que vient de vivre notre petite village de province, c'est avec de la solidarité qu'on pourra reconquerir des océans, on va reconstruire, d'abord un radeau, puis une embarcation de fortune avant de penser à renaviguer sur un bateau de croisière. Faudra être patient mais la confiance doit revenir en préparant au mieux la traversée d'Aigues-Vives pour retrouver le chemin des épices. D'ici là les rôles des différents membres d'équipage auront été redistribués, fin prêt pour ramer tous ensemble dans cette galère.

jeudi 14 octobre 2010

Avant-match Aubais - JO : victoire au menu

Mmmhh, cette rencontre face à Aubais est une étape importante dans la saison, une rencontre où certains membres de notre glorieuse équipe ne voudrait manquer pour rien au monde. La qualité de l'adversaire ? pas exactement, la pelouse du Stadium d'Aubais ? non pas vraiment, loin s'en faut. Certains joueurs adverses sont des vieilles connaissances Junassole alors ? Pas la réponse adéquate non plus, mais notre ami Baumettes qui se lèche déjà les babines sait de quoi il s'agit car en général Aubais est une escale culinaire interressante et si en plus le match suivant s'avère être Aigues-Vives alors la période est motivante à souhait. L'entrée en matière de ce Junas Omnisports Foot Loisirs version 2010-2011 s'est avéré difficile lors de la première rencontre à Vauvert, notre vieux Cyrilgoal nous ayant fait quelques misères avec sa bande de jeunes fêtards mais nous, vieux briscards des vertes prairies, ne sommes quand même pas resté en reste et avons fièrement défendu notre bifteak. L'opposition devrait être un tantinet différente que lors de l'ouverture de cette saison et si les jaunes et noirs veulent goûter au banquet d'aprés match, va falloir mériter sa ration, gare au tire au flanc et aux danseuses du vendredi soir venu uniquement là pour s'empiffrer et ingurgiter des boissons douteuses aux frais de la princesse. Les clés de la rencontres ? tout d'abord bien s'adapter à l'environnement particulier des rencontres face aux voisins, ne pas penser justement au possible menu alléchant qui suivra : la mini-terrine de foie gras aux trois saveurs, Chutney pomme-passion suivi du médaillon de veau sauté et foie gras poëllé à la crème de truffe accompagné d'un mille-feuille de pommes de terre aux pleurottes et de la buche noire aux cacahuètes et son granité de champagne en dessert. Faire abstraction de tout ça sinon c'est au mieux les sempiternelles brûlures d'estomac ou fringale cycliste, au pire la syncompe et les crises de délires dont notre duo Big et Mac sont les plus exposés. Ces sombres idées enfouies dans la case "A oublier", faut faire face à une deuxième particularité d'Aubais, la lumière aveuglante de l'éclairage du stade, où des ballons à grelots genre cecifoot serait parfois bien utile. Le vin est tiré, il faut donc le boire, autrement dit faut s'adapter à la situation des lieux mais aussi aux forfaits éventuels et autres joueurs incertains. Et là ça devient complexe, sûr absent du 11 de départ et même du banc, Willy mais ça devient une habitude, ajouté à cela Pascalou, auteur d'une révolution lors de la seconde période à Vauvert, sera également manquant. Les incertitudes sont principalement axés sur les cas de La Boule et d'Arnaud, l'homme de verre, quia tout de même réussit l'exploit, lundi dernier, de passer plus d'une heure sur un terrain sans se blesser, remarquable performance...
La tactique et la compo devrait du coup être assez classique, un 4-4-2 en losange à moins que l'idée ayant germé du coach, à la fin de la première rencontre, avec deux milieus récupérateur soit testé et ce malgré l'absence de Domenech, aïe ça fait mal de réentendre ce nom pas vrai ? Dans les buts et sauf accident de dernière minute, la sentinelle en pâté, Pat, Diegolito d'un côté, Baumettes de l'autre en latéral avec comme suppléent pourquoi pas le retour des vendangistes Titi et Fifi, la charnière classique Jourdanov et Vadid. Au coeur de l'entre-jeu, Christophe à la récup, Richard et La Boule, s'il est là sinon Arnaud s'il est là aussi, sur les côtés, Mickey petit prince englué à vauvert, à la baguette et le trio à deux places devant, Juju qui remet son titre de talent d'or en jeu, Brandadao et Patou, en espérant que les fantômes de la saisons passées soit oubliés et qu'il ne faille pas attendre le 254ème face à face avec le gardien pour enfin ouvrir le score.
En face, l'adversaire ne devrait pas être trop inchangé par rapport à la saison dernière mais Aubais nous as parfois causé quelques soucis par le passé, gare donc à la rechute et une deuxième défaite consécutive aurait pour conséquence directe du pain de mie à la mortadelle en guise de banquet d'aprés-match, oublié le... minute de Bar en trois amuses bouches nappée d'une marinière à l'huile vierge et chardonnay relevée d'une fondue d'arômates et herbes, aux oubliettes le carré de cochon de Vallegrain rôti, artichaud et poitrine poivrée à la truffe d'été, etc, etc... inutile de faire un dessin.
Alors bon appetit et Allez les jaunes !!!

