mercredi 28 décembre 2011

Les Junassols d'Or 2012

Le moment que tout le monde attends avec impatience, la fin de l’année est là, l’heure est donc enfin aux récompenses individuelles de notre équipe Foot Loisirs pour l’année 2011.
Notre équipe évolue, ses distinctions également, donc petite nouveauté cette année avec plusieurs titres en jeu, une véritable soirée des Oscars, pour récompenser les faits marquants, sur et en dehors du terrain, tout est scruté, analysé, décortiqué avec plus ou moins de mauvaise foi ou de clairvoyance, c’est selon. Le clou de la cérémonie sera bien entendu, le Junassol d’Or 2011 ! Qui pour succeder brillament à notre coach Vadid ? Outre le lauréat 2010, le classement pour cette année promet d’être fortement disputé, forcemment des favoris, des outsiders et des grosses côtes, mais un peu de patience, le vainqueur sera connu aprés les votes, d’ici une semaine.

Mais commençons cette soirée des Junassol d'Or 2011 par la première catégorie, attendu de tous mais encore en attente pour certain, il la doive où l’on promis mais pour l’instant c’est seulement des promesses d’ivrognes : dans la catégorie « La plus belle bouteille fantôme de l’année », sont nommés :

- Juju pour son talent d’Or Villetelle-Junas
- Juju pour ses 31 ans
- O9 pour ses 40 ans (mauvaise foi il est né le 28 décembre !)
- La Boule pour…j’ai mal au dos j’arrête tout…en fait non
- Vadid pour son dernier verre lors de la Copa

J'ouvre donc la petite enveloppe et… le vainqueur 2011 de la bouteille qu’on aurait aimé boire mais qu’on attends toujours est attribué à… ex-aeco JUJU pour son talent d’Or Villletelle-Junas et pour son apéro anniversaire, on applaudit bien fort le premier vainqueur de la soirée, mérité !

(Petit musique d’ambiance qui va bien…)

Passé les premières émotions, deuxième distinction à présent : ils avaient dit qu’il viendraient, on les attends encore pour le début du match, dans la catégorie « La pire excuse foireuse pour une absence lors d’un match » :

- Fifi pour Congénie-Junas, une bière-pression à l’Anthracite, un « j’arrive à tout à l’heure » et puis plus rien
- Jourdanov, pour la soirée Junas-Gallargues, mais un alléchant France-Malte sur TF1 a tout gâché
- Titi pour Vauvert-Junas, on m’attends, je fait le mort, j'avertis personne mais j'ai jamais eu l'intention de venir...
- Mickey pour le foot salle de Milhaud, et sa célèbre réplique, il pleut je sors pas !

And the Winner is…MICKEY for Futsal in the rain ! Quel pur bonheur d’excuses en bois, un chef d’œuvre en son genre, merci l’artiste mais la récompense était attendu.

(Coupure Pub, on se retrouve d’ici quelques instants)

Cette soirée des Oscars junassols bat son plein, et comme l’on ne vas pas s’arrêter en si bon chemin, passons tout de suite à la prochaine récompense. Les duos, jamais facile à mettre en place, les meilleures paires sont redoutables pour les adversaires ou pour les bouteilles, les nommés pour être le couple de l'année 2011 :

- Patou/Christophe pour la fabuleuse histoire du Sanglier
- Christophe/Arnaud pour leur interprétation dans le Balai de fin de soirée
- Big et Mac pour le Match
- Menes/Jourdanov pour l’Apéro

Catégorie très disputés mais il fallait bien un vainqueur (ou plutôt 2) et les vainqueurs de l'année…Patou et Christophe pour la rocambolesque histoire du Sanglier ! Un moment de pur délirium post apéro, bravo les gars, fallait la sortir celle-là !

(Trou Normand)

Plus la soirée avance plus la tension monte pour les plus belles distinctions… On va passer rapidement les catégories « joué d’avancé », Baumette pour la plus belle fourchette, Chris pour le plus beau verre, La Boule pour la plus belle Caravane, Menes pour le blessé de l’année, Fifi pour le maillot le plus ridicule, j’en passe et des meilleurs. Mais désormais attardons-nous pour récompenser le plus beau geste de l’année, ils nous ont fait rêver pour ses gestes d’anthologie, parfois imité mais jamais égalé, les quatres nommés étant :


- Patou pour meurtres sur pigeons lors de Junas Gallargues
- Patou (encore) pour face à face lors de Congénies-Junas
- Jourdanov pour le Péno lors de Junas-Congénies
- Chris pour premier but sous l’éclairage, Junas-Congénies

Il y a des distinctions qui reflète parfaitement le joueur, enfin la reconnaissance pour ce vainqueur-là, le Junassol d'Or du plus beau geste de l’année est attribué à… JOURDANOV pour son péno lors de Junas-Congénies, un tir parfaitement réalisé, le geste parfait selon les dires de l’interressé, merci Mr Jourdanov pour ces moments inoubliables, vous entrez dans la légende du Junas Omnisports…

Un trophée collectif à présent avec l’élection du match le plus accompli de l’année. Quatre rencontres ont marqués cette saison pour diverses raisons :

- Congénies – Junas (0-0) octobre 2011
- Vauvert-Junas (2-3) décembre 2011
- Junas-Congénies (2-1) avril 2011
- Junas-Aubais (2-2) mars 2011

Pour diverses raisons de solidarité, d’évènements et de déroulement du match, le match de la saison est attribué à… Junas-Congénies pour l’inauguration de l’éclairage, solidarité de toute l’équipe et troisième mi-temps d’anthologie tout est réuni dans ce match pour symboliser la vie de l’équipe.

Enfin, dernier trophée avant les votes du Ballon d’Or Junassol 2011, celui de la plus belle troisième mi-temps, ce trophée d’honneur sera remis à Chris pour son implication dans chacune de ces soirées mais également pour l’ensemble de son œuvre, vu dans lequel il met les finances du club, il serait honorable de sa part, d’offrir un jour la sienne…

La troisième mi-temps de l’année :

- Copa de Junas, la soirée - Junas-Congénies, Inauguration des vestiaires
- Congénies-Junas pour la Tartiflette
- Villetelle-Junas pour le festival

Etant donné les circonstances, je laisserais au vainqueur l’occasion de faire son choix, seul notre lauréat est à même capable de la désigner.

