vendredi 25 juin 2010

RETRO 2010 : de l'ombre à la lumière

Peut-être endormis par leur domination sur les terrains voisins, le pouvoir en place, que ce soit le clergé de l’évêque Patou, la noblesse ou famille royale Big, Mac et Mickey ne voient pas la révolte grandir, le Tiers-Etat s’organisent et les Sans Culottes de l’IUT vont frapper les premiers. La grande peur commence, surpris et désorganisé par l’envie de leurs opposants, les défenseurs de l’ancien régime cèdent peu à peu, comme à l’image de notre géoliers, qui, à lui tout seul,  ne peut empêcher la prise de la basse quille, symbôle du camps d’entraînement des Junassols. Quelques Chouans tentent vainement de contre-attaquer mais sous l’air de la Marseillaise et des balles incessantes, de droite ou de gauche le score s’allourdit, Junas tombent, le régime est renversé et des têtes vont être coupées. Absent lors de cette confrontation, un petit bonhomme montent peu à peu en puissance et pourrait très bientôt briguer le pouvoir. 

Ebranlé par la défaite des hommes de l’IUT, la Grande Armée Junassole n’en perd pas pour autant l’ambition et la soif de conquêtes et de victoires, peut-être trop. C’est dans cet esprit que les troupes Vadidiennes se présentent un soir d’hiver aux portes du Vidourle, après avoir traversé le fleuve ils s’apprêtent à livrer campagne à Villetelle, la chute sera terrible. Les généraux de la technique Christophe et Mickey, quelques hussards de la roublardises tels Mac ou Fifi, les grognards de la vieille école comme Menes, Juju ou Patou et le nouvel aide de camp de cette équipe, Arnaud, tout ce beau monde étaient prés à défiler en parade pour le premier empire du Football de Junas. Ils avaient tout prévu ou presque, sauf qu’en ce mois de février le froid étaient bien présent sur la vaste plaine héraultaise. Ce fut la bérézina, notre Boule attrapa très rapidement un abreuvoir à mouches**, le Capitaine Christophe englué et heureux comme un poisson sur la paille et c’est toutes les troupes Jaunes et Noires, pourtant se composant de nombreuses vieilles moustaches, quelques crânes et durs à cuires, qui se firent laver les cheveux avec du plomb. La défaite est sanglante pour le chapeau près à descendre la garde pour sa patrie. Malgrè cette déconvenue, les Gardois firent honneur à leur réputation sitôt la capitulation signé, le Petit Caporal en exil et le reste des hommes mirent les dents au crochet, et ne refusère point le Jus de l’Arbre qu’il leur était proposé. Ce moment-là marqua le début de la période noire que je ne conterais pas pour remonter le temps directement à la modernisation du jeu Junassol, une forme de renouvellement industriel qui eut pour premières conséquences l’extermination de l’ennemi juré, Congénies.

Mais qu’ont donc tant révolutionné les ardeurs des Jaunes et Noirs ? Une poussée technologique que les périmés de Congénies n’ont sû admettrent et pourtant la ressemblance était aussi évidente qu’entre un train à vapeur et un cheval de trait. Pour expliquer ce changements radical, plusieurs découvertes et innovations clés en sont le reflet. Le professeur Jourdanov découvre le vaccin contre la plage,le sable fin responsable de son éloignement des terrains depuis la préhistoire ! Pionnier d’une science qu’il nomme lui-même microfootball, il découvre vite les bienfaits d’un bon match sans ballons. La carburation du Fifi laissaient  sérieusement à désirer depuis quelques décennies, le renouvellement de sa vieille machine à vapeur par le tout premier moteur électrique contribua au développement de son accélération, des courses à la chaîne, voilà un vrai progrès. La Boule lui aussi innove en délaissant sa bonne vieille roulotte pour un nouveau concept : la caravane, pas facile à décrocher mais plus utile dans les remontées de balles où elle peut s’accrocher à l’adversaire direct, également impliqué dans l’invention de la moissonneuse-tacleuse. Sans révéler toutes les nouveautés de cette belle époque on peut aussi également citer les passes télégraphiés, la turbine à enfiler les buts ou la dynamite de nos attaquants pour faire éclater les défenseurs les plus récalcitrants, bref tous ces acteurs et bien d’autres ont participé au renouveau du jeu à la Junassole, certes tous ne sont pas des Lumières mais le feu d’artifice de ce soir-là valait bien une exposition universelle.