samedi 25 septembre 2010

Vauvert 3 Junas 2 : des bulles dans le pastis

Le décor de cette première journée de la saison 2010/2011 avait donc pour cadre, pour le foot loisir Junassol, le complexe sportif du Vauvertland, situé à mi-chemin entre des eaux pétillantes et des marais peu avenant. Bizarrement c'est un peu dans cette mélasse que c'est retrouvé notre équipe, embourbé jusqu'aux genoux lors d'une première période assez délicate pour les jaunes et noirs et une seconde période beaucoup plus rafraîchissante et reluisante qui donnent quelques motifs d'espoirs pour les mois à venir. Une rencontre redouté par les cadres Junassols, qui décidèrent d'emblée de mettre tous les atouts du côté de la Vaunage, un rendez-vous habituel place de l'avenir, une boisson coutumière, l'Heineken de maître Vadid et c'est tout l'osmose d'un groupe, les affinités naissantes et la solidarité d'une équipe qui se forment dans ces avants matches, bien peu mis en avant par la plupart des formations mais les avant-gardistes de la cité gardoise ont pris le taureau par les cornes comme on dit. Le théatre des rêves visités, c'est des songes plein la tête que l'échauffement des visiteurs débutent. Avec sérieux comme le revenant Pascalou, avec plus de nonchalence et d'apréhension comme l'expérimenté Jourdanov, faut dire que deux allers-retours de la largeurs du terrain, c'est à peu près quatre fois plus que ce qu'il sera contraint d'effectuer durant le match. Des visages, malgrè tout assez serein, comme si rien de facheux ne pouvait atteindre cette machine bien huilé qu'est le Junas Omnisports. Mais cette rencontre c'est avant tout l'histoire de retrouvailles, entre une équipe et son ancien disciple, le dénommé Cyrilgoal, dont bien des images ont dû traverser l'esprit à la vue de la tunique jaune et noire de ses désormais adversaires, mais le parigot fait partie de l'histoire de Junas, nul doute que ces anciens partenaires ont jurés de lui faire réviser certains classiques.
Pour cette première de la saison, le célèbre Coach Vadid a dû se passer malheureusement de quelques éléments non négligeables, les vendangeurs Fifi et Titi qui effectuerons leur retour sur le pré prochainement et Willy Menes, lui plus sérieusement touché et qui devra faire l'impasse sur une bonne partie de la saison, mais solidaire de ses compagnons, ce dernier a tenu à faire le déplacement dans la cité Vauverdoise afin d'encourager ses petits camarades. La composition tant attendu tomba devant un parterre de journalistes aussi impatient qu'une jeune mariée sur son lit d'amour. Quelques petites surprises allaient égayer cette feuille de match dans le positionnement de certains joueurs. dans les buts, en tout cas, du classique avec notre Pat International Britannique, Diegolito et Baumettes en latérals, Vadid et Jourdanov en charnière, rien de bien pompeux pour l'instant, mais le milieu de terrain allait se trouver un peu chamboulé avec le positionnement de Pascalou et de La Boule sur les côtés, encadrés par Christophe à la récup et de Mickey en meneur, Pat et Juju constituant la doublette d'attaquants, Brandadao, Arnaud et Richard faisant les frais du choix de l'entraîneur.
L'arbitre de cette rencontre, Monsieur Clear, lâcha les 22 acteurs sur les coups de 20h30, heure imposé par les diffuseurs de la ligue Foot Loisir. Et les Junassols entamèrent cette rencontre tambour battant en battant d'entrée le record du but le plus rapide de l'histoire des jaunes et noirs, moins de 60 secondes de jeu et Christophe lançait parfaitement en profondeur Juju qui catapultait le ballon dans le soupirail du gardien adverse et donc mettait fin à plus de 40 ans de disette pour le Juju qui marquait donc son premier but en match officiel depuis l'armistice de 1945 ou presque. Un but qu'il s'empressa de dédicacer à son président bien confortablement installé dans les loges du stade vauverdois. Hélas ce démarrage fût assez bref, car trés vite les locaux prirent les choses en main en monopolisant le cuir, ne laissant que des broutilles à leur adversaires. Une semi-alerte pour Pat, obligé de claquer un ballon en corner sur une louche bien vicieuse d'un joueur local. Les dix minutes de jeu n'était pas atteinte que déjà Vauvert remettait les pendules à l'heure, sur un beau mouvement du côté du Biker, ce dernier légèrement dépassé laissa filer son adversaire direct qui centra au cordeau pour son attaquant qui ajusta parfaitement Pat, une action que le coach joua en sénateur, pas exempt de tout reproche sur ce coup-là. Mais déjà, les premiers turn-over s'effectuèrent, Brandadao remplaçant le buteur devant et Richard se substituant à Diego derrière. Malheureusement, au quart d'heure de jeu, Richard relançant de manière fortuite sur un joueur adverse, qui sans états d'âmes envoya Cyrilgoal au firmament, 2-1 pour Vauvert qui réussit à renverser la vapeur en moins d'un quart d'heure. Sur le terrain, quelques individus jouèrent à l'arc-en-ciel tant leur visage changeait de couleurs au fur et à mesure que le temps passait. Mickey