mercredi 31 mars 2010

Avant-match Lunel-Vieil - Junas : les marseillais...

A peine une semaine est passée depuis la mémorable branlée infligé aux gonzes de Congénies, que déjà un autre monstre se dresse devant notre équipe de fadolis. Le challenge sera surement plus difficile à relever que celui de vendredi dernier et il faudra se lever le maffre, autrement mauvaise limonade, on reviendra avec queutchi. Méfi ! la saison peut encore se terminer en eau de boudin, et on ne va pas se retrouver dans la panade lors des deux dernières rencontres à disputer, c'est pas encore l'heure du pénéquet et les parties s'annoncent âpres et indécises. Petit flashback sur le match aller pour ceux qui avaient la cagagne, et ils étaient nombreux, car sans gardiens et une équipe de branquignolles, les Junassols les avaient fait devenir chèvre en s'imposant 4 buts à 3 au terme d'une fin de rencontre se terminant en vrai carcan et nous avaient fait craindre avec, faut bien l'avouer, le cul un peu bordé d'anchois, mais devenu depuis un symbole d'abnégation, de courage et de solidarité. Voilà, c'est ces trois principes que l'on ne doit pas jeter aux cagoinces, ne pas faire les pataras mais la-dessus aucun risque, c'est notre marque de fabrique preuve qu'il en est aussi, qu'avant d'être une équipe, le Junas OM est une bande de fadas devenu trés proche autant dans les bons moments que dans la mouise. C'est le petit plus qu'a cette équipe par rapport aux autres fifres, car côté technique tout le monde n'est pas au même niveau, sans vouloir froisser qui que ce soit mais peuchère le Christophe, il fait pas trop le mariole sur le terrain, on voit bien qu'il a du mal avec cette petite chose ronde qui rebondit partout, comparé à Jourdanov, notre international qui taquine bien le ballon et serait capable de jongler jusqu'à l'an Que ven, c'est Renato Civelli face à Lionel Messi, mais comparons ce qui est comparable, imaginez aussi un duel de vitesse entre Mickey le mouligas et Titi le Babi ressemblerait à une course entre la trapanelle de notre ancien meilleur gardien de l'année passé, Dim la trompette, face à une Merco piloté par Sebastien Loeb ! La carrure des uns et des autres est bien différente aussi, les gisclets nimbus Big et Mac, les os sur la peau et la caisse impressionnante du morfale Fifi. Non, cette équipe n'a pas grand chose d'homogène, certains roulent en mobi de longue quand d'autres traine des caravanes derrière leur dos toute l'année, peut-être qu'un jour ce cataplasme de gitan se découvrira des ailes lorsqu'il aura enfin décroché sa roulotte, mais si ce jour-là arrive, on aura la coupe... Un domaine pourtant atteint des niveaux comparables les uns des autres, certes les uns vont changer l'eau des olives nettement plus souvent qu'il ne faudrait mais ce n'est que détails,car l ne s'agit pas là de galéjades, les chiffres sont là pour l'attester, cette année c'est une quinzaine de packs de kro d'avant-match, environs 300 mousses juste aprés, une vingtaine de kilos de pastagua dans le cornet avant les repas, une quinzaine de Get 27  aprés, et encore ne sont pas comptabilisé dans ces statistiques Canal+ les parts de Christophe et du khéké qui à eux deux double voire triple ces chiffres-là