Mais toute montée de modernisme et de développement attire également l’excès et la vermine, ainsi Junas ne devient-il pas un clan ? Une mafia s’installe au sein de l’équipe, les uns voulant proliférer leur propre distillerie, les autres, refutant tout autre proposition que du 51, et une troisième catégorie, criblé de dettes et se faisant attendre pour les régler. Junas n’est pas Chicago mais certains membres font penser à Capone ou John Dillinger, ainsi lorsqu’il fallut attaquer un convoi pleins de ballons du côtés des faubourg de Lunel-Vieil, tout le monde prépara minutieusement les armes. Mais le comité d’accueil fût informés des intentions de Mickey-belle-gueule et sa bande et la fusillade devint inéluctable. Planqués dans des recoins mal éclairés, on pouvait distinguer tapis dans l’ombre Lucky-Christ, le tueur, il dégomme sa frappe avant que le ballon ne soit dans ses pieds, Pat dit le Blond, en général il monte la garde mais sur ce coup-là, c’est lui qui d’un coup de Pat subtil élimina la balance et permit à ses potes d’embarquer la marchandise. Titi le nettoyeur, Le Gitan, Face de Vinasse, Diegolito dit Cui-Cui (on le surnomme ainsi car il ouvre toujours son bec), le Marseillais, la Bande à Dao sont autant de noms bien connus des forces de l’ordre footballistique. Les 5 familles Jaunes et Noires, Gran-Alaterre, Maurel, Muller, Lauze et Labeuche s’allient pour la circonstance mais se tirent facilement dans les chevilles pour le contrôle du lundi soir ou de l’apéro. Tout ce beau monde est surveillé de très près par l’Eliott Ness local, sous la couverture d’un petit journaliste de bas quartier, il arrose tout ce beau petit monde et gère ses stocks de contrebandes de jaunes. La prohibition à Junas serait un tremblement de terre pour lui et le reste de l’équipe mais il veille à la poursuite du trafic local. (à suivre…)

samedi 19 juin 2010

RETRO 2010 : de Charlemagne au couronnement du roi Vadid

Arrive désormais le temps de la plénitude pour le Junas Omnisports, une époque de gloire où rien ne semble résister à la puissance de la bannière jaune et noire. Tout grand peuple a droit à son grand chef, l’empire de Junas est mené alors de main (plus que de pieds d’ailleurs) de maître par le roi Vadid, digne d’une dynastie de Carolingien et dont l’aura est respecté autant par ses pairs que par ses opposants saxons ou païens. Fils d’un ancien roi de Junas et instigateur de l’adulation pour les Dieux Puma, Nike ou Adidas, le Coach, comme il est surnommé à l’époque, gère son royaume accompagné de ses fidèles vassaux en s’octroyant les terrains verts adverses pour distribuer ainsi les lauriers de la victoire aux plus méritant de ses monarques. Ainsi lors de la campagne de Congénies, c’est Patou qui récolta les honneurs en portant deux coups fatal aux Ostrogoths voisins et ramena ainsi à sa Berthe aux grands pieds le ballon de plusieurs Sarrazins ennemis. Mais la nuit du 6 au 7 novembre de l’an mil neuf reste gravé dans les mémoires, et un monument rappelle douloureusement au peuple Congénissois la cuisante défaite qu’ils subirent de la part de leur homologues Junassols en lieu et place du café du village. Du côté des vainqueurs s’en suivit la plus grosse orgie de la saison mais ce système féodal ne s’est pas batît sans casse, ainsi Gégé la Boule, Seigneur du Jaune, fût grièvement touché lors de cette nuit-là, son fidèle compagnon le transporta dans son char pour le raccompagner  à son insula pour un repos bien mérité. Juju le Germain, malgré une vilaine blessure se bâtit comme un lion et enrichi sa collection de trophées, il en totalisa 51 aux premières lueurs de l’aube, Baumette le Wisigoth, Diego, Fifi ou Bertolucci les frêres d’armes furent également atteint mais la Compagnie du Get résista et triompha. Une époque de mutation s’ensuivit et Junas la médiévale naquit en ces temps d’épanouissement.

