mardi 21 décembre 2010

DU PLOMB, DU PLATRE ET DE L’EAU FRAICHE...

Mais qui sera donc l’heureux élu pour cette année 2010 ? Qui va succéder au maître de l’année 2009, Jourdanov ? L’année s’achève, l’heure est donc désormais aux bilans, bons et mauvais, aux bétisiers et autres rétrospectives des grands moment passés de janvier à décembre et bien entendu à la récompense suprême que le monde du football nous envie, le Junas de Verre, où l’élection du joueur qui aura le plus marqué de son empreinte cette année écoulée. Un peu partout dans les magazines spécialisés, de papier ou d’électronique, ce genre de votes passionne et se diversifie, des récompenses plus ou moins loufoque, le Fifa Ballon d’Or pour le meilleur joueur de l’année élu par les journalistes Européens (mon humble personne vous représentera dans cette institution…), le ballon de plomb pour le pire footballeurs Français, élu par les internautes, ça c’est pour les plus connus, mais il existe également le ballon de plâtre, pour ceux qui ont fréquentés plus souvent l’infirmerie que les terrains, et le ballon d’eau fraîche, récompensant le joueur s’étant démarqué le plus par un geste ou une attitude en contradiction avec l’image actuelle du foot-business. Quelle différence propose donc le Junas de Verre ? Un peu tout ça et rien de tout cela à la fois. D’abord, obligation première et non des moindres, avoir effectué au moins un match durant l’année avec l’équipe Foot Loisir du Junas Omnisports, ça passe juste pour certains mais ça passe pour tout le monde, ensuite s’être fait remarqué positivement, négativement ou de façon plus ou moins comique lors d’un, deux ou trois matches, un tournoi, un entraînement, une troisième mi-temps, un apéro, bref, il n’y a pas de limites à ce critère et enfin s’être montré régulier dans ce domaine là, lors de matches, d’entraînements, d’apéros, de séances de kinés, de forfaits, etc… Ces trois conditions réunis offrirons le Joueur de l’année et en guise de récompenses, le vainqueur devra ramener sa bouteille pour pouvoir être désigné Junas de Verre 2010.

Voyons désormais les chances de chacun, ou les faits d’armes des uns et des autres durant cette saison, et commençons par les favoris avec en premier lieu, et à tout seigneur tout honneur le tenant du titre, Jourdanov Ier. Après une longue absence, il redémarre la compétition en janvier, en 2010, il réussit l’exploit de dépasser les 50 mètres parcourus sur  un terrain, mais pour arriver à un tel chiffre il a fallu ajouter toutes ses statistiques de tous ses matches mis bout à bout en comptant l’échauffement et la distance du terrain aux vestiaires. Côté faits notables, signalons son but de la tête marqué lors du dernier entraînement de l’année…alors que tout le monde dégustait un agréable rafraîchissement, sa famille nombreuse comme l’atteste ses nombreux votes, environs 30 par sondage, pour l’élection du talent d’or à chaque match et un pénalty non raté, parce que non tiré, lors de la Copa du 1er mai, il reste une valeur sûre pour le Junas de Verre 2010.

Ses articles en font trembler quelques uns, plus que les filets d’ailleurs vu qu’il n’a plus touché un ballon depuis la Garden Party du mois de Juin, Willy Menes se concentre plus sur les tapis roulants, presses ou autres instruments de torture dont dispose les kinés et devrait rester dans ces salles un bon moment encore. Qui n’a pas vu son péno supersonique de la Copa, n’a rien vu cette année, certains jaloux on affirmé qu’ils ont pu lire la marque du ballon à cet instant-là, mais seul Steve Austin en aurait été capable, a tout de même marqué 9 des 12 buts de son équipe lors de l’affrontement de la Garden et de la superbe victoire des siens face aux mauvais perdants Mickey et consort, mais de ça personne s’en souvient bizarrement…Bonne présence en troisième mi-temps où malgrè sa blessure est resté une valeur sûre.

