mercredi 27 octobre 2010

Survêtements Omnisports
























En marge de survêtements enfants pour nos équipes de jeunes, Omnisports vous propose ces survêtements, marque Hummel, en noir et jaune et floqué Junas Omnisports dans le dos (un peu comme les coupe-vents de l'année dernière) et vos prénom et surnom devant (si vous le souhaitez). Deux prix, 25€ pour les dirigeants des enfants (les 3 Olives, Arnaud, Did et Christophe) et pour les membres du bureau et 35€ pour les autres membres d'Omnisports (comme vous). Si vous êtes interressés un petit commentaire suffira et n'oubliez pas de me préciser la taille (S-M-L-XL-XXL-XXXL). Dépechez-vous que je commande rapidement.
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samedi 23 octobre 2010

Aigues-Vives 3 Junas 4 : victoire !


Tout le microcosme Junassol avide de spectacles et de sensations fortes était surement rivés sur les petits écrans, hier au soir, pour scruter l'évolution de l'équipe locale de foot-Loisirs. Ainsi, aprés deux défaites de rang, une réaction était attendu afin d'apaiser les rumeurs les plus farfelues concernant le coach de cette formation. Des têtes allaient-elles tomber ? Les bourreaux ou autres amateurs d'hémoglobine étaient aux aguets, un manager forcement en danger comme tout entraîneur Lyonnais qui se respecte et dont l'avenir commençait à devenir incertain au vu des résultats décevants de son équipe et de la gronde montante de la rue. Comment aller s'organiser le combat pour lutter contre le prolétariat de la malchance et inverser ainsi une tendence virant vers le pessimisme, en deux mots : la crise. Nul besoin de grèves ou de contestations déplacées pour relever la tête et repartir ainsi de l'avant et pouvoir faire avancer allègrement les acquis obtenues si durement la saison passée. Comme dans tout mouvement de cet ampleur, quelques devoirs de réserves ont dû être mis en avant, afin de protéger l'unité familiale et une paix plus ou moins durable dans certains foyers. Les acteurs principaux du mouvement d'Arnaud ont dû s'incliner devant la fermeté de la gente féminine, pas prête à lacher du lest devant les revendications de leurs hommes. Des meneurs aussi important dans la lutte tels Fifi, La Boule ou Arnaud, tous privée des camarades ce soir. Le premier dû expliquer l'intrusion d'un collaborateur à 5 heures du matin, venant demander les clefs de logements sociaux surrement illicite, le second fût séquestré chez lui par le représentant du personnel irrité par des appels incessants en pleine nuits, une mise à pied de quelques semaines lui fût infligé immoralement. Le troisième de ce groupe, lui, dû se résonner à laisser ses compagnons au milieu du pré à terminer seul leur manifestation pacifiste, le prix à payer pour un football plus juste. Pour résumé, manquait à l'appel des groupes révolutionnaires de l'Etat du Junas Omnisports, Arnaud, puni par la patronne, La Boule, mis à pied par la directrice, Fifi interdit de séjour par son gouvernement, ils ont tous regardé Arthur à la télé ce soir, tandis que Baumettes, assigné à résidence surveillé, dû quitter ses petits compagnons de lutte à l'heure où d'habitude les slogans pleuvent. Quel plan de bataille fût imaginé pour contrer la montée en puissance de la menace avoisinantes et quelles armes furent décidés pour arracher le retrait des réformes de la défaite dans le clan des jaunes? Non, Junas n'a pas joué en rouge hier soir mais les inégalités constatés la semaine passée ont amené à une réflexion générale, le partage du travail, en l'occurence, la solidarité entre les basses classes de la défense et les hauts privilèges de l'attaque, les revenus moyens du milieu étant là pour assurer le lien entre les deux. La tactique déployé était la suivante avec en tête de cortège, Juju, le dernier rempart du bastion, celui qui devait rassurer dans un rôle où certes il brille mais où il se sacrifie pour le bien de ses concitoyens. Les représentants des forces d'oppositions aux attaques adverses, Diegolito et Baumette chargés de contrer les probables débordements et la paire Jourdanov-Pascalou pour surveiller les casseurs de bons résultats, toujours craint dans ce genre de manifestation. Au milieu de cet escorte on retrouvait ceux qui étaient chargé d'apporter cet équilibre entre les modérés et les extrémistes, ces centristes composés du Coach Vadid, de Christophe, de Richard et de Mickey étant souvent mis sur la potence ces derniers temps, allaient prouver leur valeur de négociateurs de bons ballons. Enfin devant, les finisseurs, les signataires de la victoire se devaient de ne pas trop subir les négociations et de ne pas finir dans les filets du mouvement ennemi.