et notre Juju national a fait une saison blanche sur ce plan-là à cause du niston ! Sans trop barjaquer, imaginez un peu les chiffres additionnés à ces trois-là ! Les familles seront dans la mouscaille pour l'année prochaine, avec les vestiaires et surtout le club-house ! Mais revenons à nos moutons avec cette rencontre face à Lunel-Vieil, premier conseil, arriver à oilpé, juste un maillot et une braille, les mafalous du coin ont fait du stade leur quartier général, mais on va pas se dévarier pour ça, ensuite prévoir les lampes-torches sur le teston, la lumière est à peu prés équivalente que dans le fion d'un noir, 60watts par pilier, sinon ce stade du Ray est accueillant. On sera peut-être pas un wagon, encore beaucoup sont incertains, comme Titi, s'il n'est pas remis de sa douleur au foie... pardon à la cheville, Fifi, même symptômes, l'a raquer toute la semaine mais ça c'est à force d'accepter n'importe quel parigot comme voisin et surtout la racaille gitanes, Arnaud incertain lui-aussi, indiscrétion de son épouse, mais n'est-ce pas une ruse pour le garder pour elle toute seule à la maison, peut-être pourra t-il s'escaper ? Patou le garri et son corps d'ancêtre de 90 ans, qui a peur de rester coincé au mitan du bar à cause d'une sciatique et d'être ganare au petit matin, la-dessus pas de danger, la Ténardier qui tient le bistrot ferme le rideau à 1heure et encore faut avoir balayer avant de se faire la malle ! Brandadao, un peu goï aprés la nuit de vendredi à samedi...surement taclé par une méchante bouteille de jaune, oh la vilaine ! Alain, rassurez-vous il n'a pas le mal de la macaque et devrait venir nous soutenir moralement, il a envie de s'empéguer oui ! Je ne parle même plus de Pascal, qui malgré tout doit se languir des ballons, mine de rien aura battu un record dès sa première saison, une demi mi-temps en ayant commencé en octobre, personne ne l'avais jamais fait, respect ! Pécaïre, qu'est-ce que cela peut donner sur la feuille de match ? Pat dans les barres, pour l'instant ça va, ensuite ça se corse avec Titi ou la Boule le massacan d'un côté et Fifi ou Baumettes le mia de l'autre, la charnière Vadid-Jourdanov, le Mestre Christophe en 6 et Mickey en 10, OK, sur les côtés avec Arnaud l'estranger ou Juju par exemple et le Gipsy ou Eric de l'autre, à moins que Patou redescende en 10 et que Mickey prenne un côté ? Devant Pat ou Juju ou Brandadao ou Willy ou... quel oaï pour composer une équipe avec tous ces papets ! même à la Coustourelle sont pas aussi fracassés !
Le miracle a lieu malgré tout chaque vendredi, où les rumatismes se dissipe, mais quel est donc ce remède ? Le ballon pardi, c'est pas les galines, à notre âge qui nous ferons perdre le capéu. Avec tous les collègues dans la cariole et avanti au stade pour leur mettre le compte à ses cacous en rébannes. On se calent tous à l'abribus vendredi à 19h15, pour monter à Lunel-Vieil et y être pour 20h. J'espère que vous avez tout capté, le verbe fut un peu différent que d'habitude mais j'aurais pû rajouter alibofis, a queste co, qu'es aco, l'OM, la porte d'Aix, le Vélodrome, fatche de con, le con de Manon, fangoule, bordille et patin-coufin mais j'ai pas pu les placer dans le texte. A vendredi les James.