Les lundis d’hiver s’égrennaient et la population diminua sur les prés, les Seigneurs Menes, Vadid et Juju, les chevaliers Christophe et Mickey, les petits Bourgeois Baumettes, Diego et Bertolucci, les brigands Gitans, Fifi, Titi ou Brandadao et les autres paysans vivaient pourtant en parfaite osmose et faisaient régner l’ordre dans les citadelles voisines. En cette époque de malenventures, la solidarité était de mise, ainsi lors du siège de Lunel-Vieil, les vaillants défenseurs de l’Omnisports étaient en nombres bien inférieurs à leur assiégés et pourtant les babillards se sont tûent ainsi que les coquins d’en face, les marauds de l’autre côté du Vidorle. Qui vienne m’occire,  ceux qui croient  que je fabule au bavardage de ceste fablerie mais à Junas nul récréant perd son courage, ni vilonie félonie et ce malgrès la raillerie d’en face. Héros de ces temps, le Petit prince ripailleur chapela par deux fois les gueux, imité en cela par le drôle Willy et David le goupil. Place alors à festoyer avec les vaincus, à licher des jacquelines toute la nuit avec une joïance non retenue.

Le temps du grand voyage débuta, l’expédition prévue de longue date est minutieusement préparé, point de Pinta, de Niña ou de Santa Maria mais l’équipage du Junas OM, répartis en plusieurs caravelles, sort alors les boussoles des étuis. Guidé par les étoiles à la découverte d’un nouveau monde pour y rencontrer les indigènes et leur communiquer leur art, le football. Une île est enfin atteinte après plusieurs tentatives infructueuse, Bezouce est découverte. Et là, oh surprise les autochtones sont développés, ils entament la confrontation tambours battants et offre une résistance innatendue à la civilisation Junassole. Mais malgrè leur bravoure, les indiens finissent par rompre face à la science tactique de l’armada du Roi Vadid. Les navigateurs du ballon rond si prompt à s’orienter dans la tempête et à se sortir des mauvaises passes ont réalisés des prouesses durant ce voyage et nul doute qu’un cap fût franchit à Bezouce où désormais un océan sépare Junas des autres conquistadors. Christophe, en lieutenant de la mer rouge, Juju en découvreur de la mer jaune furent exemplaires, mais hélas la belle rencontre entre ces explorateur venants de l’autre bout du monde gardois et les demeurants de cette terre se termina en drame, en effet le chef indigène étant abattu par accident provoqua le couroux et la révolte de ses congénérés. Junas repartit donc les cales remplis de buts en or avec la certitude d’avoir trouvé le chemin à toutes ces victoires épicées.

La fin de l’année marque pour nous le couronnement de notre Roi-Soleil avec l’éclosion d’artistes insensés et insoupçonnables, une renaissance pour eux car le ballon ne leur a toujours pas apporté ni gloire ni beauté. Notre bon Louis-Vadid, 14ème du nom,  est fêté par toute sa cour, une multitude d’artistes sont alors invités et les talents se succèdent sur la scène, des musiciens comme Brandadao, des comédiens Diegolito et Mickey sans oublier les spectacles de rue dans lequel le tzigane excelle, c’est pas Versailles mais ça y ressemble. C’est tout le royaume qui fête son souverain, chante et danse pour les victoires passées. La fin de l’année est proche comme l’âge d’or d’une certaine époque qui hélas dure rarement dans le temps. (à suivre…)

samedi 12 juin 2010

RETRO 2010 : de la Préhistoire à l'Empire Romain

La fin de saison bouclé avec la traditionnelle garden-party, il est temps désormais de reprendre notre petite rétro annuelle avant de retrouver le chemin des terrains…de boules pour attaquer l’été de la meilleure des façons, nul de repos à Junas ! Je vais vous retracer cette saison comme un livre d’histoire, en retraçant les dates historiques, les grands hommes et les petits joueurs, comment cette saison 2009-2010 s’est-elle construite… Première partie, de la préhistoire à l’empire romain…