Le troisième des favoris se nomme Pascalou, 25 minutes effectués lors de toute la saison 2009/2010, il n’a pas gagné l’année passée pour la simple raison que personne ne pensait qu’il faisait partie de l’équipe, il est revenu lors de la Copa dans un rôle inhabituel de gardien de but, et remporta cette épreuve avec ses camarades de rouges…de route pardon c’est un lapsus. Un pénalty loupé lors du classico a relancé sérieusement sa candidature pour le titre, là, le gardien n’a même pas eu besoin de se salir les gants, par contre le grillage du Stadio de Congénies a eu mal…A tout de même bien stabilisé la défense et relégué le coach, enfin quand celui-ci jouait, au milieu de terrain, les gains des paris sur lui pour la victoire finale lors de ce trophée ne devrait pas vous permettre de vous offrir un verre d’eau.

Ces trois-là sont les favoris incontestables, mais parfois lors de ce genre de trophée, un outsider coiffe tout le monde sur le poteau, c’est d’autant plus possible que les critères ne seront peut-être pas tous les mêmes en fonction des votants. Les plus sérieux outsiders se nomment Diego, où comment passer de l’anonymat le plus complet à icône de tout un peuple, où du moins d’une équipe, son dégagement loupé en finale de la Copa l’a rendu à la postérité, son défilement lors de l’épisode de la piscine lors de la Garden beaucoup moins ainsi que ses interminables palabres envers les journalistes intègres. L’oiseau Diegolito est à surveiller, tout comme les deux compères Big et Mac, séparé lors du tournoi de l’année, leurs performances le furent également, lorsqu’un coach se blessait tous les matches et demi, l’autre enfilait les postes comme d’autres des 51, c’est d’ailleurs autour de ce breuvage qu’ils se retrouvent, année très correcte pour les deux lascars qui pourraient créer la surprise. Citons également Fifi, alors le Fifi est comme le Diego, il craint l’eau, beaucoup plus que le pinard, ses petites poussettes et légers (toujours) accrochages restent inimitables, comme sa potion, bien loin d’être magique… On pourrait également mettre du côté des outsiders de deuxième catégorie disons, Mickey Petit Prince, où hormis un péno provoqué en finale qui aurait dû couter la victoire aux Macs, peu de faits notable cette année, mais une constante par contre, celle de touours plus reculer sur le terrain et cette curieuse façon d’être transparent sur un terrain, surtout depuis la reprise de septembre. Son objectif majeur désormais ? concurrencer Baumettes côté fourchette, un peu présomptieux mais pas ridicule non plus, encore un effort et il l’aura sa récompense. Patou, le patator de l'équipe, il aurait quand même été judicieux de sa part de ne pas bouffer la feuille lors de la 1/2 finale de la Copa mais bon... ça a dû quand même coûter un max aux Macs. Sinon troisième mi-temps raisonnable. Christophe, la recrue de l’année est en sensible baisse sur le terrain depuis Septembre mais heureusement la Fraise ne faiblit jamais, avec ses deux kilos de moyenne par repas, il aura coûté à l’association la bagatelle de 12 cartons de 51 durant l’année, un petit retour sur investissement ne serait pas de refus du côté de la trésorerie, pourquoi pas un trophée d’honneur, histoire qui raque au moins une fois ce  pochtron, mais son principal fait d'arme de l'année, les clés dans son sac, lui sur le canapé et les potes dans le noir et le froid au stade, pourrait creer la surprise. Enfin notre dernier outsider, Brandadao O9, le roi de l’épaule contre épaule où son année fût respectable avec 128 épaules défoncés, 94 chevilles écrasées, 68 béquilles distribuées et…deux buts marqués, côté troisième mi-temps toujours là mais toujours raisonnable aussi quand même.