samedi 27 mars 2010

Congénies - Junas 1-7 : La lipe

Dans les infos d'avant match était posé une question, le Congénies 2010 est-il plus prés de l'Everest ou du Mont-Redonnet ? On a désormais la réponse, et le Mont-Redonnet parait bie haut en comparaison à cette faible équipe de Congénies, plutôt à la hauteur d'une basse dune de la plage de l'Espiguette ou de la montée vers les Aires et ce autant côté football que côté état d'esprit, bien méprisable ce qu'ils nous ont démontrés hier soir, si c'est ça Congénies... Ce derby en était un vrai, une atmosphère tendu, de la nervosité bien palpable et une mauvaise foi à faire pâlir de jalousie un supporter du PSG ! Pourtant, malgré le score sans appel, les locaux se montraient bien plus habile avec la langue qu'avec les pieds. Le "manque de chance" était clairement évident, sept "coups du sort" contre une "action de génie". Le mauvais esprit était bien sûr Junassol, mais malgré l'ampleur du score, la fête était un peu ternie par cette ambiance nauséabonde bien dans la ligne de conduite de cette équipe avec qui il est décidemment bien difficile de réaliser un match sain et agréable. Mais, par malheur pour cette pauvre formation Congénissoise, notre équipe était bien soudé hier soir, comme dans la majorité de ses matches d'ailleurs, et n'a en rien répondu à cette provocation malvenue, si ce n'est par la qualité de son jeu. D'ailleurs une tradition un temps oublié fût remise au goût du jour à la convocation de l'équipe, la canette de bière, fort appréciable, elle est l'un des élément moteur de la bonne prestation des jaunes et noir. Le symbole de cette unité fût incontestablement le grand retour de notre coach, sans qui cette équipe se sent un peu nue, privé de son chef et salué par l'ensemble des joueurs de cette formation dans les commentaires d'avant-match. Cette formation Junassole qui dû patienter un bon moment dans les travées du Stadio avant que les adversaires du jour eurent la bonne idée de se présenter à onze, coup d'envoi avec presqu'une heure de retard. Le retour du coach coïncide avec le retour à une certaine rigueur défensive, démontré par la composition de départ avec Pat dans les buts, Baumettes et Fifi en latéral, la charnière retrouvé des temps heureux, Jourdanov-Coach Vadid, Christophe en n°6, épaulé par Arnaud et le Gitan, Mickey en meneur et la paire Juju-Brandadao pour animer l'attaque, le banc étant composé d'Eric et de Willy également de retour aprés un match de disette face à Aigues-Vives. Les absents, Pascalou comme d'hab, Titi et Patou déjà bien vieux à son âge... Le coup d'envoi était donné dans une ambiance de film à la John Carpenter, cette scène où Freddy sort ses griffes à la recherche de Jason... Mais coup de théatre aprés deux minutes de jeu, sur un déboulé adverse, notre moissonneuse-batteuse, pardon Fifi, déséquilibrait un joueur ennemi dans la surface de vérité, pénalty fort logiquement accordé par l'équipe Junassole, 1-0 aprés quelques secondes de jeu, cela faisait bien longtemps que les jaunes débutait une partie de la sorte. Loin d'être accablé et encore moins désuni, le JO ne s'affolait pas et baladait le ballon au quatre coins du terrain comme Baumette prépare la tartiflette, avec sérénité. Aprés quelques petites escarmouches timides, les visiteurs d'un soir parvenait à égaliser peu avant la demi-heure de jeu par une action d'école et un décalage de Mickey-le-petit-prince pour Christophe qui d'une frappe lourde et sèche transperçait le gardien adverse. Une égalisation mérité mais pas suffisante aux yeux du peuple Junassol qui manifestait son impatience tout en encourageant son équipe qui prenait l'avantage environs trois minutes aprés l'égalisation, suite à une action de Pac-Man Mickey qui, excentré sur le côté ne centra surtout pas pour un de ces coéquipiers mais au contraire tenta sa chance qui heureusement pour lui fît mouche par un tir croisé autant improbable qu'impossible, ses nouvelles pantoufles sont décidemment bien efficace. A 2 à 1 on aurait pû se dire que les visiteurs allaient relacher leur pressing mais au contraire, ils enfoncèrent le clou par le deuxième but personnel de son maître à jouer Jourdanov...pardon Christophe, petit lapsus non révélateur. Un but d'anthologie de notre Fraise, contrôle du droit, coup du sombrero, reprise de volée enchaîné que je