De nombreuses catégories aurait pu aussi faire l’objet d’une récompenses, plus beau but, match le plus foireux, fainéant de l’année, etc, etc… Mais désormais, place aux votes pour l’attribution du joueur de l’année 2011, Vadid en tant que tenant du titre fait figure une nouvelle fois de favoris, mais les Christophe, Mickey ou encore Baumettes pourrait lui donner du fil à retordre. Les nommés sont :

- Pat, le plus Anglais des Junassols, fait d’arme de l’année, sa superbe sortie lors d’Aubais-Junas
- Titi, notre Demis Roussos local, l’adorable Titi des neiges pour son implication surtout lors des troisièmes mi-temps
- Baumettes, outre sa fourchette, ses coups de gueule et ses glaçons, n’omettons pas surtout ses mémorables buts…
- Jourdanov, irréprochable depuis septembre aucune erreur, des matches plein…sur le canapé évidemment
- Laurent, nouvelle recrue, talent d’Or pour son premier match, il s’est bien fondu dans le moule avec des blessures musculaires bien de chez nous
- Coach Vadid, réussira t-il l'exploit d'être sacré deux ans de suite ?
- Fifi, plus présent dans la presse people que dans France Football mais ne pas sous estimer une valeur sûre de l'équipe quand il faut chambrer Mickey par exemple ou taper une ou deux bouteilles de pinard, pourquoi pas la surprise de ce vote ?
- Chris la Fraise, quelques ballons dans les filets, quelques kilos dans le gosier mais toujours un agréable partenaire, à quand la reconnaissance suprême
- Arnaud, l'ex homme de Cristal a passé un cap depuis septembre tant sur le terrain que devant les comptoirs...
- La Boule, tel Canto il avait annoncé sa retraite mais attention, une caravane pouvant cacher un camping-car, il démontre depuis septembre que sa motivation n'a pas pris une ride
- Pascal, le nouveau, pas Raymond, des débuts tonitruants, une vingtaine de minutes en moyenne sur les premiers match et un but à chaque fois, cela suffira t-il à la récompense suprême ?
- Pascalou, double casquette, joueur, padawan du journaliste, aussi fin dans le jeu qu'au clavier, il essaye dans un sens comme dans l'autre la diversité, mais n'oublions pas ses petites blessures sans lesquelles il ne serait pas Pascalou
- Mickey, le petit Prince, râleur de première, distributeur de scuds mais toujours là (ou presque) dans les bons coups, il attends avec impatience un trophée majeur dans sa jeune carrière de vétéran
- Pat, cette année il s'est fait une spécialité : la chasse aux pigeons. On lui connaissait son faible pour les buts d'anthologie et les boissons anisés, voilà une nouvelle corde à son arc
- O9, moins présent que les années précedente, il n'a en tout cas pas perdu son épaule contre épaule légendaire, c'est l'homme des vestiaires ne l'oublions pas...
- Juju, sa triplette à Villetelle lui vaudra t-elle la récompense ? Quelques blessures spectaculaires également à son actif cette année (Congénies, Villetelle...) sans quoi il ne serait pas Juju...
- Gaétan, notre Ribery local, quelques apparitions bienvenue pour l'effectif
- Anthony, c'est sûr il a passé un cap avec ses premières réalisations avec notre équipe, encore un effort et dans quelques années il sera un vrai vétéran

Voilà, cette soirée touche à sa fin, place désormais aux votes, petit rappel, le Conseil Général est limité à 6 votes, le ministère du Travail à 4, celui de la défense à 4 aussi et pour les familles Corses, je vous rappelle, un seul vote par cimetierre. Sur ce, à la semaine prochaine pour les résultats officiels, le vainqueur aura une nouvelle fois l'honneur d'amener le premier breuvage de l'année 2012.

vendredi 23 décembre 2011

lundi 12 décembre 2011

VAUVERT 2-3 JUNAS

Quelques fois les journalistes en mal d'inspiration balancent des superlatifs dans tous les sens, histoires de noircir la page blanche et d'attirer l’œil du lecteur, alors que l'évenement n'est pas si extraordinaire !
Mais pour cette rencontre, pas de doutes, les joueurs junassols on été héroiques !
Tout d'abord le contexte : l'infirmerie pleine et des crises aigue de canapéïde impromptu !
Les absents étaient donc nombreux : fifi, titi, chris, jujugoal, patougoal, oliviergoal, willygoal (enfin dans les années 90)...
Vous l'avez compris notre attaque était décimée !
Mais cette équipe a plus d'un tour dans son sac.
Et c'est ainsi qu'arriva, tel le chevalier blanc des temps modernes, tranquille, sans gestes inutiles, il descendi de sa monture en fer, les cheveux dans le vent...ou plutot le crane dans le vent...Le bien nommé : cyrilgoal ! L'homme aux 350 buts en 12 ans de carrières junassoles !
Notre équipe étant en sous effectif, c'est donc avec une certaine émotion que l'équipe accepta ce mini mercato d'un soir afin que notre légendaire goelador rejoingne nos rangs ! Vauvert eu aussi le fair play de nous prêter deux autres joueurs pour une mi temps en attendant que Arnaud Gaetan et Anthony nous rattrapent en cours de match !
Pour ce qui est du match :
Dans les barres : un PAT des grands soirs, encore des arrêts en fin de match déterminants
Derrières, un DID très solide et très sur, notre coach a toujours la forme ! LAURENT, tout simplement impressionnant ! un nombre de têtes incroyables, mais à force de donner de sa personne, sa cheville a malheureusement lachée...BAUMETTE lui toujours conquérant, ce gardien de la défense n'a peur de dégun !!! PASCALOU s'est donné aussi finissant même avec des crampes !
Au milieu de terrain MICKEY a une nouvelle fois fait honneur au maillot en touchant de nombreux ballons, donnant des passes décisives. Ce terrains quasi parfait a été à son avantage !
LABOULE, lui a fait parlait sa puissance, n'hésitant pas à transperser les lignes adverses, il fini lui aussi épuisé ! ARNAUD, après une course poursuite sur l'A9 pour arriver à l'heure, a quand même fini le match sans claquage, alors que son échauffement n'avait duré que quelques instant !GAETAN, lui aussi en numéro 10 a assuré son travail même si ce n'est pas son poste de prédilection. Devant, nous avions ANTHONY, qui, avait visiblement accrocher sa caravane à son short ! Mais ne soyons pas trop dur, il est venu compléter notre effectif plus que léger en catastrophe !
Enfin le meilleur pour la fin, CYRILGOAL, 3 buts, , sur des centres, sur des passes en profondeur, de la tête, comme au bon vieux temps... Rappellez vous :
On se souviendra de cette retournée acrobatique contre "Le Gommier" sur le terrain injouable d'aujargues en 1994, ou bien cette reprise de volée à Congénies en 1999 contre Quissac après une passe en profondeur de son libéro de l'époque... Sans parler des nombreuses reprises de centres délivrés par son compère de l'époque : WILLY ! Mais je ne pourrais vous raconter ces 350 buts...Peut être nous sortira t il un dvd ? On attend avec impatience sa signature pour la saison 2012/2013 pour fêter les 20 ans de la reprise du Club par les seniors !!!!
On remercie le club de vauvert pour son accueil, son pret de joueurs et son terrain (un billard !), nous avons pris un grand plaisir malgré les absences !
Voilà, en espérant que notre journaliste ne soit pas atteint de canapeïde aiguë tous les vendredi !
@+
Pascalou

lundi 28 novembre 2011

VILLETELLE 3 - 5 JUNAS

L'arbitre, siffle le coup d'envoi de la première période. Les Bleus ont engagé.

Junas contre avec Christophe, qui sert arnaud dans l'espace, sur le couloir droit. Le junassol efface le défenseur et propose un caviar au point de penalty à Juju. Celui-ci manque son duel et sa reprise du droit. Quelle occasion !

Nouvelle alerte dans la surface de Villetelle. Excellent depuis le début, Arnaud sert Patou au second poteau. Mais sa reprise n'est pas cadrée

Servi dans l'axe et dans le dos de la défense de junas, l'attaquant villetelois se présente seul face à Pat, mais manque sa reprise du pied gauche. Beaucoup trop croisée. Junas revient de loin...