L'opposition débuta dans un calme apparent, nul n'osant trop se livrer ni déployer trop rapidement les solutions au beau jeu. On sentait tout de même chez les rouges et noirs une certaines application dans les transmissions des directives avec, il faut le dire aussi, des temps forts et des temps faibles. Ainsi Patou dégomma le premier sans réelles surprise dans les rangs de l'opposition. Mais sur une incompréhension entre le gardien des idées et son défenseur farouche, le ballon loba Juju pour profiter à l'avant-centre des bleus. Les quelques minutes qui suivirent ce coup du sort furent difficile pour les compagnons de Junas, plus moyen de se faire entendre sur le rectangle, la partie semblait prendre le même chemin que la semaine passée, mais c'était sans compter sur la détermination Junassole. Ainsi un beau mouvement partit de derrière et ayant pour relais Richard, d'abord, Christophe ensuite et Patou finalement pour parachever le travail et remettre un peu de beaume au coeur à tout un peuple pas du tout résigner à subir son avenir. Pourtant rien n'était épargné à la troupe des contestataires de la défaite, Baumette, touché au talon d'Achille dû laisser ses amis continuer le combat sans lui. Un nouveau symbôle de la malchance qui au contraire d'abattre le moral des jaunes le galvanisa et c'est le coach, si décrié à Aubais, qui remis les pendules à l'heure en quelques sortes, sur un centre d'un petit prince retrouvé et une figure Candelorotesque de brandadao, Vadid fusilla l'adversaire. A la pause administré légalement, le peuple de Junas menait deux buts à un. La reprise redémarrer tambour battant et la solidarité un temps affiché en début de conflit allait s'intensifier au fur et à mesure que les débats avançaient pour atteindre son paroxysme en toute fin du mouvement. Mais avant cela, Patou se révolta sur son côté et malgré son centre assez peu précis, Brandadao profita de la tergiversation des bleus pour offrir un troisième point d'accord à tous les partisans. C'était hélas son dernier acte de bravoure car lui aussi devait quitter la lutte peu aprés. Le plan Solidarnosc était alors mis en place et sur un contre subtil, Patou nous refait le coup du centre, cette fois-ci pour Christophe qui n'eu point de difficulté à enfoncer les opposants. La victoire finale se dessinait et malgré deux points laissés sous le coup de la fatigue, le patronnat d'Aigues-Vives lâcha, la victoire était là, enfin, le Junas Omnisports triomphait enfin. Les piquets de grève étaient enlevé autour d'un partage des richesses de troisième mi-temps. Viva Junas libre, Viva la Revolucion !