le petit prince tournait en rond, Le Gitan était aussi rapide qu'un tracteur au milieu d'un champs de maïs et Pascalou aussi précis qu'un jeune marié chevauchant sa bien aimée pour la première fois. Mais les péripéties de la défense junassole ne s'arrêtait pas là, les jaunes et noirs ne voyait toujours pas le ballon, mais valait mieux car dès lors qu'il était dans leur pied, la période des offrandes refaisait surface comme cette Diegolita de l'inventeur de ce geste à son capitaine Vadid qui, ne pouvant la controler, la laissa à son adversaire, 3-1 pour Vauvert, la messe était dite. Et du côté des visiteurs me direz-vous ? Et bien pas grand chose, Arnaud fît l'exploit de rester 20 minutes sur le terrain sans toucher une seule fois le ballon, le ballon prisonnier c'est pas lui, Patou, seul devant se croyait en plein désert de Gobi tant personne en vue à des kilomètres et La Boule finit la mi-temps en ayant parcouru la bagatelle de 42,50 mètres en une mi-temps, du grand art, chapeau l'artiste ! Les débats s'équilibrèrent légérement en fin de période malgrè une dernière alerte peu avant la mi-temps, où un attaquant local, pourtant seul face au but, manqua la cible grande ouverte devant lui. La mi-temps était donc là pour remettre à plat certaines évidences, et Pascalou prient les choses en mains en prenant place au sein de la défense au poste de libéro et obligeant tout ce beau monde à jouer beaucoup plus haut. Une seconde période qui paraissait plus équilibré, trop au goût de la Boule, fier de ses 43 mètres enfin atteint, et qui abandonna ses camarades pour aller tester la profondeur de banc de touche. Même son de cloche pour Arnaud dont le cuir n'aura pas usé ses chaussures ce soir. Quelques minutes de jeu en seconde période et un déboulé de Pat sur le côté gauche sema la panique dans la défenses de Vauvert, un centre parfait pour la gueule béante de Mickey qui faillit sur ce coup-là s'arracher à la fois la nuque, le nez et pire se décoiffer ! Ce fût la dernière fois que le petit prince toucha le ballon du match, car entre caravane et camping-cars accrochés au cul des uns et des autres, ce dernier préférant l'hôtel 4 étoiles au camping, rangea son attirail pour un sommeil bien mérité. Sinon quoi de neuf sur le terrain, et bien devant Brandadao en était à deux chevilles et trois orteils à son tableau de chasse et derrière Pascalou n'était pas en reste avec ses trois tibias, et deux tendons d'Achille. Patou s'essaya à la frappe de loin en y mettant toutes la force de ses chaussettes mais hélas l'équerre renvoya sa tentative, tir non cadré car plein cadre, logique. Cette fois le Junas OM jouait à armes égale maintenant que la Boule pétait le banc, les débats s'équibrèrent mais Christophe avait du mal à s'extirper du milieu de terrain adverse. Quelques frayeurs malgrè tout pour la défense des jaunes, une sortie Schumaresque de l'ami Pat dans les genoux de l'attaquant adverse, Juju lançait alors cette belle phrase :"ils ont une faute dans la surface d'avance, désormais", le pénalty était évident mais heureusement oublié par Monsieur Clear, pas trés clair sur ce coup-là. Cyrilgoal, quant à lui, voyait ressurgir son côté obscur et Bakayoquesque ou plutôt Fiorèsiste en rapport à ses couleurs, et deux caviars mangés, l'un seul au second poteau, il tirait dans le petit filet et l'autre, seul face au gardien réussit l'exploit de frapper le poteau. Mais alors que l'on s'achevait vers ce score, Juju nous refit le coup et à deux minutes du terme de cette rencontre, parfaitement lancé par son pote Patou, trompait de prés le gardien Vauverdois, 3 buts à 2, une réalisation qui venait récompenser les efforts Junassols de cette seconde période pour les ramener à un petit but de leurs concurrents. Hélas, le score en restait là, une défaite qui aurait pû être plus large mais aussi, avec un peu plus de réussite, être évité. Ce résultat résumait assez bien la tendance de cette rencontre, difficile pour les Junassols mais leurs adversaires ne seront pas de cette qualité tous les week-end, et au vu de la prestation des jaunes en seconde période, tous les espoirs sont permis pour les prochains matches. Les prestations furent assez inégales, avec une bonne rencontre de Baumettes et Pascalou derrière, Juju devant et Vadid en seconde période au milieu de terrain mais insuffisante pour Mickey qui, certes courra beaucoup mais beaucoup dans le vide, La Boule en mode Comic Show et un Christophe un peu en deça de ses prestations habituelles, mais lui aussi dû beaucoup courir aprés le ballon. Si tout ne fût pas rose, le milieu de terrain souffrant énormément, la prestation est allé crescendo et finalement, au vu de la qualité de l'adversaire, s'est avéré pas si mauvaise que ça, des progrès à faire mais d'ici quelques semaines jusqu'à la prochaine rencontre, ces réglages seront surement affinés et le résultat s'en resentira indéniablement. La troisième mi-temps ne fût qu'une formalité, écrasé par 15 Junassols à 4 mais de ce succès là, personne n'en doutait.