Mickey réussit une passe courte qui élimine la défense. Servi dans la surface, Patou joue collectif et décale vers juju, qui marque sans opposition. 0-1

Le corner frappé à gauche par mickey profite à christophe, qui prend la mesure du defenseur dans la surface et trompe le goal de près. 0-2

Mickey offre un caviar dans la course de juju, qui trompe le goal avec un tir croisé à ras de terre du pied gauche. Le ballon passe entre les jambes du gardien.0-3

Sur un mouvement lancé sur le côté droit, l'attaquant villetelois menace et propose un bon centre au premier poteau, où l'avant centre, bien placé, se baisse légèrement et reprend magnifiquement . 1-3

Le derby est complètement relancé ! mickey, qui a bénéficié d'un contre favorable, élimine toute la défense sur le côté droit et s'en va tromper le goal avec un tir tendu au premier poteau du pied droit. 1-4

frappe du pied gauche de l'avant centre de l'heraulté, légèrement contrée par Did, trompe Pat. 2-4

Parti dans son dos, juju réussit un crochet gagnant sur le goal et marque du pied droit dans le but vide. 2-5

Le corner frappé à gauche l'attaquant de villetelle prend la mesure de Pascalou dans la surface et trompe Pat de près.3-5

Au terme d'un derby haletant, Junas, s'offre une victoire référence à villetelle Bridge, où Juju, rayonnant, a inscrit un triplé. Les Junassols savourent un 5e match consécutif sans défaite. Villetelle devra digérer un premier revers à domicile.

Toute ressemblance avec un autre match ne serait que fortuite. Je vous laisse chercher...

@+

Pascalou.







vendredi 4 novembre 2011

Petite souris échaudée apparemment craint l'eau froide

Une rencontre de futsal coincé entre deux entraînements en plein mois de novembre n'aurais, apparemment, jamais eu l'honneur d'une page sur le blog. Imaginez un peu une rencontre amicale entre Brest et Lorient le même jour que la finale de la Champion's League faisant trois pages dans l'Equipe. Mais même une vache maigre donne du lait, en l'occurence une aparté dans notre bon vieux championnat loisirs aura peut-être plus d'impact sur le groupe qu'une bonne tôle face aux ennemis historique. Alors dans une équipe on peut cataloguer plusieurs sortes de joueurs, les plus techniques, les plus teigneux, les talents d'Or, les plus jeunes, les plus vieux, les besogneux, les fainéants, les guerriers ou les "péteux". Dans le jargon Junassilo-footballistique, le "péteux" se cache, évite le combat, se défile, se méfie de ce qu'il le décoiffe, du vent...ou de la pluie. Mais revenons à ce qui nous interresse, la rencontre du jour, les valeurs sûres, Vadid, Baumettes, O9, La Boule ; la recrue, Pascal ; l'ancien qui est revenu cette saison, Imed ; la relève Thibault ; le passionné coincé 2 heures sur l'autoroute mais qui répond présent, Pat et le revenant qu'on croyait mort, du moins pour le foot, Willy. Et ce n'est pas des alertes, rouge, orange, jaune, verte ou bleu qui allaient les empêcher de taper dans la balle. Début de rencontre interressante, équilibré, le collectif 09, Vadid, Imed et Willy dans les cages faisant jeu égal avec les adversaires, premier but pour Vadid mais Thibault, le roi du poteau, parvient à égaliser quelques instants plus tard mais...et puis on s'en tape de ce match, franchement l'important n'est pas là, certes la victoire revient à Junas mais de ça on s'en doutait ! Non le fait du jour est d'ordre scientifique, les souris ont peur de l'eau ! Et ça c'est une nouveauté, même l'illustre Walt Disney n'aurait imaginé telle infamie pour son héros légendaire. Alors il est bien dommage que tous ne passe pas la barre de la quarantaine dans les mois à venir parce que sinon certains cadres de la défense Junassole aurait bien organisé un petit présent genre stage de conduite sur route humide voire 40 heures de conduite tout simplement, à l'auto-école Alerte Orange de Sommières. Mais si on savait que les chats n'aiment pas l'eau, pour les souris peu d'entre vous se doutaient de ce phénomène. Mais il ne faut pas blâmer les êtres fragiles, cette douce faiblesse a ses avantages, imaginez un peu le programme, petite soupette à 19h15 tapante, charantaise verte à pois rouge emmitoufflé dans une robe de chambre à 9 euros 95 déniché sur le site www.lesfringuesdemesgrandsparents.com, une camomille ou tisane aux fruits d'automne, devant le reportage d'Arte du vendredi soir, les animaux d'eaux du XXIème siècle, avant de finir la soirée en beauté dans les plumes aux alentours de 21h20, soirée de Ouf ! Et pendant ce temps-là, à la même heure le kilo de jaune était sur le comptoir de l'Anthracite, et là les commentaires foisonnaient. Sur le match ? je l'ai déjà dit un peu plus tôt, on s'en tape de ce match ! mais sur quoi alors ? Sur les moeurs et coutumes de la Biquette cendrée pardi ! Le moralisateur habituel s'est taillé le bâton pour se faire battre, erreur dont il risque d'entendre brailler durant les dix prochaines saisons. On en a entendu des vertes et des bien mûres ! Mais chut, ma déontologie de journaliste en herbes ne me permets pas de relater tous les mots entendus ce soir-là, des enfants peuvent lire ce post. Alors c'est vrai, ce soir le Petit Prince a faillit, commetant une erreur qu'il risque de devoir assumer, ou pas, durant de longues troisièmes mi-temps mais la peur de l'orage n'est pas une fin en soi, il n'est pas responsable et nous pouvons l'aider ! Ensemble créons l'association "SOS Il pleut il pleut bergère, rentre ton blanc Mickey", afin d'aider notre talentueux milieu de terrain de la noyade, à se sortir de ce sinistre cauchemard, oui sauvons Mickey ! Notre Fifi communal a dit vouloir assumer son errement dernier en apportant prochainement une quille, fera t-il un exemple parmi ses concitoyens, seul l'avenir nous le dira, en attendant n'oublions pas d'élire le Talent d'or de ce vendredi soir. Vadid, sobre et efficace, bien présent en attaque mais pour les reprises de volées c'est moins ça, Imed, un peu juste physiquement mais bien compensé par un bon placement sur le terrain, 09, toujours dans la finesse surtout de l'exterieur du pied mais son altruisme a bien aidé son équipe, Willy Menes, de retour aprés quinze mois d'absences dans un rôle inhabituel de gardien de buts, résultats quelques belles parades, des buts presques casquettes et deux ou trois fractures du poignets... Pascal, a sur la conscience les deux ou trois fractures dernièrement évoqués mais à part ça une belle technique et quelques jolis buts de bourrins dans la musette, Jérôme la Boule et ses boîtes de conserve au pieds, a réussit l'exploit de ne pas cadrer une seule frappe en 60 tentatives, Pat, en dix minutes de jeu , deux équipes différentes il n'a pas pris un but et a dû en marquer une cinquantaine, courir lui fait du bien, Baumettes peu de prises de risques en attaque, cherchant trop systématiquement le titre de meilleur passeur mais intraitable dans son domaine de prédilection, la défense et enfin notre jeunôt pour finir, Thibault, il a dû toucher 85 fois les poteaux mais belle présence tout au long du match et bonnne endurance athlétique l'essuie-glace ne lui fait pas peur contrairement à certains absents... A vos votes !

samedi 22 octobre 2011

Congénies-Junas : 0-0 - Historique mais pas légendaire...