samedi 16 octobre 2010

Aubais 7 Junas 3 : les jaunes boivent la tasse

En pleine Tempête, le JO se noie dans les eaux Aubaisienne, Pirates de la Vaunage ou encore le Titanic du foot perdu, telles auraient pu être les gros titres de la presse Junassole au lendemain de ce derby historique tant les jaunes et noirs ont été surpassés par leurs adversaires d'un soir, une déculotté mémorable qu'il faudra pourtant oublier au plus vite. Mais qu'est-il donc arrivé à cette équipe, si brillante, si solidaire et si dominatrice l'année passée ? Un surplus de facilité ? d'arrogance ? ou simple accident de parcours ? Les prochaines rencontres apporterons surement leur lots de réponses mais, outre le score, c'est le jeu qui est apparût véritablement inquiétant. Le constat est amer mais est pourtant là, aprés deux rencontres et dix buts encaissés, une place de relégable et un jeu plus proche d'Arles-Avignon que du Barça, notre équipe de Foot-Loisir est rentré dans le rang, au revoir les rêves de Champions League, cette année on va la jouer à la Guy Roux : le maintient ! Faut appeler un chat, un chat. Mais comment analyser un tel cauchemard ? On pourrait passer au crible les acteurs de ce naufrage un à un, les passer à la moulinette et en ressortir un énorme Bloubi-Boulga indigeste. Dire que le coach a joué pour Aubais, que la Boule n'a bouffer que le numéro de son adversaire direct, que Mickey a force de jouer de partout s'est retrouvé nulle part et que Brandadao s'est crû encore sur la voie verte à courir dix kilomètres sans ballons sauf que son temps cette fois-ci n'était franchement pas au niveau, on pourrais dire tout ça mais un, le schmilblick n'avancerais pas plus, et deux, on y passerais trois plombes, donc on va éviter d'analyser la rencontre grotesque de Chris, la énième blessure d'Arnaud ou encore la sieste de Jourdanov durant une heure trente...
Le récit du film tout d'abord, un schéma tactique classique, Pat dans les buts, Titi et Diego arrières d'ailes, Vadid et Jourdanov en charnière, Chris à la récup, Gégé et Baumettes sur les côtés, Mickey en meneur et Patou et Brandadao devant, sur le banc Arnaud, Juju et Fifi pour commencer. D'entrée le bateau s'est mis à tanguer, prenant de plein fouet les vagues adverses, pas de simples embrunts mais de véritable tsunamis tant le ballon avait du mal à dépasser les quarante mètres Junassol. Le capitaine tenait sa barque tant bien que mal et les moussaillons jaunes ne rompaient pas. Aprés dix minutes de jeu pourtant intense, une accalmie était constaté, et Junas commençait à sortir la tête de l'eau, se créant même quelques timides brêches. Mais c'était le calme avant la tempête, un débordement côté droit, un centre mal repoussé par le duo baumette-Jourdanov, et comme à la parade une belle reprise qui finit au fond des filets, le mât est fissuré mais on va pas sauter par dessus bord pour si peu. Sauf qu'en cinq minutes, on va passer d'un rayon de soleil sur le pont du navire au naufrage du titanic et le capitaine, telle que la légende le dit, s'est bien noyé avec son bateau. Une action anodine, une passe en profondeur un peu longue du milieu d'Aubais, une remise de la tête de Vadid façon Benny Hill et 2-0 pour Aubais. Mais au cas ou les spectateurs distraits n'auraient pas bien vu, un ralenti deux minutes plus tard, du pied cette fois pour mieux comprendre, le capitaine pour son gardien qui mis deux ans et demi à sortir, et un, et deux et trois zéros, la demi heure de jeu n'était pas atteinte et en l'espace de même pas dix minutes on est passé des eaux calme et tranquille d'un lac de montagne aux tumultueuses lames du détroit de Magellan. Le magnifique vaisseau qu'était le Junas Omnisports avant la rencontre est désormais un vilain petit chalutier tout rouillé par le poids des ans. Mais tout de même un petit réconford juste avant la mi-temps, Arnaud l'un des meilleurs nageurs de cette première mi-temps nous offrit un magnifique spectacle tout en couleurs, un face à face devant le gardien ponctué par un astucieux petit lob, 3-1 à la mi-temps, l'espoir que les vents tournent enfin renaissait. Quelques petits ajustements de fortune à la mi-temps, un Chris libéro et un Vadid milieu pour éviter de s'enfoncer un peu plus et de transformer ce sous marin jaune en, au moins, un bateau pneumatique permettant de rentrer au port sain et sauf . On y a presque cru en début de seconde période avec deux beaux enchaînements entre Arnaud et Juju, avec un deuxième face à face pour le Duc d'Orléans mais cette fois-ci Gepetto fut avalé par la baleine nommé aducteurs... Le tournant du match car aprés ça, Katrina ressurgit, plus de capitaine à bord cette fois-ci, plus de révoltés, pas même un Jack Sparrow ou un capitaine Crochet, juste des petits baigneurs croqué tout cru par les dents de la mer. Le coeur n'y est plus, malgré quelques réductions du score, et cette fois-ci le bateau coule définitivement et va allègrement nourrir les petits poissons du fond des eaux et servir de cachettes à quelques Bernard Lermitte opportunistes. Alors désormais, aprés la catastrophe, l'heure va être au bilan, comment se remettre d'une telle bouillie, quelles solutions pour que ces évènements naturels ne se reproduisent plus, le risque zéro n'existe pas mais éviter de telles catastrophe ou du moins les prévoir pour éviter le pire et pouvoir sauver ce qui peu l'être. Dans des coups durs comme celui que vient de vivre notre petite village de province, c'est avec de la solidarité qu'on pourra reconquerir des océans, on va reconstruire, d'abord un radeau, puis une embarcation de fortune avant de penser à renaviguer sur un bateau de croisière. Faudra être patient mais la confiance doit revenir en préparant au mieux la traversée d'Aigues-Vives pour retrouver le chemin des épices. D'ici là les rôles des différents membres d'équipage auront été redistribués, fin prêt pour ramer tous ensemble dans cette galère.