mardi 21 septembre 2010

Avant match Vauvert-Junas : dans l'inconnu...

Les maillots jaunes et noirs sont pliés dans le placard depuis quelques semaines déjà, tout comme les shorts et chaussettes noires qui complètent la tenue officielle, du moins ceux qui n'ont pas été oubliés dans le panier de linge sale, ce qui nous vaudra surement une ou deux tenue "show-biz" vendredi, les chaussures flambants neuves pour les uns, cirés pour les autres ou en l'état de décomposition boueuse pour la plupart, quillés au fond du garage, expulsé violemment par la maîtresse de maison dérangé par l'odeur si masculine qu'elles dégageaient ; mais tout ce bel attirail, si mélancolique pour tout footeux dans l'âme va devoir ressortir de son sommeil forcé. En effet, moins d'un mois aprés la reprise des entraînements, l'heure de la première rencontre de cette nouvelle saison a enfin sonné, du moins il sera effectif vendredi soir sur un stade inconnu pour nous les Junassols, le Vauvertland Stadium.
Alors attention, c'est là que l'on va enfin pouvoir juger sur la qualité de préparation de Coach Vadid, savoir si les tous les muscles ont été bien été réveillés ? si la souplesse des gestes essentiels a été retrouvés voire affiné par rapport à l'exercice précédent ? Si la condition physique suffisamment travaillés pour 90 minutes ? En ce qui concerne la troisième mi-temps,  pas de soucis, les heures supplémentaires en fin de séance ont payés et je pense que le JO sera difficile à battre cette année sur ce plan là et ne devraient pas lacher leur titre, acquis en juin dernier, de sitôt. Il faut dire que notre équipe possède de véritables artistes dans ce domaine, qui n'a jamais rêvé d'avoir la technique de Brandadao lorqu'il sert sa menthe dans son jaune, la tête de la Boule à l'arrivée des bouteilles est unique sur le circuit, Baumettes dit Mister Ice spécialiste des glaçons en toutes circonstances et en tout lieux, et bien sûr notre gourou à tous, la Fraise sur le gâteau, Christophe, le véritable pilier de cette équipe, pas tant sur le terrain où il reste en deça d'autres joueurs tel Jourdanov par exemple mais dès qu'un apéro poussent sur un champs, il est toujours trés présent et dur sur le verre, un modèle pour nous tous.
Non, ce qui inquiète un peu c'est la vérité du terrain, le révélateur du rectangle vert se dresse désormais devant nous et il serait judicieux de ne pas débuter la saison par une triste déconvenue. Mais il faut dire que l'on avance un peu vers l'inconnu pour cette première rencontre, tant sur le degré de forme de notre équipe que par la faute à un adversaire inédit, réputé qui plus est, et d'aprés ce que l'on en dit, il n'ont que peu de points communs avec les quelques peintres malchanceux que l'on a croisé sur notre route l'année passée. Enfin tout n'est pas totalement étranger dans cette équipe, car le plus Parigots des Sudistes fait partie de cet effectif, l'ancien goléador des heures de gloires du Junas Omnisports, Cyrilgoal, qui sévit encore dernièrement à la Copa avec les Macs pour remporter le titre au nez et à la barbe des Bigs. Pour celui dont le cœur bat pour trois lettres Francilienne (devinez lesquelles), elles sont bannis de ce coin-ci de la France), c'est une dizaine de saisons sous le maillots jaunes et verts, quelques trois cents buts marqués et un bon miliers de loupés Bakayoquesque. Toutefois il n'aura pas la vie facile avec notre charnière d'élite, Jourdanov et Vadid le connaissent si bien, mais si ses collègues de clubs ont le même goût du Coca-Cola Light que lui, et bien excusez du langage mais "on est pas dans la merde !".