L'adage dit, un Junassico ne se joue pas, il se gagne ! Ces belles paroles furent dans la bouche de tous les joueurs avant la rencontre, mais une fois le coup de sifflet final retentit, on pouvait lire autre chose dans les pensées Junassoles, l'important c'est de ne pas avoir perdu. Faut reconnaître ce qui est, des dix-huits d'en face, tous n'ont pas fait carrière à Congénies, un Emir Qatari a t-il posé son hélico non loin de là ? Le Congénies Qatar Club est né et débarque avec quelques noms prestigieux et un talent qui peut faire basculer un match. Mais revenons chronologiquement à l'avant-match avec un évènement de premier ordre, la première de l'Anthracite, et au vu des quelques instants passés, cela en a perturbé quelques uns, Fifi par exemple qui a fait sa meilleure apparition depuis le début de la saison, mais un verre qui lui a visiblement fait trés mal car le malheureux s'est ensuite perdu entre Junas et Congénies, on est d'ailleurs toujours sans nouvelles depuis vendredi soir, aurait-il été enlevé par un dangereux psychopathe ou cherche t-il encore le stade ? Une alerte enlèvement a été déployée, si quelqu'un a du nouveau faites passer l'info sur le blog... Ensuite, deuxième victime et pas des moindres, notre fraise nationale, qui sur ce même chemin de Congénies a vu rouge en croisant un sanglier. Prenant son courage à deux mains il décide de poursuivre le suidé jusqu'à son terrier pour le saucissonner en moins de dix secondes, se prenant pour une sorte de Buffalo Bill local. C'est du moins la version Patounesque de l'épopée. Sinon ces quelques péripéties passées, le vif du sujet pouvait débuter. La compo de l'équipe de départ, Juju dans les buts, à sa grande joie pour suppléer notre ami Pat, excusé pour ce derby, sur les couloirs Titi l'Ours bien léché d'un côté et Imed le fluorescent de l'autre, en l'absence de Pascalou, la charnière des grands moments, Big et Mac réunit sous la même étoile. Le milieu de terrain en losange classique, Arnaud, Christophe et laBoule entourant le Petit Prince, Patou et 09 complétant ce 4-4-2 en se positionnant devant. Pascal et Anthony en réserve pour l'instant. Un arbitrage redouté, le toubib au sifflet pour ce 85 ème Junassico. Un début de rencontre bien entamé par les visiteurs, avec pas moins de trois frappes dans les cinq premières minutes, toutes signé Jéjé, la première chauffa les gants du gardien, la deuxième tua une taupe et la troisième n'aurait pas renversé un pot de petit suisse vide... L'occupation du terrain était jaune, un jeu bien fluide, appliqué et rigoureux, viril mais correct, la défense Junassole étant relativement épargné durant les vingt premières minutes et Juju au chômage technique. Devant les occasions se multipliait, Patou désireux de ne pas réitérer son carton de pigeon du dernier match était aux aguets et sur un bon débordement côté gauche, une offrande de centre le plaça idéalement seul face au gardien, tel un félin Patou visa le même pot de petit suisse que la Boule mais ne le renversa pas plus. A croire que les vendanges ne sont pas fini chez les Redons, il nous ressortit un Crisse-Tain (nouvelle forme de Bakayoko) cinq minutes aprés. Junas avait laissé passer sa chance mais ne le savait pas encore car les occasions ne furent alors pas légion sur le reste de la rencontre. L'entraineur Qatari décida alors de changer quelque peu son équipe et la face du match en fût bouleversé. Malgrè l'apport de Pascal en milieu de terrain et l'entrée d'Anthony devant, les Junassols courait désormais aprés le ballon mais en empêchant tout de même aux locaux de se montrer réellement dangereux car hormis sur une sortie aérienne Juju n'avait guère plus de travail qu'en début de partie, tout juste quelques frappes lointaine a accompagner du regard en sortie de but. La mi-temps était sifflé sur ce score nul et vierge de 0 à 0. La seconde période ressemblant à la fin de la première, des locaux dominateur dans l'ensemble mais rarement dangereux, une période durant laquelle des scènes habituelles revenait une nouvelle fois hanter les jaunes et noir, un immanquable de Patou devant, une blessure pour Pascal et Junas sans remplaçant dès la 55ème minute. Junas reculant de plus en plus au fur et à mesure que le match avançait, Mickey chargeant désormais son propre gardien qui sans avoir à s'employer fortement rassurait tout de même bien sa défense malgrè le Petit Prince toujours dans ses pattes. Les attaquants Junassols quant à eux ne profitait pas des Scuds mis à leur disposition et vu que dans le même temps les Qataris ne déployait pas leur jeu à leur guise, ce score nul et vierge resta en l'état jusqu'à la fin. Score final, 0-0, une première pour le JO en quatre saisons de loisirs voire en dix de séniors ! Mais ne pas avoir craqué en préservant ce bon match nul à l'exterieur était une victoire en soi. Pas de performance ressortant du lot mais pas non plus de naufrage personnel pour qui que ce soit, une copie homogène et solidaire, marque de fabrique de cette équipe. Place désormais à la récompense, si le choix du Talent d'Or du match risque d'être cornélien, celui de troisième mi-temps et plus particulièrement de la bouffe est presque acquis d'avance, tant notre ami baumette excelle dès qu'une tartiflette est posé sur la table, il aurait fallu filmer son visage dès que le plat est apparu sur la table. Les rois du comptoirs, quant à eux, sont peut-être toujours à l'heure actuelle à Congénies, la Fraise, Arnaud, La Boule et Titi étant parti pour une fin de nuit comme ils en ont le secret, encore des disparus dans ce derby décidemment fantômatique...

jeudi 20 octobre 2011

Avant match Congénies-Junas : jour de Derby...