Enfin notre troisième catégorie, les improbables, ils ont passés l’année dans le presque anonymat, ce qui n’est pas un mal parfois bien au contraire, ou alors leur arrivée tardive les font partir d’un peu loin. Pat a sauvé quelques matches de la bérézina mais son entente avec le Coach à Aubais fût fantastique, ses absences de fin de saison pourrait tout de même lui valoir quelques votes. Juju, ce qui fît sa force par le passé est désormais son talon d’achille, la troisième mi-temps où il fût inexistant, côté terrain moins de blessures qu’auparavant, quelques prouesses dans les cages lors des rares matches effectués à ce poste et un zéro but pointé lors de la Copa, pour l’attaquant de l’équipe vainqueur, son seul fait notable de l’année,  c’est un fait à ne pas négliger mais sa victoire finale lors de ce trophée reste très improbable. Ah si Thierry M. était arrivée au mois de Mars, il n’y aurait surement pas eu de concours tant il aurait écrasé la concurrence, un match, 30 minutes, une cheville en compote, une troisième mi-temps et un apéro de fin d’année et déjà un caniveau, pas mal du tout pour un novice, s’il y avait une catégorie espoir, il ne serait pas loin de la victoire ! La Boule, par contre très décevant cette année-là pour lui, aucune biture à noter, côté terrain, le classico l’inspire, un tacle assassin en mars et un but pour sa gueule en décembre, maigre toutefois pour douze mois. Il nous reste Arnaud l’homme de Cristal, le verre il connaît mais sinon peu de débordements en troisième mi-temps du moins, son temps de jeu progresse toutefois, il est passé de 7 secondes en moyenne en janvier à presque 45 minutes en décembre ! Titi, lui reste dans son petit coin, toujours discret, il ne crache néanmoins pas sur le petit jaune mais touours à l’abri des regards et des journalistes. Enfin Richard, qui fît son retour en Septembre après deux ans de disette, une superbe relance à Vauvert côté terrain et un magnifique coup de balais remarqué lors de l’apéro de Noël, sera surement plus dangereux pour la victoire lors de ce trophée l’année prochaine mais en attendant il gouterait bien au breuvage que le vainqueur apportera.

Voilà, désormais les dés son jetés, si j’en ai oublié certains c’est qu’ils n'ont vraiment pas dû être mémorable cette année. Autre précision, pour l’équité du concours, il serait interressant que certains (Jv,MPP,Bt) ne votent pas douze fois, une bouteille est tout de même en jeu, clôture le 31 décembre 23h59.

dimanche 12 décembre 2010

Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, trés lointaine...


