Notre bon coach Vadid, fidèle à ses habitudes va donc nous conconcter une équipe qu'il espère la plus compétitive possible. Son schéma on le connait, 9 derrière, un milieu récupéro-relayo-offensif et un attaquant de pointe qui ne devra toutefois pas oublier ses tâches défensives. Le Cavalli du Pays de Sommières devra noter quelques absences de marques pour cette première journée, tout d'abord les "Vendangeurs" ne seront surement pas du voyage, Fifi et Titi débutant leur saison au mois d'octobre et le grand absent du moment, qui risque d'être scotché en tribune jusqu'à Noël, Willy Menes, qui pourra donc entièrement se consacrer à l'observation et au taillage sur blog en bonne et dûe forme, gâre aux notes d'aprés-mach, la moins bonne paiera l'apéro au prochain entraînement...
Le système de jeu évolutif devrait, selon toute vraisemblance, démarrer par un 4-4-2 en losange, comme régulièrement en fin de saison dernière. Dans les buts le plus anglais des Junassols, notre Robert Green à nous sans les boulettes, auteur d'une saison dernière remarquable, le bien nommé Pat. La défense composé du Johnny Hallyday du Football, le biker à roulette de la Vaunage, plus Angels que Hells dans ses interventions balle au pied, le héros du 1er Mai, Diegolito, avec de l'autre côté le prince de la tartiflette, le roi des glaçons et l'empereur du défrisage, l'ami Baumettes. Devant ces braves, la charnière idéale composé tout d'abord de la technique personnifié, celui dont un certain ZZ doit tout, le Monsieur Canapé, Jourdanov notre international batave, et de l'autre la figure emblématique de cette équipe, celui dont le dernier verre est le plus redoutable et le plus  redouté Coach Vadid bien sûr, une seule erreur notable dans sa vie de footballeur, il s'est trompé d'Olympique. Toutefois cette charnière est menacé cette année par l'éclosion promise d'un petit jeune prometteur, Pascalou, le collectionneur des séances de kinés, l'adorateur des salles d'attentes, celui qui s'est fait tatoué une croix bleu dans son dos en hommage aux sauveteurs de l'extrême, mais parviendra t-il à faire vasciller les titulaires de la défense ?
Le milieu de terrain à présent, le losange devrait ainsi se constituer à la récup de  Christophe, quoique un peu juste de la tête, le Lucky Luke de l'anis continue à faire confiance à son entraîneur pour ce poste. Sur les côtés de ce milieu de terrain, ils sont trois pour deux postes, La Boule Rémoises, celui qui a fait mettre un lit dans les toilettes de sa nouvelle caravane, situé entre Roberto Carlos et Johnny Rep, il peut également redecendre d'un cran afin de remplacer le Cui-Cui en cours de rencontre, Arnaud le sage, tout propret même à la fin d'un match, le Duc d'Orléans est une pièce maîtresse de ce milieu de terrain tout comme la recrue de cette saison, aprés deux ans d'exil vendredi sera le grand retour du petit Richard dont les débordements pourrait être precieux pour les attaquants en place. La distribution du jeu devrait être confier une nouvelle fois au petit prince, ne lui en déplaise, car ce dernier lorgne sur les places de devant alors qu'il est si souvent derrière Jourdanov ! Enfin trois pour deux places également devant, Brandadao et son célèbre épaule contre épaule qui ferait chavirer dans les balustrades un Jonah Lomu des grandes années, enfin avec un peu d'imagination quand même... Patou, le monsieur Top But, le Amara Simba de Junas (spécial dédicace à Cyrilgoal), le nettoyeur de lucarnes ou autres soupirails alliera t-il cette année également la quantité à la qualité ? Enfin, Juju complètera l'attaque avec ses deux compères, lui dont le dernier but en match officiel remonte à la télé noir et blanc (faut le piquer au vif parfois !) aura à cœur de bien débuter l'exercice.
La tâche ne sera évidemment pas aisé mais certains doutes devraient être levés ou au contraire accentuer vendredi aprés la rencontre. Des priorités plus révélatrices que d'autres pour la bonne continuation de la saison. En attendant n'oubliez pas vos contributions annuelles pour que ces rencontres et surtout ces troisième mi-temps puissent se dérouler comme les années précédentes. Le premier sondage de la saison est dehors : que redoutez-vous le plus pour vendredi ? Alors à vos votes !