Il y a de ces parfums indescriptibles que l’on ne ressent que dans certaines occasions uniques, un petit je ne sais quoi qui transforme toutes bouffées d’air frais en une ivresse incommensurable. Des odeurs à priori ordinaires qui pourtant une fois humecté nous renvois à des souvenirs lointains et un brin nostalgique. Vendredi soir, bon nombre d’entre-vous se reverrons dans un passé pas si lointain où les vivas d’une foule déchaînées fêtaient comme il se doit le septième but de son équipe favorites qui, l’espace d’un soir, s’était transformé en dieux du ballon rond. Ce soir là, le petit Mickey c’était Maradona, la Boule Marcel Desailly, le Coach Franz Beckenbauer, Juju Johnny Rep et Jourdanov Sylvain Kastendeuch. Ces soirs de grâce ne sont hélas qu’éphémère mais les parfums restent comme les grands matches, comme les jours de derbys. Congénies-Junas, c’est un peu l’encyclopédie du foot, à côté le classico fait figure de partie de baby foot et l’Olympico de blague Carambar, non si un jour il ne doit rester qu’un seul match à jouer se sera le Junassico. D’ailleurs cela serait réducteur de n’y voir qu’un simple match de football, c’est bien plus que cela, c’est une façon de vivre, une religion, un grand sage n’a t-il pas dit qu’une saison sans Junassico c’est comme un apéro sans jaune, dénué d’interêt ? Alors quand demain les gladiateurs rentrerons dans l’arêne et lorsque l’empereur lévera le pouce, il n’ y aura plus de quartiers, plus de pitié et le combat durera toute la nuit, jusqu’à ce que Christophe achève sa bouteille de Fraise, Baumettes crucifie le dernier morceau de fromage et Titi son dernier Get, le 27ème. Les absents se terrerons alors dans un coin et pleurerons les chaudes larmes de leurs corps, louper une finale de Coupe du Monde, on s’en remet, un Junassico c’est plus délicat. Menes, Jourdanov, Pascalou, le peuple Junassol pensera à vous et nul doute que les joueurs présent sur la pelouse seront bien leur dédier une petite phrase sur un tee-shirts, Remember. Mais à match exceptionnel, dispositif exceptionnel, le nouveau lieu de départ, désormais à l’Antracite où commencerons à couler les premières bières, fini les canettes chaudes de 33 exports dans le coffre du coach, notoriété oblige une petite pression devrait avoir un effet émotionnel intense, certains pourraient même y avoir une légère érec(BIIIP ! CENSURÉ). Aprés ce moment de recueillement, le convoi pourra alors s’éclipser dans la nuit, direction le théatre des cauchemards Congénissois. L’ancien exil des jaunes et noirs qui durent y laisser quelques chevilles durant des années interminables avant de connaître le temple de la route de Sommières, cet ancien lieu de tous les exploits passés est désormais la maison des Barbares, celle dont on ne part qu’une fois que l’on y a mis le feu. Le grand sorcier Junassol, Vadid le Grand dévoilera alors son équipes de galactiques, Pat sera vraisemblablement le gardien de la cage d’Or, Titi et La Boule auront les clés des couloirs, là où ces maudits yankees viendront périr, la charnière Vadid/Baumettes, en l’absence du Pascal-Mais-Pas-Raymond, sera chargé de batir une forteresse encerclée de barbelés, Monsieur Chris la Fraise juste devant afin de combler les quelques vides de son équipes et de faire trembler les filets adverses, la combinaison de la terre du milieu est un vaste chantier sans cesse bouleversé, Imed, Arnaud, Mickey ne devrait pas être loin du carré magique à moins que Pascal ne vienne s’y immiscer mais on le sait désormais, ça durera moins que les impôts, vingt minutes tout au plus, juste aprés un petit but en général. L’attaque, sans surprises, le trident qui fait trembler Congénies, Patou, Juju, O9, une combinaison du diable à la réussite insolente...parfois. Le banc ne devrait pas être en reste non plus, avec Monseigneur, sa seigneurie, son altesse Talent d’Or, Laurent, son rêve ? passer dix minutes sur le terrain, le Messi de l’infirmerie parviendra t-il à trouver son graal ? Réponse demain soir sur les coups de 20h35... Passé la lutte acharnée, un Junassico se termine toujours à la taverne, ce lieu de perdition où certains y laissèrent une partie de leur foie dans des joutes d’anthologie, c’est la troisième partie de la confrontation, le moment où tout se termine au fin fond de la nuit, une nuit de derby...
Rendez-vous donc 19h30 à l'Anthracite, Bar Junassol...

samedi 8 octobre 2011

Junas 5-1 Gallargues : Junas régale le Stade de France

La température brusquement rafraîchit devrait permettre d’assister à une bonne rencontre de football ce soir. 20h15, le stade de France se remplit doucemenette, le Maracana de Junas également, les joueurs entrent sur le terrain pour le traditionnel échauffement. On lit déjà la concentration sur le visage des joueurs, à quelques encablures du Temple Junassol, un ami finit son omelette et se prépare à enfiler sa tenue, mais laquelle, charentaises ou petit blouson ? l’avenir nous le dira… 20h25, on commence à deviner l’équipe, les titulaires d’un côté, les remplaçants encore aux vestiaires, le speaker du stade va annoncer la composition des équipes d’ici quelques instants. 20h35, Liza prend le micro…et Menes son carnet, quelques préambules, présentation du match et la compo tombe ! Dans les buts Lloris, sur les côtés Debuchy et Baumettes, une charnière inédite composé de Rami et Vadid, notre Fraise nationale à la récup, Arnaud et La Boule l’épaulant ainsi que Mickey préféré dans l’axe à Nasri, la doublette de devant, avec Rémy associé à Patou, mais l’autre paire Gomis-O9 est susceptible de rentrer à tout moment, le banc des remplaçants est fort copieux également, Laurent, Pascal, Diarra, Réveillères, Cissé, Imed… La tension reste palpable, pas le droit à l’erreur, le match nul des Français face à Aubais n’as pourtant pas hypothéqué les chances des Junassols de participer à l’Euro mais faux pas interdit devant des adversaires que l’on connaît peu, Gallargues, venu sans peurs et sans reproches. Rue du Mas Sabatier, le verdict est tombé, le canapé a eu raisons des dernières hésitation, ah c’est triste un champion à la dérive… Dans tous les cas, sur les bords du stade le public a répondu présent, c’est l’heure des hymnes à présent, visiblement Pascal pas Raymond a du mal avec la Marseillaise tandis que O9, son écharpe bleu-blanc-rouge sur le torse s’égosille à plein poumons, M’Vila dévisage les spectateurs et échange quelques mots avec l’équipe U15, invités par la direction du club à ce match de gala. Le coup d’envoi est proche désormais, notre ami Arnaud, rescotche ses Kopa 1956, Mickey se recoiffe une dernière fois et sur le banc, Imed enfile sa tunique Fashion jaune fluo, seul dans ses buts Pat pense au lendemain matin et ce terrible France-Angleterre qui partagera en deux son foyer…