lui appris personnellement suite à son dernier entraînement, le gardien adverse ne pût qu'accompagner du regard le ballon dans ses filets. A 3-1 le break était fait, et on sentait cette équipe de Congénies au bord de la rupture, en plus de cela les actions jaunes et noires se multiplièrent sur le front Congénissois et sur l'une d'elle, Juju partit seul au but fût littéralement abbatu par le défenseur adverse en pleine surface, la réponse de l'arbitre à cet attentat ne se fît pas attendre, coup franc ! Scandale à l'Olympico ! Fair-play en plus de cela ! Le but que tout le monde attendait arriva suite à un corner obtenue par Willy, belle tête de Brandadao repoussé sur la ligne mais Coach Vadid récupérait le ballon pour le catapulter dans les cages d'un superbe ciseau, du grand art, on aurait dit Amara Simba en pleine gloire ! 4-1 la messe était déjà dite malgré l'absence du révérand, puni par Dieu pour son dernier apéro, et absent de cette  rencontre. Et les action s'enchainèrent et Junas enfilait les buts comme des perles, Christophe, encore lui, profita d'une première tentative de Willy, bien repoussé par le défenseur adverse, pour fusiller le gardien local. Ça fait 5 non ? Et du côté des rouges me dirait-vous ? Deux actions tout de même, à noter, chaque fois un peu confuse mais l'une atterit sur la barre et l'autre superbement repoussé du pied par Pat à la manière d'un gardien de hand. 5-1, la mi-temps était donc sifflé par ce score en faveur du JO, amplement mérité malgré les rumeurs de la populace locale et les quelques poussées adverses en fin de mi-temps.
La seconde période débuta comme la fin de la première, par des actions de plus en plus dangereuse pour les locaux mais la défense veillait. La Fraise, décidemment bien discret ce soir réalisa sa quatrième réalisation personnelle, pas mal ce petit jeune quoique un peu juste pour concurrencer l'attaque Junassole mais faut bien apprendre. Vint alors, l'action de cette rencontre, des gestes de cette classe on en voit une par décennie en moyenne, des actions qui compte dans une carrière, le Baresi de Junas, le Di Meco des Carpates, le charcutier gitan de Junas, il manie le découpage de semelle comme d'autre apprivoise les animaux de l'extrême, Jérôme, El Gitano de la Boule, déclencha alors une cisaille sur un attaquant adverse qui fît sortir de leur gonds les navrant joueurs de Congénies, à côté notre ancien Thierry la Cisaille fait figure d'amateur novice. Quel décrochage de bouche ! Notre Gitan devait un peu s'ennuyer dans ce match et a bien voulu tendre encore un peu plus les débats, quelle classe cette boule ! Le dernier but de cette soirée cauchemardesque pour les hôtes d'un soir intervint en fin de match où à la suite d'une percée rageuse, Baumette lança "doucement" Brandadao qui ne gacha pas cette offrande et d'un lob astucieux renvoya l'infortuné gardien à ses chères études, la branlée était complète, 7 buts à 1, ils peuvent parler Congénies, mais pour agir on attendra plus tard. De mémoire de derby, celui là rentrera à coup sur dans le panthéon Junassol, il doit être bien difficile ce matin de se réveiller à Congénies.
On attendait également les jaunes et noir pour la suite des débats, tant la troisième mi-temps aller s'était avéré mouvementé et humide également. Là encore, Junas terrassa ses adversaires par des montées de verres tranchantes, des descente d'anis en bonne et due forme et un collectif incomparable à ce niveau-là. La discution s'enflamma lorsque vint sur le tapis la Copa où Vadid voulu "équilibrer" nos deux équipes, les discussions agents-présidents ne font que commencer... Toutefois on peut animer ce débat avec l'équipe des "Kipsta" qui pourrait être composé de Vadid - Mickey - La Boule - Juju - Fifi - Brandadao et Pat, et les "sans maillots" Mac - Christophe - Patou - Willy - Fifi et Jourdanov. Des effectifs un peu juste en quantité mais qui pourrait, pourquoi pas, être compléter par des joueurs ayant du mal à construire leur effectif (Pascalou ?). A savoir que des éléments comme Eric ou Arnaud devrait amener leur propre équipe à la Copa, ce qui explique leur absences de ces compositions. Le débat n'est certainement pas clôt mais le JO torcha son dernier Get vers 3h00, concluant triomphalement cette soirée historique...
Bien joué les gars, quelle branlée on leur a mis !!!!!