La fratricide lutte pour le contrôle du ballon vétéran du système Vaunage se poursuit, plus intense que jamais. Alors que la dernière bataille avait vu la déroute et le renversement de l’Empire de Congénies au profit de la République de l’alliance de Junas, on pensait que ce nouvel affrontement allait poursuivre les créatures Sith de Congénies dans leur descente aux enfers et leur exil total sur la planète indifference. La Classico Wars n’est définitivement pas une guerre comme les autres, la domination d’une espèce sur l’autre ne durant jamais bien longtemps, et les ressources des derniers battus s’en retrouve constamment réévaluer lors de l’échéance suivante. Les troupes de clones Congenissoise ont forcemment dû aborder cette nouvelle rencontre avec des forces rassemblées et décuplé au vu de l’humiliation dernière au contraire des Junassols, sûr de leur forces et de leur puissance supérieure ou du moins présumé supérieure à tel point que le commandement et la direction des opérations fût confié à l’ancien Petit Prince déchu qui avait donc là l’occasion de prouver sa valeur et ses talents stratégiques pour mener à bien une mission vers son succès total. Le Coach Yoda n’était pas le seul grand chef laissé en réseve de la République, le Général Menes et les lieutenants gardien du Temple des Sages étaient également resté sur leur planète respective afin d’ y garantir leur pérénité et leur paternité. L’affrontement débutait sur la planète Hoth, froide et désertique, dans la bordure extérieure de Congénies. Les deux camps se rendant coups pour coups sans conséquences majeures dans un premier temps mais malgré tout on sentait vite que le combat ne serait pas de même facture que le précédent, plus âpre, plus équilibré et aussi plus respectueux et détendu. Deux grands guerriers Congenissois posait tout de même quelques soucis à la défense Junassole alors que dans l’autre camps, le Grand Christophe Solo semblait en difficulté constante, ne parvenant pas à se débarrasser de frêles chasseurs lui empêchant de se diriger à sa guise dans le ciel étoilé. Après quelques cibles facile gaché par les guerriers de l’attaque Jaune et Noire, la puissance Rouge faisait parler sa vitesse d’execution en détruisant leur première forteresse sur une contre-attaque supersonique, Diegolito, élevé au rang de Défenseur du dernier rempart, ne pû que constater les dégâts. Surpris par cette manœuvre et un peu désarçonné, les défenseurs Jaunes étaient pris de vitesse, le Grand Froid de cette planète n'arrageait pas les choses et quelques armes s'en trouvaient quasimment hors service, gelé en orbite autour du ballon comme le cas Fifi, satellite dépassé et inutilisable lors de cette bataille. Une pause était instauré, les deux armées en profitant pour resserer quelques boulons, remettre du carburant dans les vaisseaux et repartir à l'assaut de la planète verte. En y mettant plus de hargne et plus d'alan, les serviteurs de la République Junassole envoyèrent quelques escadrilles à la conquêtes des forteresses Congénissoises, toujours debout à cet instant du combat, et à force de pillonnage, les attaques incessantes des chevaliers de Junas eurent les effets escomptés, une première escadrille fît mouche sous l'impulsion du maître Jedi Pat Hu, une seconde salve peu de temps aprés, emmené par le même Pat Hu et conclu par le Capitaine Solo enfin reveillé, le combat changeait d'âme et l'on pensait que l'Ordre de la Galaxie Vétéran rsterait toujours jaune à l'issue des hostilités. Il n'en fût rien, car deux malveillances dont l'une de la troupe à la Boule permirent aux Rouge et Noir de planter leur drapeau au sommet du Mont Victoire et surprendre l'armée du Petit Prince, certes battu mais pas vaincu, ils restent les maîtres des lieux, comme en atteste les survivants de la planète Apéro mais leur domination est sérieusement affaiblit, la Classico Wars continuera durant des siècles et des siècles, des Rois, des princeses et des chevaliers se succèderons aux grès des victoires et des défaites mais l'esprit de la Force du Ballon Rond, le bon côté sera toujours Junassol en espérant que lors du prochain affrontement, en galaxie Junassole cette fois-ci, l'ennemi s'agenouillera en respect de leurs glorieux vainqueurs...

FIN

mardi 7 décembre 2010

Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, trés lointaine...