20h45, et c’est parti, M. Koukoulakis libère les vingt-deux-acteurs,! Pas de round d’observations, dès la deuxième minute l’Albanais Musaka met le feu dans la défense Junassole, qui dégage le ballon en catastrophe. Les Français mettent le pied sur le ballon, tentent de construire mais leurs passes sont imprécises. Le match s’équilibre alors quelques peu, les rouges et blancs d’un côté et jaunes et noir de l’autre n’arrivant que très rarement à inquiéter le portier adverse. Première escarmouche des locaux, sur un déboulé de Malouda sur la droite, le centre quasi-parfait pour le goléador Patou mais hélas, une frappe Bakayokesque tue le premier nid de chauve-souris de la soirée, un panneau solaire a eu chaud mais les oiseaux ou autres objets volants vont passer une soirée assez difficile sur les abords du Stade Gardois. Suit alors un temps d’hésitation, et notre ami Jourdanov déborde sur le côté droit (si, si ça arrive ) de la cuisine, s’engouffre dans le frigidaire et déploie la première Heineken de la soirée ! 12 minutes de jeu et ouverture du score de Malouda, imaginez Arnaud décrochant une frappe de 35 mètres dans la lucarne, irréaliste, mais les faits sont là. Du côté du Vidourle, la défense Junassole contrôle sans trop de problème, malgré une petite frayeur côté droit, où un centre bien vicieux atteritt sur la transversale des locaux, notre Pat Lloris semblait cependant être sur la trajectoire. Le Stade de France fait la Ola. Nasri lance Rémy côté droit, qui obtient un bon coup-franc. Patou et Cabaye discute, ce dernier s’éloigne, c’est donc Patou qui va s’élancer, 3 points deux corbeaux et moineau, pas mal, le gardien adverse en tremble encore ! 21 ème minute, les Bleus combinent : Nasri reçoit un bon ballon de la Fraise à l'entrée de la surface et frappe, mais pas assez fort. Le coach Vadid procède alors aux premiers changements, il appelle donc le Mickey pour qu’il cède sa place, un électrochoc pour le milieu de terrrain, qui l’espace de quelques secondes, retrouve sa grâce ancestrale, enrhume un défenseur d’un fort joli grand pont, évite la moissonneuse batteuse adverse avant de centrer au cordeau pour Anthony, qui marque ainsi son premier but sous la sélection Junassole. Satisfait du travail bien fait, comme prévu le Petit Prince part narguer le journaliste local sur le bord de la touche histoire de lui rappeler à son bon souvenir. 34ème minute, Younes Kaboul un peu fébrile ce soir, laisse échapper un Gallarguois, qui décoche une belle frappe mais Hugo Sapey détourne magnifiquement le ballon en corner. Le coach remobilise un peu sa défense car les corners se succèdent, mais malgrè tout les visiteurs peu à peu baisse de pied, et sur une action anodine, la défense Albanaise offre sur un plateau le deuxième but d’Anthony dans ce match, 2-0, la France maîtrise, Junas excelle. Au Stade de France, Christophe se bat comme un diable au milieu de terrain, élimine un, puis deux, puis trois adversaires avant de glisser le ballon à Loïc Rémy. Le Marseillais s'avance et frappe fort. Le ballon passe entre les jambes du gardien albanais. Il est alors temps que Laurent cède sa place, un match époustouflant de la dernière recrue Junassole, dix minutes de jeu, records en vue… Et l’autre recrue me direz vous ? 15 minutes de jeu, un but marqué et une sortie, la routine quoi ! Quelle extraordinaire capacité à s’intégrer dans un groupe pour ces deux-là, 25 minutes de jeu en deux matches et à eux deux, parfait. La messe est dite à la mi-temps, 3-0, Juju peut rentrer serein, d’autant que le match est désormais à sens unique, les coéquipiers de Lorik Cana semblant aux abois et sur un corner de Marvin Martin, Patou contrôle, et décroche une frappe suréaliste qui rebondit à peu prés dix huit fois avant de transpercer le portier adverse, on est bon pour changer les filets ! A cent mètres de là, Jourdanov sombre dans un sommeil bien révélateur… Chez nos ennemis parisiens, Réveillères clôt également le spectacle, que de buts dans cette soirée mais finalement peu de suspenses aussi, la fin du match en roue libre, un cinquième but Junassol, certes un peu litigieux car notre Pascal pas raymond propulsant le cuir sur un tacle rageur, mais l’arbitre grec accorde cette réalisation. En fin de partie, Kaglounis réduira la marque pour Gallargues, 5-1 score final, les Français se félicite, les Junassols échangeant leurs maillots et c’est Laurent Blanc qui respire car cette belle victoire de Junas doit le soulager. La troisième mi-temps sera tranquille mais efficace, prochain rendez-vous pour le Classico, dans quinze jours à Monumentale de Congénies. La pub de TF1 referme donc cette belle soirée.

lundi 3 octobre 2011

Avant match Junas-Gallargues : Ka Mate ! Ka Mate ! Ka Ora !

La tête en bas…mais les pieds sur terre. Rencontre inédite à l’Eden Park de Junas ce vendredi soir avec la réception du peuple de Gallargues. Des indigènes méconnu, mais gare à l’ignorance qui parfois cache l’évidence ! On t-il inventé la roue ou marche t-il encore dans l’ovalie ?
Les fiers Maori de Gallargues débarquerons certainement en pirogues mais ne vont-ils pas nous engloutir d’un bloc ? Que connaissons-nous de leur pack ? certes le notre n’a pas beaucoup d’équivalence dans cette région du monde, le pilier Big, le talonneur Mac ne se bougent pas d’un simple raffût et ne se nourrissent pas de vers de terre non plus ! Alors que craindre ? La glorieuse incertitude du sport, le Pâ des Tongiens ne se nommerais pas Gallargues par hasard ? Faut en être persuadé sinon le ciel risque de nous tomber sur la tête comme c’est parfois arrivé par le passé. Cet innovant duel ne se résumera surement pas à une guerre de territoire, nous aussi nous avons nos rituels, nos croyances et nos légendes, notre célèbre guerrier, notre défonceur de talons d’Achille, notre arracheur de chevilles, celui par qui trépassent les scaphoïdes, O9, n’a t-il pas le dessin des dieux sur sa poitrine ? Un symbole Marquisien qui glorifie un acte de bravoure. Les légendes Junassoles n’ont rien à envier aux histoires des tatoués, la Diegolita en est la plus célèbre et de nos jours toujours raconté dans les écoles de football de junas. Les chants adverses ne risquent pas non plus de faire trembler les fiers combattants que nous sommes, laissons-nous bercer par le célèbre Haka de Junas, et remémorisons en nous ces paroles de comptoirs (pour les néophytes et autres anglais qui liraient par hasard ce message, une petite traduction s’impose) :
- Ringa pakia et kaetopi ! (Videz vos verres et basculez !)
- Uma tiraha ! (Que votre foie souffre)
- Turi whatia ! (Pliez le coude !)
- Hope whai ake ! (Laissez le glaçon fondre !)
- Waewae takahia kia kino ! (Servez le jaune tant qu’il en reste !)
- Ka mate ! Ka mate ! Ka ora ! (Je bois ! je bois ! je vomis !)
- Ka mate ! Ka mate ! Ka ora ! (Je bois ! je bois ! je vomis !)
- Tenei te tangata puhuru huru (voici la boisson des Dieux)
- Nana nei i tiki mai, Whakawhiti te ra (Qui fait briller les yeux)
- A upane ! ka upane ! (Encore un verre ! Un nouveau verre !)
- No Te Wharerangi ! (On va pas partir bancal !)
- Ka Te Rangikoaea ! No ka Rikardoa ! (Un 51 ! pas un Ricard !)
- Whiti te ra ! Hi ! (L’apéro coule ! Rhâââ)
Si nos Polynésiens de voisins lisent ça, c’est sûr ils ne survivrons pas ! Il est vrai que ça vous transperce le cœur, ça donne la chair de poule et la larme à l’œil.

Le XI de Junas, ses forces, ses faiblesses, ses remplaçants, ses incertitudes, ses kinés, ses ostéopathes, ses cadavres, ses bléssés de longue dates, ses phases terminale de blessures à répétitions, j’en passe et des meilleurs…
Commençons cette composition par nos avants ou plutôt nos arrières là ! Il y a du lourd quand même, prévoyez la balance ça transperce les planchers, Pat l’Angliche, lui il a quelque chose d’Anglo-Saxon qui nous plaît guère espérons que pour cette fois qu’il soit plus Johnny que Wilkinson. Toujours sur la balance, Titi, Big, Mac et Pascal, grâce à ce dernier la tonne est évité. La ligne au dessus, notre Dan Carter à nous, Chris-Fraise, espérons qu’il ne finisse pas dans le même état, c’est à dire avant les autres sinon au revoir les bouteilles de l’apéro, il aura tout sifflé avant la fin ! Mickey, tantôt demi, tantôt ouvreur mais le pire c’est quand il redescend en pilier gauche, ça créé un certain déséquilibre. Arnaud, il nous offre la forme de sa vie, espérons que ce ne soit pas que feu de paille et que la distance sera une nouvelle fois atteinte. Enfin les arrières, enfin les avants là, n’oublions pas que nous avons la tête en bas donc tout est inversé, O9 dont nous avons parlé précedemment et Patou, le Lomu de Junas, 135 kg à la pesé (ça c’est pour la photo de samedi !) et 10 secondes aux 18 mètres, heureusement c’est un botteur efficace et précis. Mais n’oublions pas nos nouvelles recrues, passé lors du premier match par le bizutage habituel poutr tout nouveau jaune qui se respecte, la blessure. Le challenge cette fois-ci sera plus coriace que la dernière fois, passer le ¼ d’heure de jeu ! pas facile les ALL YELLOW est un maillot qui a son poids et qui se mérite.