Selon les théories concordantes, l’apparition du football à Junas pour la saison 2009-2010 aurait eu lieu vers la fin août-début septembre environ, les dates ne sont pas très précise tant les avis sont divergeants selon les scientifiques… Tout ne fût pas simple au début, faut dire que beaucoup d’espèces sont apparus sans que l’on sache vraiment d’où elles descendaient, ainsi durant l’été plusieurs singes furent découvert près des comptoirs,  Tautavel parfaitement illustré par Jourdanov ou Willy Menes, ils ne maîtrisent pas encore le feu mais ont découvert l’usage des glaçons, Baumettes ou Vadid, des hommes de Neanderthal, bien en chair, ils font déjà cuire le produit de leur chasse ou à l’opposé, les australopithèques, le cerveau pas encore développé mais une facilité déconcertante à se fondre dans leur élément naturel, l’apéro, parfaitement illustré par le couple de l’année, le Gipsy et le Fifi.

Tout ce beau monde s’est un peu succédé en cette fin d’été, à venir taper la balle sous une température bien loin des périodes glaciaires. Début septembre, le déménagement à Congénies a vu l’apparition d’une nouvelle ère, celle de certains dinosaures dans cette équipe, tant leur mobilité et leur vitesse y faisaient penser , il y a eu des herbivores tel le Brachiosaure Patrice ou le Brontosaure Titi, des carnivores, le redoutable T-RexBrandadao ainsi que des reptiles volants ont été entraperçu comme le Cui-Cui-Diegolito de la famille des ptérodactyles. Heureusement les entraînements s’enchaînèrent et le physique et la technique s’améliora, ainsi la fin août peut-être considéré comme l’âge de pierre de la reprise, la mi-septembre comme l’âge du bronze, et la fin-septembre comme l’âge du fer. On ne sait pas trop encore pourquoi ni comment mais les dinosaures ont disparu de la surface des terrains laissant place à des gazelles et antilopes actuelles…enfin presque.  Nul doute que les météorites n’y sont pas pour grand chose cette fois-ci. Si nos ancêtres ont eu du mal à domestiquer le feu, certains d’entre nous ont bien du mal, aujourd’hui encore, à domestiquer le cuir mais les cro-magnons Junassols que l’on étaient ont su évoluer et peuvent à présent entrer dans l’histoire proprement dite de cette saison 2009/2010.

Ainsi le premier affrontement de l’année en cette terre de Gaule Narbonnaise eu lieu entre les peuples Celtes du Volcae Arecomici des oppidums d’Aigues-Vives et de Junas. Les combattants jaunes et noirs défiant de leurs armes de fer les puissants cavaliers bleus afin de conquérir la sépulture sacré de la cage de fer. Le combat fît une victime pour le reste de la saison, Pascalix Domenex, pas assez valeureux pour prétendre au titre suprême, surement trop de ressemblances avec son lointain cousin, Raymonix. Les peuples de Junas n’eurent point besoin de druides pour enfoncer par deux fois les défenses adverses par les ambacts Jujux et Christophix. Mais hélas l’arrière garde visiteuse allait un peu faire dans leurs braies et par deux fois égalements rompre sous les jougs des assaillants, la fin de la bataille approchait et Junas en avait plein les galoches. Le score fût de parité et les deux citadelles se retrouvèrent donc autour du banquet, à faire mousser la cervoise et à s’octroyer le curadmir offert, il ne manquait que les bardes pour que la Beltaine fût totale, mais, plus important encore, on pouvait deviner l’évolution de cette équipe qui promettait de belles futures conquête, fondation du futur empire de Junas.