jeudi 9 septembre 2010

CALENDRIER 2010/2011

24 Septembre 2010 : VAUVERT, les retrouvailles avec Cyrilgoal, avis à la défense
15 Octobre 2010 : AUBAIS et les joies des matches à la chandelle
22 Octobre 2010 : AIGUES-VIVES, bon terrain, bon apéro et Tartiflette
12 Novembre 2010 : VILLETELLE, 9 en défense et un attaquant, objectif  0-0 !
10 Décembre 2010 : CONGENIES, oh joie ! le derby, excellent état d'esprit en l'occurence, genre Knysna

TREVE HIVERNALE, apéro d'omnisports, repas Noël, réveillon et cotillons, gâre à la balance !

11 Février 2011 : LUNEL-VIEIL, en général là-bas le coach joue dans les buts
11 Mars 2011 : VILLETELLE, peut-être le premier match de l'équipe à Junas
18 Mars 2011 : AUBAIS, Jourdanov avant-centre et Mickey dans les buts (confidences du coach)
08 Avril 2011 : CONGENIES, à 10  on passe à l'apéro !
15 Avril 2011 : AIGUES-VIVES, le mois d'avril est chargé
22 Avril 2011 : LUNEL-VIEIL, Dernier match avant la séparation Copa de Junas
1er Mai 2011 : 3ème COPA de JUNAS, les Mac Junas remettent leur titre en jeu
20 Mai 2011 : VAUVERT, la dernière journée, c'est là qu'on décroche la Champion's League
Juin 2011 : GARDEN PARTY, Diego et Fifi ont leur tête mise à prix