L’Empire Galactique de Congénies est ébranlé, d’incessantes querelles interne pour une fratricide lutte de pouvoir détruise en son sein, la machine à Vétérans de cette constellation lointaine quasi perdue. La dernière bataille face à la résistance Junassole a causé beaucoup de dégâts dans le système de défense de la planète rouge et noire, ainsi nombres de désertions furent dénombrés dans les rangs Impériaux, et cette armée termina la bataille presque totalement décimé, seul l’empereur suprême réussit à échapper aux sondes interstellaire de la coallition Junassole pour s’évader promptement à bord d’une frêle capsule de survie. La domination du peuple de Congénies sur le Ballon-Loisirs du Système Vaunage ne tient désormais qu’à un simple éclair de laser. En face, chez les Jaunes et Noirs, la bataille fût minutieusement préparé, et les chefs Jedi, maître de la technique du cuir, ont démontré l’étendu de leur pouvoir à l’interieur de la Vallée Verte de Réparation. Le Conseil des Sages Junassols, toujours en avance tactiquement sur leurs adversaires, avait dépéché des capteurs, un peu partout dans l’univers de la bordure Gardoise, afin de découvrir les forces stratégiques manquantes à l’Union de la Force des Carrières, pour renverser la puissante machine Congénissoise. C’est lors de ces minutieuses recherches que fût déterré celui qui rétablirai l’équilibre du milieu et par la même occasion ramènerais le pouvoir du Ballon Rond, Place de l’Avenir : l’Elu. Ce dernier ne serait-il donc pas le Petit Prince ? Celui en qui tout un peuple croyait et qui finalement ne serait qu’un simple soldat, à peine un caporal d’Escadrilles dotés de facilités à peine plus élevé que la moyenne ? Son manque d’ambition dans les batailles stratégiques, à toujours reculer face aux Sith ennemis, au cœur de cette armée conquérente auront eu raison de ses ambitions personnelles. Le Prince déchu s’en retournera t-il alors vers sa planète d’origine en chevauchant un Bantha et en murmurant des désirs de vengeances et donc de côté obscur ou s’en remettra t-il à son chef suprême, le vénéré Maître Coach Yoda afin de se mettre sous ses ordres et ravaler sa fierté dans le seul but d’exterminer les forces au pouvoir et de faire triompher le bon football Junassol à la mauvaise foi Congénissoise. Mikakin Skylaterre est un brave, un futur Grand Chef Jedi et son courage à choisir la voie de la sagesse l’honore, il terrasse de ce geste son côté sombre et dans quelques classico Wars, lorsque les Grands décideurs actuels auront tombés leur dernière bouteille, il sera peut-être temps que le Petit Prince devienne Roi mais en attendant il s’en retourne dans l’anonymat d’un petit clone. Les Généraux Coach Yoda, Boh Mettes et autres Menes et Jourdanov complotent au fin fond de caves obscures un plan pour renverser définitivement la planète Congénies. Christus Ponce Solo, depuis la chute du Petit Prince, est désormais considéré comme la force absolue de Junas et son rôle sera prépondérant quant à l’issue de l’ultime Classico. Mais il ne sera pas seul, aidés à tout va par les créatures du système, véritables clones au service du Conseil des Sage. On y retrouve des chasseurs de primes, genre la Boule, toujours à la recherche d’apéros fûmants, La Diègue, toujours casqué et capable de donner son corps à la science en testant des modules explosifs, Phyphi et ThiThy les gardiens des frontières de la ligne, détruire les attaquants ennemis voulant déborder le vaisseau amiral par les côtés, c’est leur rôles. En première ligne il y a aussi les plus entreprenants, BrandO9 chargé de foncer droit devant et déstabiliser la défense adverse, Pat Hu dont la précision dans les tits lasers n’est plus à démontrer et Juh Juh  le trésor du temple, c’est lui et pour le garder mieux vaut achever les créatures qui veulent s’en emparer.

Le jour où tout bascula arriva enfin, le Classico Wars est à son paroxysme, Junas à son apogée et Congénies au fin fond des ténèbres. La Planète Rouge et Noire fût entièrement détruite par les assaults incessant de la flotte Junassole, Christus Solo enfonça à lui seul les piliers du temple, tous tombèrent un à un et les malheureux Congénissois furent exterminés jusqu’au dernier, seuls les vieillards, les femmes et les enfants furent épargnés. Les nouveaux maîtres de la Vaunage du Foot-Loisirs sont désormais Jaunes et Noire et la nouvelle République de Junas est créée. Une nouvelle table des lois est érigé, Tout footballeurs de plus de 35 ans doit se faire connaître de la chancellerie, les jeunes Padawans seront formés dans le fief Junassol, les troisièmes mi-temps seront allongés, les cartons de jaunes devenant breuvage planétaire. Un nouveau temple en honneur à ces brillantes victoires sera édifié au centre des stratèges, le Stade de Junas, s’y retrouverons entre autres le nouveau Conseil des Sages et de nombreux banquets y seront célébrés. Du côté des battus,les survivants au massacre durent se réfugier dans la jungle équatoriale de derrière le Stade, un long chemin de disette commence désormais pour eux mais dans tout le reste de la Galaxie Junassole, l’heure est désormais à la fête. Mais gare, la Classico Wars n’en est pas pour autant terminé, les résistants d’avants sont devenus le nouveau pouvoir mais des blocus et autres renversements sont toujours possibles. Dans la 20010ème année, les résistants de Congénies vont à nouveau rencontrer sur leur passage la planète Jaune et Noire, des stratèges habituels sont éloignés, le grand Coach Vadid, Menes ou récemment le gardien de la Défense, Pat. Certes les prisonniers des géoliers Kiné ont été libérés, Pask Alu ou encore l’Arno mais gare à la vengeance des Sith de Congénies, ainsi est la dure réalité des Classico Wars, issue d’une galaxie lointaine, très lointaine… (A suivre, dernier Opus de la Saga après l’énième bataille de vendredi).