La conquête d’Aubais fût longue et difficile à se dessiner, la légion Junassole trouvant sur sa route de solides barbares qui résistèrent longtemps aux assaults des attaquants de la grande cité Antique de Junas. Emmené par notre grand César qu’était le coach Vadid, la domination territoriale des jaunes et noir était sans partage, du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest du rectangle vert, les légionnaires Junassols étaient implantées partout sur le terrain, les chefs rebelles se soumettant un à un, et pourtant les irréductibles résistaient encore et encore à l’envahisseur, les centurions de l’attaque ne trouvaient pourtant pas la brèche, les unités de la cité universelle se succédaient,  l’arrière garde relançait bien ses troupes dans le combat, la manipule Junassole du milieu du territoire soutenait la révolte des assiégés tandis que la centurie et la décurie était chargés de transpercer les cohortes adverses et ce quelque soit la tactique, en triangle, en carré ou en tortue. Et les assaillants finirent par romprent ne faisant plus de doutes sur le triomphe du nouvel Empire Junassol. Christophus enfonçant par deux fois son pilum dans le cœur de ses adversaires et Brandadus se chargeant de l’ultime sentence. La plèbe pouvait être satisfaite, le nom de Junas résonnait dans toute la région et le nom de ses chefs pouvaient être célébré lors des jeux du cirque à la gloire des nouveaux héros, un forum pouvait leur être dédié, le blog. Junas avait batit un empire qui ne pouvait chuter que sous les coups de butoirs de sa propre armée, les entraînements du lundi étant acharné pour s’octroyer le triomphe hebdomadaire du ballon rond. (à suivre…)  

dimanche 6 juin 2010

Garden Party 2010 : photos et reportage exclusif !