lundi 22 mars 2010

Avant-match Congenies-Junas : c'est pas l'Everest quand même !

Le voyage moyen-âgeux étant désormais un lointain souvenir et aprés la capitulation de la cité d'Aigues-Vives, il est temps désormais pour notre vieille armée de poursuivre sa marche en avant, le sommet de la montagne est encore haut et le danger de la dégringolade guette encore nos petits hommes jaunes. Pour parer à la chute, les mousquetons ne sont plus autant solide qu'en début de saison, et l'arthrose naissant chez certain de nos âges avancés ne permettent plus de les fixer aussi solidement, pour eux le vide les hante, je parle du verre bien entendu. Maintenant se dresse un nouvel obstacle devant notre équipe, reste à savoir si c'est l'Everest ou la colline du Mont Redonnet, si s'encorder sera necessaire ou s'il s'agira d'une simple promenade. Les rumeurs enflent à l'approche du derby, il nous en cuiraient peut-être de ne pas bien attacher les crampons, certes on ne passe pas de l'Aigoual au Mont-Blanc en quelques semaines mais la prudence est de rigueur, la face Nord est une voie souvent plus rude. L'expédition a tout de même bien établie son camp de base, bien préparé tout son attirail sans négliger le moindre détail, souvent fatal, avec toute une panoplie de spécialistes qui garantissent presque le succès final. Il est important tout d'abord d'avoir de bons porteurs et en nombre suffisant, l'eau ne venant pas toute seule dans l'anis et ce breuvage pur est trés dangereux pour le cœur, les cuistots ensuite, une espèce à part, les as de la fourchette qui dévorent tartiflettes, gardianne ou pâtes en n'importe quelle circonstances, pas des Yétis mais presque, le chef d'expédition bien entendu, qui doit parer à toutes situations nouvelles pouvant contrecarrer les objectifs, en cas d'échec il sera évidemment le premier responsable, le financier, celui qui amènent les fonds necessaires à la bonne réalisation du projet, ami Jourdanov on attends toujours tes billes (ta bouteille si tu préfère), les médecins car forcemment il y a toujours de la casse et des cassés surtout, encore en nombre pour vendredi, le sherpa, c'est lui qui connaît le mieux le terrain, le régional de l'étape censé annoncer les dangers potentiels, et enfin bien entendu les alpinistes, chargé d'aller planter le drapeau au sommet, mais attention, il faut les lancer au bon moment sinon ils se perdront dans la tempête et devront vite redescendre par manque d'oxygène. Cette ascension a un parfum particulier, certainement pas le plus haut sommet du monde mais un désir de le vaincre à chaque rencontre, comme s'il s'agissait d'un défi permanent. Il est arrivé par le passé que l'on sous estime sa hauteur et ses dangers, la topographie du site pas trés bien préparé et c'est la catastrophe, reste alors des souvenirs douloureux où l'on n'avait pas su envisager d'autres variantes au chemin initial et l'œudème fut évité de peu. Le sac à dos ne doit contenir que l'essentiel, trop lourd il fatigue vite, allourdit les jambes et l'efficacité n'est alors plus aussi bien assuré. Les piolets doivent être planté au bon endroit, ni trop haut, ni trop bas afin de se hisser en s'économisant au maximum, ajuster le baudrier, bien connaître son partenaire de cordée également, l'aider si necessaire mais pas le ralentir non plus dans sa gestion de l'effort mais au moment opportun, donner un peu de mou pour mieux repartir de l'avant et franchir les paliers les uns aprés les autres. Il est important également de ne pas partir trop vite, s'acclimater tout doucement pour ne pas risquer l'asphyxie trop rapidement, repéré les brêches et s'engouffrer dans les cheminées amenant au camp 1 , 2 ou 3. Les hommes retenus pour l'expédition Congénies 2010 sont : Pat, les piquets c'est sa tâche principale, gère à ne rien passer entre, Titi et Fifi sur les flancs, pour contrecarrer les risques d'avalanche, sur l'arête centrale Jourdanov et Baumettes, parrallèlement ils coachent de futur champions mais c'est pour la tambouille et l'eau de survie qu'ils sont les plus doués, Christophe dit la Fraise, au milieu de tout ce monde est un peu tout à la fois, explorateur en haut comme en bas il peut aussi bien planter le drapeau que redescendre en rappel pour mieux filtrer l'anis débordant, Arnaud plus souvent cassé que sur deux jambes mais trés utile quand ses os ne se rompent pas, le Gitan, se débrouille de pas grand chose et ressort souvent la gueule dans la neige, il a constamment sa roulotte derrière lui, qu'il a du mal à décrocher parfois, Mickey le métronome, souvent bien plus bas qu'il ne faudrait mais capable de grandes embardées comme de petites tournées, Pat le révérand optimise souvent ses prises surement un pion essentiel dans la conquête future, Brandadao, lui c'est le physique, c'est pas lui qui tombera inanhimé, pas toujours trés orthodoxe dans ses montées mais souvent trés efficace, Juju, lui il a la particularité de gravir la face Nord de l'Anapurna et d'échouer sur le Mont Redonnet mais rien lui fait peur, également prévu d'autres porteurs comme Eric ou Alain mais leur présence n'est pas assuré. Quoiqu'il en soit si tout ce beau monde est à son meilleur niveau, la montagne Tibétaine se transformera en plaine Hollandaise et l'on pourra alors découvrir quel est le véritable but de cette expédition, humanitaire, ils militent tous pour la soif dans le monde, mais c'est tout à leur honneur, ils préfèrent l'appliquer qu'en parler. Le rendez-vous au camp de base 1 Boulangerie/Abri bus est fixé vendredi à 19h30-19h45 sinon au camp de base 2 Stade Congénies vers 20h-20h15. Préparer tous votre équipement et parer pour la grande aventure... On va les niiiiiiqueeeeeer !!!!!!