mardi 31 août 2010

Le cinéma de Junas

Le grand réalisateur de notre équipe foot-loisirs a débuté ses préparatifs au tournage de la prochaine saison du Junas Omnisports, une super-production à gros budgets qui, vraisemblablement, saura passionner un grand nombre d’admirateurs de sensations fortes et d’aventures intrépides. Les grands hommes de notre temps, qu’ils soient héros de guerre, dictateurs, défenseurs des nobles causes, sérials killers sanguinaires ou encore sportifs renommés, ont tous pour point commun d’avoir un jour finit dans le script d’un scénariste et leur vie ou péripéties reproduite sur grand écran. Les ingrédients d’un Blockbuster sont les mêmes que pour monter une équipe compétitive, il faut des vedettes, un ou deux seconds rôles, des jeunes espoirs, un ancien sur le déclin (un seul juste pour l’expérience) et quelques figurants. Notre équipe ne déroge pas à la règle, il y a des aventuriers, des romantiques, des comiques, des beaux gosses, des mines patibulaires, le tout est de découvrir, sans froisser personnes, qui de nous est Al Pacino, Sean Connery, Alain Delon, Brad Pitt, Bourvil (lui on s’en doute), George Clooney ou Rocco Siffredi (c’est aussi du cinéma mais par contre là j’en ai pas trop vu sous les douches). Vendredi dernier a eu lieu l’avant-première de cette saison, et si ce premier opus n’a pas encore rameté les foules, la date de sortie n’y est surement pas étrangère, les vacances encore dans les têtes et les apéros pas encore raréfiés. D’après le making-of du Gran Scorsese alias coach Vadid, quelques affranchis avaient décidé de braver les dangers du sirocco Junassol et cela même en sentant la grosse fatigue qui les guettaient une heure plus tard , ne manquait que la musique de John Williams ou Ennio Morricone pour vraiment s’y croire. Mais avouons-le, osez comparer Hollywood à Junas c’est un peu si Laurent Blanc pensait à Jourdanov pour sa charnière centrale, le costume se ressemble, un maillot, un short et des chaussettes mais pour le reste, c’est un gros fantasme. Jourdanov, portrait du XXIè siècle, et la face du foot Français s’en trouve changé à jamais (à télécharger dans la rubrique comédie). Certaines œuvres, par contre, reflète un peu plus notre Clan de Sicilien, j’entends déjà certains emmerdeurs qui chuchotte les Bronzés ou encore les Collègues, mais je pensais plutôt à notre letmotiv avant chaque séance, A nous la victoire. Le cœur des Hommes, voirent des Hommes d’Honneur aurait fait un beau titre pour un film retraçant les mémoires de cette équipe mais un, ces titres sont déjà pris et surtout deux, on est pas encore mort ! Une équipe de foot-loisir à Junas n’est pas un long fleuve tranquille et une saison longue et sèche en jaune et noir n’est ni une chevauchée fantastique ni un voyage au bout de l’enfer, c’est tout simplement la ruée vers l’Or, et le nôtre est un peu particulier quoique ayant, malgrè tout la même couleur. Découvrons à présent le casting de cette saison 2010/2011, tout d’abord Edward aux mains d’argent, notre Pat, star internationale qui se transforme en Bruce Willis sauveur du monde, du moins de la patrie Junassole, lorsque notre défense, en pleine tempête, se prend pour le Titanic et coûle à flots. Ce mur de l’Atlantique qu’est notre arrière garde est composé d’éléments divers venus d’horizons lointains, tout d’abord