A l'instar des plus grands festivals annuel où le gratin des peoples s'empressent de sortir leur plus beaux costards dans le seul but que d'y être vue, la Garden Party d'Omnisports est en passe de devenir une institution incontournable dans le paysage Junassol. Un doux moment où les familles peuvent se joindrent à l'équipe pour fêter la fin d'une saison riche en évènements. Mais la garden-party ce n'est pas seulement la soirée, tout débute par l'habituelle rencontre de foot-salle où les deux équipes ayant représenté le club à la Copa se rencontre pour une ultime revanche, des formations parfois remodelé en fonction des différents forfaits. Ainsi les Macs se sont vu renforcer par la présence d'Arnaud afin de ne pas trop déséquilibrer les débats. Les Bigs étaient quant à eux priver des deux Pat mais en effectif suffisant pour pouvoir défier leurs adversaire. Et la rencontre ne fût pas décevante avec un scénario déroutant, des jolis buts, d'autres un peu plus raccrocs, des belles actions, de la souffrance, des exploits, et des polémiques inévitables. Une rencontre que les Macs, heureux vainqueurs de la Copa 2010, prirent à bras le corps avec un but dès la première minute suite à une interception de leur petit prince. Les Bigs ayant plus de mal à trouver le rythme en ce début de partie mais qui malgrès tout s'accrochaient et parvenaient par deux fois à revenir au score (1-1 puis 2-2), toutefois leurs adversaires réussirent à ce moment-là leur premières séries en alignant 4 buts d'affilés, bien construit parfois mais chanceux d'autre fois, mais leur collectif était parfaitement huilé et les Bigs commençaient à souffrir sans trouver de solutions efficace, surtout en défense pour contrer les offensives des attaquants Macciens. Mais parfois une situation de jeu, ou un changement qui peut paraître anodin transforme le jeu et l'espoir d'une équipe, Christophe passa dans les buts et rassura les arrières, devant plus de solutions étaient trouvé et Willy Menes finissaient le travail, petite revanche  personnelle pour celui qui avaient subit tous les sobriquets des critiques suite à son pénalty manqué en 1/2 finale de la Copa mais qui hier remis les points sur les I en marquant 9 des 12 buts de son équipe. Le score évolua quelques peu, passant de 6-2 à 6-4 puis de 7-4 à 7-6 les Bigs étaient revenus et visiblement cela avait eu le don d'un peu agacer les Macs ressortant, à l'occasion d'un but casquette, une contestations bien peu reluisante pour leur image car le roublard Menes avait tromper leur vigilence, loin d'être inoubliable sur ce coup-là, dès l'engagement alors que visiblement leur gardien pensait à l'apéro du soir. Toujours est-il que l'arbitre validait fort logiquement ce but. Bizarrement cela a mis un bon coup de fouets au Mac qui repartant de plus belle enchaînaient 5 buts d'affiler, 12-6 la messe était dite croyait-on d'autant plus que les Bigs semblaient atteint physiquement. Mais l'histoire de ce match est ainsi faite de haut et de bas pour chacune des deux formations, et l'équipe du coach refaisait le coup de la remonté face à des adversaires devenus un brin  trop facile dans leur jeu, ne se doutant pas du danger qui les guettaient, la fatigue commençait peut-être à se faire sentir aussi et la chaleur étouffante n'arrageait en rien les choses mais ça, s'était valable pour les deux équipes. De 12 à 6 donc, on passa rapidement à 12 à 10 jusqu'au deuxième but polémique de l'aprés-midi sur une deuxième faute d'innatention des coéquipiers de Monseigneur Baumettes, et toujours le roublard Menes au manette, qui surpris une nouvelle fois le portier sur une remise en touche en envoyant dans la lucarne le ballon, l'arbitre valida une nouvelle fois le but, peut-être à tort cette fois-ci mais il le valida quand même. Sur l'action suivante Brandadao égalisa. Le dernier but marqué par les Macs n'est même pas sujet de contestations possible car le coup de sifflet final avait retentit depuis une  dizaine de seconde, les Bigs ayant arrêter de jouer. Score final officiel donc de cette rencontre 12 buts partout. Les éventuelles erreurs d'arbitrage font partie du football et l'histoire en est riche, on a pas rejoué la finale de la coupe du monde 66, le but de Vata en 1/2 finale contre l'OM, n'a pas été invalidé par la suite donc les faits sont là, 12 à 12. Seul le résultat compte peu importe la façon ou la manière...
La soirée permit à tout ce beau monde de refaire le match devant quelques verres subtilement dosés afin de ne pas tomber dans la déchéance dont certains sont coutumiers... Les absents de l'aprés-midi ayant rejoint la crême, Patou ou La Boule, histoire de communiquer officiellement sur la crémaillère fantôme du camp de Gitan, on a cru entendre, Juillet, Août, Septembre...2010, 2011 voire 2035. La rencontre de la soirée n'a pas vu l'ombre d'une contestation, 3 kilos de jaunes tombés ajouté à cela le grand crû dégusté, les bouteilles de champ, ansi que l'Or Vert distribué en fin de soirée, à noter tout de même la belle prouesse d'Arnaud, notre Duc d'Orléans, auteur d'une succulente mousse au chocolat, à repenser. Et les inévitables règlements de comptes de la saison lors des rituels plongeons nocturne en piscine et le premier à en faire les frais fût donc votre hôte comme quoi certaines vérités sont difficile à accepter de la part de joueurs peu scrupuleux mais je me tiendrais à mon poste de pourvoyeur de bonnes paroles et toujours dans une objectivité exemplaires n'en déplaisent à certains petit prince ou Chico le roi de la guitare... Mais toute l'équipe présente à ce moment-là y es passé, Titi, Brandadao, Baumette, La Boule, Christophe, Vadid et ce malgrès quelques subterfuges familiaux. Enfin toute l'équipe ou presque car deux "salopards" ont échappé à la sentence, désormais un contrat existe sur les deux lascars, Fifi, le vigneron filou, le roi de l'esquive, le prince du camouflage, l'empereur du filange à l'anglaise et plus décevant encore, le héros du 1er mai, celui qui, au contraire de Menes, fût noyé de louanges pour ce moment essentiel dans l'histoire du club, celui qui fût renommé ensuite par des journalistes à la verbes enchantées, Cui-Cui et celui dont son geste est désormais connu par "Diegolita", le Diego est retombé de son piedestal, l'oiseau s'est fracassé la gueule sur le goudron, le maradona de la fuite, le Forlan du courage, le copain de Dora a désormais sa tête mise à prix.
L'histoire de cette saison fût belle et sera redessiner à l'issu des prochains article en attendant les photos de la soirée, cette Garden-Party 2010.