Le rendez-vous est donc pris, l'Eden Park de Junas sera comble, quelques légendes viendrons garnir les tribunes ou les blocs de commentateurs, la redoutable paire Jourdanov-Menes, les femmes à la maison et les glaçons au congel. Le sondage d'avant-match est plutôt "People" cette fois-ci avec une question d'arithmétique, d'aprés-vous combien de verre va descendre Dan Chris Carter Fraise durant la troisième mi-temps ?

dimanche 11 septembre 2011

AUBAIS 2 - 2 JUNAS

Nous allons faire un petit résumé du match sous une nouvelle forme puisque c'est dans le camping car de nos 3 acolytes, que nous appellerons respectivement O9, J4 et W51, que nous allons revivre ce Derby !
Les rumeurs les plus folles nous les auraient envoyés du coté de Mérano ce fameux lieu de remise en forme pour joueurs bedonnant... des mauvaises langues raconteraient qu'ils auraient rejoints la frontière espagnole pour faire quelques folies...Bref ils seraient partis à l'aventure pour se ressourcer...
Nos trois amis sont donc installés devant leur tv portative noir et blanc achetée d'occasion par O9 sur boncoin.fr qui a la particularité (la tv pas O9) de se brouiller toutes les 5mn... Mais W51 jamais à court d'idée nous ressort la fameuse passoire qui jadis lui permettait de regarder des films non autorisés le 1er samedi du mois sur la chaines crypté (il vous expliquera son fonctionnement)...
Après avoir tapé deux coup sur la tv, l'image apparait enfin : Déjà 0-1 pour Aubais ! Nous jouons seulement la 1ere mn. Le ralenti nous montrera que le une deux dans la surface de réparation entre Titi et Pascalou n'était pas une si bonne idée...
5 mn minutes plus tard alors que J4 se lève pour aller chercher quelques cacahuètes, Aubais envoi une praline en plein lucarne, inarrêtable pour notre ami Pat !!!
0-2 !!! Le coup est rude, car l'équipe locale a perdu une nouvelle recrue à l'échauffement (ce dernier nous a affirmé qu'il voulait s'intégrer en respectant les traditions de l'équipe !), il ne restait donc plus que 12 joueurs pour finir le match !! L'adversaire lui, était bien armé puisqu'ils étaient 17 !
Nos 3 supporters junassols ne se laissent pas abattre malgré un début difficile de leur équipe, puisque W51 ressert une 3eme tournée bien méritée !
Sonnés, mais pas abattus, les junassols remettent le pied sur le ballon, et le milieu de terrain composés de Arnaud, Christophe, Juju (si si !) et mickey commence à colmater les brèches et les premieres attaques peuvent enfin voir le jour ! C'est donc grâce au jeu en passe qu'Arnaud distille un centre à notre nouvel attaquant, au prénom si parfait, Pascal qui marque à la demi heure de jeu !
Malheureusement, la tv se brouilla a ce moment et W51 ayant laché sa passoire, personne ne verra ce but junassol dans le camping car ! O9 tapa deux grand coup, l'image revient : le score s'affiche Junas 1 -2 Aubais !
Le moral remonte, les coudes aussi, J4 sert une 4eme tournée de 51 !
Ayant senti surement l'odeur d'une tournée sans lui, Juju file droit au but, mais c'est un slogan qui ne porte décidemment pas bonheur en ce moment puisque ce dernier tire à coté ! Et c'est la mi temps. La défense composés de Baumette à gauche, Titi à droite, Did en stoppeur et Pascalou en libéro, un peu secoué en début de match a repris quelque peu le dessus sur un adversaire jouant simple et précis.
La seconde mi temps reprend. L'apéro aussi. Une 7eme septième tournée s'impose !
Cette mi temps démarre à tambour battant puisque les Junassols se mettent à bombarder leur adversaire, pas moins de 5 tirs en 5 minutes, Christophe, Patou, juju, Pascal et Arnaud pilonnent le goal adversaire, histoire de bien occuper le territoire ! Devant une telle excitation J4 se lève à chaque frappe et balance le pot de cacahuète sur W51 qui ne lâche plus sa passoire !!!!!
Mais les minutes passent et la fatigue se fait sentir sur les deux terrains ; dans le camping car nos 3 amis commencent à parler de plus en plus fort et le sol commence à tanguer dangereusement... Sur le stade junassols dont les vestiaires viennent d'être inaugurés, pas question pour l'équipe locale de perdre ce match, même si notre dernière recrue encore sur le terrain se blesse ! Décidément "Pascal" et "blessure" vont devenir un fâcheux pléonasme ! C'est donc à 11 que Junas finira ce match ! Il ne reste que quelques minutes de jeu, et c'est à ce moment là que mickey décide de descendre d'un cran. On se regarde avec Did, et on se dit que la fin du match ne doit pas être loin ! L'idée est maintenant de ne plus prendre de but car les jambes sont très lourdes ! Nos 3 amis aussi sont en difficulté puisque la bouteille de jaune est maintenant terminée et ils sont dans l'obligation de se désaltérer avec une bonne vervaine à 68° qu'à dérobé O9 lors du dernier repas du 3eme age...
Mais revenons à notre fin de match : après une action confuse devant le but aubaisien, un ballon quasiment perdu est récupéré par Arnaud, qui a retrouvé ses jambes, grâce à ses tours du Monredonnet, il centre... sur la tête de notre buffle, le bien nommé, Christophe ! et c'est l'égalisation !!!! JUNAS 2-2 AUBAIS !!!! nos 3 camarades sautillent de joie, pas trop, car cela tangue maintenant vraiment beaucoup !!!
Et après un missile adverse qui frôle le montant de Pat, le match de nos heros junassols se termine !!! Une grande solidarité s'est dégagée dans cette équipe et qui malgré la fatigue a su allé chercher les ressources suffisantes (notamment Arnaud pour son dernier centre pour égaliser) !!!Bravo à tous !!!!
J'en dirai autant de nos amis qui, après avoir rendu à la terre tout leur breuvage ingurgité dans la soirée, se sont endormis les uns sur les autres avec W51, sa passoire sur la tête... Ils étaient heureux !!!!



Pascalou

mercredi 7 septembre 2011

Avant match Aubais-Junas : le début d'une autre histoire

Toute belle histoire a un début, on y plante d’abord un décor, on y décrit le contexte dans lequel le récit va se dérouler, on y présente les principaux personnages en analysant leurs traits de caractère, leur qualités, leur défauts et l’importance qui leur sera donné dans les futures aventures. Ici, le décor c’est celle d’une équipe de foot-loisirs, des joyeux drilles, c’est ainsi qu’ils étaient présenté lors des premières saisons, des saltinbanques du football dont la plupart ont dépassé l’âge raisonnable de gambader après une balle mais la passion est là, et pourquoi s’en passer quand en plus elle découle sur d’anthologique moments festifs.