dans la rubrique burlesque, entre Mikaël Kaël contre la world news company et Flipper le dauphin, notre ami Diegolito, il est toute la collection du gendarme de St Tropez à lui tout seul et même si parfois il nous fait une Forrest Gump comme lors de cette fameuse finale de la Copa, en mai dernier, il reste le plus souvent fidèle à lui même, un comique, un corniaud. Il partage souvent son poste avec le Colosse de Rhodes, le King-Kong Junassol, plus par sa pilosité fortement développé, (j’aurais également pu citer Chewbacca), que par sa façon de grogner. De l’autre côté nous retrouvons l’accent chantant des œuvres de Pagnol souvent magistralement interprété par Fernandel-Baumettes et ses répliques célèbres du genre « Oh coiffeur, je vais te défriser moi ! ». Notre Marseillais passant parfois dans l’axe ou au milieu de terrain, c’est le Fifi qui le remplace, il a une mixture aussi célèbre que celle que rapporte La Denrée dans la Soupe aux Choux, mais lorsque Fifi prend la possession du ballon c’est plutôt Psychose pour les adversaires. La charnière Vadid-Jourdanov, c’est un duel au soleil, un choc de légende Pacino-De Niro par exemple ou Belmondo-Delon pour les francophiles mais gare, de grosses têtes d’affiches peuvent parfois ruiner la production, en l’occurrence le bar. Les 4 fantastiques titulaire de la défense cette année seront menacé par un cinquième élément, Pascalou, genou et mollet remplacé c’est un super héros qui pourrait venir intégrer cette charnière, il faudra qui nous démontre lequel, Spiderman ou Hancock.
Au milieu de terrain, les incorruptibles de l’apéro seront bien-là, inutile de leur proposer un jus d’orange, ils n’ont jamais craqué. Sur le terrain on retrouve un quatuor composé de la Boule, le Chtis auquel on a souhaité la bienvenue à son arrivée, le temps du Gitan est désormais compté, au vu de l’actualité vaudrait mieux qu’il enterre vite sa roulotte. Arnaud, le discret sur l’autre aile, avec lui le football c’est le bonheur dans le pré pas comme le bad boy Christophe, notre arme fatale, celui qui descend une bouteille aussi vite que son ombre, ce Lucky Luke de l’apéro fait une doublette parfaite avec son copain du milieu, Astérix, le petit lutin malin, Mickey les yeux bleus ou le Mister Dynamite de cette équipe. Enfin l’attaque ou l’âme des guerriers est bien présente, entre Patou, le Zorro de bien des rencontres l’année passé lorsque tout le monde jouait au fantomas, Brandadao, qui se prend pour Travolta dans Grease dans ses mondes perdues mais pèse énormément sur les défenses adverses, Juju ballon au pied c’est danger immédiat pour le gardien d’en face et pour les bouteilles de 51 c’est Alerte ! enfin Willy Menes, le diabolique, sa feinte favorite la traque sur internet mais redouté…par sa plume.
La distribution de cette saison est peut-être encore incomplète, on pense bien sûr au revenant Richard le cœur de lion (facile celle-là) et peut-être à d’insoupsonnés talents cachés, mais le synopsis de la première rencontre sera bientôt connu et la sortie est prévu pour le 24 septembre au complexe de Vauvert, d’ici là, les machinistes du milieu de terrain, les maquilleurs du banc de touche ou les autres cadreurs de l’attaque devront se mettre au diapason pour la promo du JO et être présent le D-Day pour monter les marches de la gloire, d’ici là, bonne toile !

The End