Jourdanov a retrouvé son verre et Baumette sa pizza...

L'international et le Petit Prince, quel beau roman...

Déjà quelques yeux fatigués et la soirée commence à peine !
Une petite touche de féminité lors d'une soirée foot, ça fait pas de mal !
Fifi, Arnaud, Titi et La Boule tous un verre à la main, normal ?
Mme Domenech (pas Estelle), Mme Redon et Mme Jourdanov
L'Oiseau Cui-Cui préparerait-il déjà son lache envol ?

Si même chez mesdames ça picole !!!
Le gang des yeux fatigués...
Wanted pour plongeon dans piscine CUI-CUI Diegolita récompense : un carton de jaune !!!
Deux recrues de début de saison et première Garden pour Christophe
Verres pleins... (ça sourit)

verres vides (ça fait un plus la gueule surtout du côté Jourdanov)
Retour d'une vieille tradition : le bisou à Patou
Baumettes, El Presidente et Patou
Mme Petit Prince et Mme El Presidente
Chico, El Gipsy, Le Gitan, La Boule d'un côté...
Et Fifi de l'autre, lui aussi sa tête est mise à prix...
Baumettes vient de divulguer au Président le salaire qu'il souhaite pour la saison prochaine

Petit réconfort auprés de Sophinette


Vadid et Christophe deux pièces maîtresse de l'équipe des Bigs auteur d'un match nul l'aprés-midi

Et c'est l'heure des saucisses et du bon vin

Diegolito jubile, le traître n'a pas encore fuit...
Petit câlin malin
Grand moment d'émotion de la soirée, les retrouvailles de Fifi et de son lampadaire, séquence nostalgie
Le Coach Vadid aprécie le pinard
Et Arnaud commence sérieusement à sombrer...

Christophe est à l'eau, embarqué malencontreusement par Menes au fond de la piscine, la chasse est ouverte !
Jourdanov a eu droit aussi à l'essorage d'aprés bain forcé
Le Petit Prince comme un poisson dans l'eau dans cet élément
Mains non Hugo n'a pas fini à l'eau c'est juste pour la photo !
Brandadao commence à être inquiet, Raymond pas vraiment encore

Quant à la Boule il se cache lâchement derrière la naïveté d'un enfant...mais il y aura droit quand même
L'animal Baumette se défend bien, mais le pack se renforce...
...Et parvient à marquer l'essai en force
Baumettes a réussit à embarquer un pauvre bougre dans sa chute
Le journaliste Menes a encore goûter l'eau

Christophe se rapproche de sa prochaine victime
Malgré le tumulte, le banc de touche reste bien garni
...Et Diego tel un sale corbeau prépare sa fuite en catimini
C'est officiel Mme Diegolito est fier de lui !
C'est au tour d'Arnaud de gouter aux joies de l'eau et de patauger comme un canard

Et ça fait bien rire Carine
Première Garden Party pour Arnaud, Mickey et Baumettes s'étant occupé de son baptême
Menes et Christophe ont eu droit a plusieurs tasses dans la soirée
Pascalou se prépare déjà à l'inévitable mais préférera se saborder lui-même !
L'ambiance est en tout cas au bonheur pur et simple

Titi tout seul dans son coin croit sauver sa chemise du naufrage…

Mais que nenni ! tout y pense la chemise, la chaise et Baumettes en prime trahi par Pascalou !

Sorti de bain...

Sauve-moi Gaby ! sauve- ton papa de la noyade !

Mais tel un pilier Christophe plaque violemment la Boule dans l'en-but

Arnaud et Baumettes s'occupant de l'hôte de la soirée qui, lui aussi, tente de se cacher derrière Hugo

Mais encore une fois, pas de suspense, le ballet continue

Brandadao fût un des derniers à subir la loi de la rebellion

Pascalou aussi même si la manière fut différente

Petit séchage collectif...

Avant la photo finale de la Dream-Team 2010 !