jeudi 14 octobre 2010

Avant-match Aubais - JO : victoire au menu

Mmmhh, cette rencontre face à Aubais est une étape importante dans la saison, une rencontre où certains membres de notre glorieuse équipe ne voudrait manquer pour rien au monde. La qualité de l'adversaire ? pas exactement, la pelouse du Stadium d'Aubais ? non pas vraiment, loin s'en faut. Certains joueurs adverses sont des vieilles connaissances Junassole alors ? Pas la réponse adéquate non plus, mais notre ami Baumettes qui se lèche déjà les babines sait de quoi il s'agit car en général Aubais est une escale culinaire interressante et si en plus le match suivant s'avère être Aigues-Vives alors la période est motivante à souhait. L'entrée en matière de ce Junas Omnisports Foot Loisirs version 2010-2011 s'est avéré difficile lors de la première rencontre à Vauvert, notre vieux Cyrilgoal nous ayant fait quelques misères avec sa bande de jeunes fêtards mais nous, vieux briscards des vertes prairies, ne sommes quand même pas resté en reste et avons fièrement défendu notre bifteak. L'opposition devrait être un tantinet différente que lors de l'ouverture de cette saison et si les jaunes et noirs veulent goûter au banquet d'aprés match, va falloir mériter sa ration, gare au tire au flanc et aux danseuses du vendredi soir venu uniquement là pour s'empiffrer et ingurgiter des boissons douteuses aux frais de la princesse. Les clés de la rencontres ? tout d'abord bien s'adapter à l'environnement particulier des rencontres face aux voisins, ne pas penser justement au possible menu alléchant qui suivra : la mini-terrine de foie gras aux trois saveurs, Chutney pomme-passion suivi du médaillon de veau sauté et foie gras poëllé à la crème de truffe accompagné d'un mille-feuille de pommes de terre aux pleurottes et de la buche noire aux cacahuètes et son granité de champagne en dessert. Faire abstraction de tout ça sinon c'est au mieux les sempiternelles brûlures d'estomac ou fringale cycliste, au pire la syncompe et les crises de délires dont notre duo Big et Mac sont les plus exposés. Ces sombres idées enfouies dans la case "A oublier", faut faire face à une deuxième particularité d'Aubais, la lumière aveuglante de l'éclairage du stade, où des ballons à grelots genre cecifoot serait parfois bien utile. Le vin est tiré, il faut donc le boire, autrement dit faut s'adapter à la situation des lieux mais aussi aux forfaits éventuels et autres joueurs incertains. Et là ça devient complexe, sûr absent du 11 de départ et même du banc, Willy mais ça devient une habitude, ajouté à cela Pascalou, auteur d'une révolution lors de la seconde période à Vauvert, sera également manquant. Les incertitudes sont principalement axés sur les cas de La Boule et d'Arnaud, l'homme de verre, quia tout de même réussit l'exploit, lundi dernier, de passer plus d'une heure sur un terrain sans se blesser, remarquable performance...
La tactique et la compo devrait du coup être assez classique, un 4-4-2 en losange à moins que l'idée ayant germé du coach, à la fin de la première rencontre, avec deux milieus récupérateur soit testé et ce malgré l'absence de Domenech, aïe ça fait mal de réentendre ce nom pas vrai ? Dans les buts et sauf accident de dernière minute, la sentinelle en pâté, Pat, Diegolito d'un côté, Baumettes de l'autre en latéral avec comme suppléent pourquoi pas le retour des vendangistes Titi et Fifi, la charnière classique Jourdanov et Vadid. Au coeur de l'entre-jeu, Christophe à la récup, Richard et La Boule, s'il est là sinon Arnaud s'il est là aussi, sur les côtés, Mickey petit prince englué à vauvert, à la baguette et le trio à deux places devant, Juju qui remet son titre de talent d'or en jeu, Brandadao et Patou, en espérant que les fantômes de la saisons passées soit oubliés et qu'il ne faille pas attendre le 254ème face à face avec le gardien pour enfin ouvrir le score.
En face, l'adversaire ne devrait pas être trop inchangé par rapport à la saison dernière mais Aubais nous as parfois causé quelques soucis par le passé, gare donc à la rechute et une deuxième défaite consécutive aurait pour conséquence directe du pain de mie à la mortadelle en guise de banquet d'aprés-match, oublié le... minute de Bar en trois amuses bouches nappée d'une marinière à l'huile vierge et chardonnay relevée d'une fondue d'arômates et herbes, aux oubliettes le carré de cochon de Vallegrain rôti, artichaud et poitrine poivrée à la truffe d'été, etc, etc... inutile de faire un dessin.
Alors bon appetit et Allez les jaunes !!!