mercredi 10 mars 2010

Aigues-Vives - Junas

Le rendez-vous pour le match de vendredi face à Aigues-Vives est confirmé pour 19h30 à l'abribus. Confirmez votre présence pour ce match, merci.

jeudi 4 mars 2010

Avant Match Aubais-Junas : pour la reconquête

Tels les croisés à la reconquête de Jérusalem, les chevaliers Junassols, déchue de leur royaume de l'invincibilité, repartent en campagne vendredi soir, histoire de reconquerir leurs terres si dûrement gagné durant les joutes de l'année 2009 et si rapidement perdu lors de la bataille du Nord où les aléas météorologique n'ont pas été les alliés escomptés pour les hommes au blason jaune et noir. Une armée transit de froid et peu inspiré, des défenses malmenés et des attaques trop rares et désordonnés, c'est la citadelle de Junas qui tomba, non sans combattre, mais qui finît par rompre sous les assauts des assaillants, supérieur en qualité. Heureusement les irréductibles se rassemblèrent et formèrent la résistance lors du banquet d'aprés-combat où la vinasse et le breuvage jaune coûla à flots, ce qui permit de reformer les troupes, la bataille de Villetelle est perdu mais pas la guerre Champion's League. Cette reconquête ne sera pas aisée, sous le joug du Roi Did 1er, les princes, chevalier ou simple combattants doivent s'unir sous l'ordre des Templiers Junassols afin d'établir un plan de bataille avec pour première cible visé : le royaume d'Aubais. La lutte se fera sous la houlette du petit prince, notre bon Roi étant incertain à l'heure où ce parchemin est établit, une première donc pour ce fidèle de notre seigneur qui conduira donc les troupes avec pour seule mission, la victoire. Il sera aidé pour cette tâche par tous les vassaux du royaume, chevaliers et simple combattants qui ne feront qu'un pour la grandeur de Junas. Juju, en l'absence de Pat parti dans de lointaines contrées, sera chargé de défendre la forteresse, devant lui sur les côtés Titi et Fifi garants de ne pas se faire déborder, les sentinelles Jourdanov et Baumettes pour empêcher les percées adverses, Christophe le chevalier Jaune-Fraise sera le métronome de cette troupe, tentant de lancer des brêches dans les défenses aubaisiennes et colmater les faiblesses des jaunes et noir. A ses côté le serf El Gipsy Gégé toujours prêt à se sacrifier pour le bien de son équipe, et Arnaud le duc d'Orléans s'il est remis de sa vilaine blessure contracté lors du dernier entraînement. Le petit prince au milieu de son armée pour toujours aller de l'avant sans jamais reculer (hum) et pourquoi pas, enfoncer l'arrière garde adverse. Devant, tour à tour les mousquetaires Willy et Brandadao et le représentant de l'église, le père Patou. Bertolucci, Eric et pourquoi pas Diego seront les armes secrètes de cette croisade. Maintenant que faire pour conquérir le graal et planter le drapeau dans les terres adverses ? Inutile de catapulter de gros projectiles devant dans l'espoir qu'il n'y es point de ripostes des gueux adverses, pas de magie ni de Merlin dans nos rangs, on ne peut faire un épervier d'un busard, non la victoire viendra de notre capacité à aller de l'avant tout en affutant nos dagues et épées à bon escient, les infidèles du royaume d'Aubais seront alors vaincus et l'heure sera alors venu de sacrifier l'agneau et de transpercer les tonneaux sous l'air des cornemuses et guiternes, les pas de gigues entamés pour fêter le royaume de Junas à nouveau conquérant. 
En attendant de festoyer tous ensemble, rendez-vous vendredi à l'abribus, 19h pour le Gipsy et 19h15 pour les autres.