Vendredi soir débutera l’histoire, celle de la saison 2011/2012 que l’on espère tous quelle sera la plus belle, autant dans les victoires, dans les troisièmes mi-temps ou dans l’esprit conquérant et soudé qui caractérise tant cette équipe. Le premier chapitre de ce roman s’appelle « Aubais » et commencera par quelques cliquetis de crampons sur le devant de la porte du nouveau temple Junassol. Un bastion que l’on espère tous qu’il restera inviolable de septembre à Juin, et qu’il incitera plus d’une formation à repartir les valises pleines…

Mais présentons les principaux protagonistes de cette première intrigue de la saison, ceux qui vont animer le récit et à tout seigneur tout honneur celui qui mène cette troupe de mains de maître depuis quelques temps déjà avec des fortunes plus ou moins diverses, le Vadid, coach en son état, exigeant sur la dose au fond du verre et avide de tactiques diverses, la « on joue comme vous voulez » ou encore la « aujourd’hui c’est vous qui faites l’équipe les gars » sans oublier la plus célèbre la « on joue comment ? », Vadid la science, beaucoup d’équipes n’ont pas la chance d’avoir un coach de cette trempe-là, son secret ? le dernier verre…

Derrière il y a une muraille, solide comme un mélange d’acier trempé et de beurre de cacahuètes mou, une recette étrange composé de Pat Gordon Banks Sapey, une envergure dans les cages, lorsqu’il déploie ses ailes tel un condor au-dessus du Mont Olympe il nous impressionne tous mais gâre au revers de la médaille, comme l’année passé où il fût contraint de garder le lit trois mois durant. Pêle-mêle dans cette défense on trouve Fifi le philantrope, genre de pickpoket grattant autant de ballons que bouteilles de pinard, magicien dans cette exercice-là mais une chose ne risque pas de s’abîmer avec lui…les filets adverses ! Le Baumettes, pendant longtemps il ne fût présenté que comme une fourchette mais il a plus d’une corde à son arc, le Robin des bois du football, il pille les ballons aux attaquants adverses pour les redistribuer à son milieu de terrain, il serait un preu chevalier s’il n’avait pas tendance à grogner parfois un peu plus fort que les autres mais Monsieur Glaçon c’est lui donc Respect ! Titi l’ours bien léché, il donne de temps en temps l’impression d’hiberner sur son aile mais alors que se présente sa proie, il n’hésite pas d’un seul coup de patte à s’attirer le ballon tel une mouche sur un pot de miel, un nounours bien plaisant. Le Vadid on en a parlé côté coach, côté terrain il ne vas pas trop aimer se retrouver face à Aubais, son match du siècle, lui qui bourlinguait déjà le cuir alors que Mickey jouait encore dans son parc, a vécu un véritable cauchemard la saison passé, l’heure de la vengeance est-elle proche ? Notre international de l’équipe, il parcours l’Europe entière à représenter la marque Château d’Ax, les canapés de luxe, car Monsieur Jourdanov est exigeant avec le cuir, toujours le caresser, ne jamais l’agresser ni le torturer, un gentleman avec le ballon, un peu moins avec son attaquant, il a failli marquer l’histoire du Temple mais failli seulement…

Le camarade Pascalou, il pêche les coquillages , les gros poissons et les osthéos, sa dernière passion, il a la particularité de connaîtres tous les kinés de la Vaunage et peut se présenter demain à l’examen, il sera reçu avec mention, bon quand un miracle survient et qu’il aligne deux matches d’affilés (je sais même pas si ça lui est déjà arrivé depuis son retour), il est précieux dans sa vison du jeu et ses placements mais il dispute autant de rencontres par saison qu’il y a de jour de Noël dans l’année.

Le milieu de terrain désormais, coupable de tant de maux et sauveur dans tant de matches, c’est le baromètre d’une rencontre, ils sont trop derrières et l’attaque est sevré de ballons, il sont trop devant derrière c’est le Titanic, le juste équilibre alors, c’est pour quand ? Prenons Chris-la-Fraise, lui c’est plus un baromètre c’est Météo France à lui tout seul, premier buteur de l’ère Vestiaires, premier à y avoir finit une bouteille, il détient également le record du temps passé dans la salle des apéros, certes il nous ramène quelques victoires mais il nous descend à lui tout seul quelques cartons mais c’est le prix à payer, le Trésorier s’inquiète parfois mais les gros salaires font la difference. Dans la même ligné du Pascalou, il y a Cristal-Man, alias Arnaud, à la différence lui, c’est qu’il commence presque tous les matches mais n’en finit quasimment jamais, si on devait compter à la fin d’une saison les minutes joués on arrivrais à un temps guère plus important que son camarade de la défense mais si le Cristal casse facilement, les percées de notre Arnaud sont également dévastatrices, sur l’air du Connemara il est souvent irrésistible et apporte l’équilibre de ce milieu. En fait ce milieu de terrain c’est un peu un plat de gélatine, ça tangue dans tous les sens, la Boule, lui c’est une expérience scientifique, comment un gars peut jouer autant sans colonne vertébrale et comment un gars peut faire autant d’apéros dans l’année ? Le prix Nobel de science celui qui percera ce mystère. Enfin le Mickey, pas le moins important des personnages, il a le caractère et les manies d’un petit vieux de 90 ans, mais en même temps il court plus vite que le doyen de la Coustourelle, donc c’est un mélange de jeunesse et de gériatrie, au ballon c’est pareil parfois on nous demande son âge tant il court comme un lapin, parfois on le compare au vieux Pierrot d’Aigues-Vives, alors en 2011-2012 plutôt puberté ou plutôt retraité ?

Et enfin le meilleur pour la fin, la crème de la crème, les artistes à l’état brut, les génies de Junas, l’attaque bien sûr, Juju la flèche, Patou la précision et O9 le déménageur, chacun son style, chacun son talent et chacun sa caravane. O9, lui c’est le camping-car, gros cube, il fonce, il nettoie tout sur son passage, dégage les brêches pour laisser libre ses petits compagnons, c’est peut-être pas une machine de précision mais l’efficacité est tout de même bien présente. L’efficacité il connaît le Patou, Monsieur Top But, après les Papinades on parle désormais de Patounades, à droite, à gauche, ça va au fond, seule la tête est aussi précise que le pied gauche de Jourdanov mais qui n’a pas de point faible ? Enfin Juju, la motobécane de l’attaque, si ça démarre fort c’est jusqu’au bout par contre si ça a des ratés à l’embrayage, ça coince sur la durée. Il a bien progressé durant ces années sur sa fragilité, il est passé du Cristal au plastique, des fois ça casse encore mais c’est moins fréquent, par contre à l’apéro, c’est plus le même, peut-être la trésorerie lui joue des tours mais les bouteilles de 51, c’est pas lui qui leur font mal, qui l’eu crû ?

Vendredi il y aura comme d’habitude quelques absents, O9 et Jourdanov par exemple, mais il y aura aussi quelques nouvelles recrues, mais les dirigeants n’ayant pas daigné les présenter à la presse, je n’en parles donc pas ! Il est tellement important le début d’une histoire qu’il ne faut pas se louper aux premières encablures de l’intrigue sinon le suspense a du mal a progresser et on jette le livre à la fin du troisième chapitre. Mais il est evident que ce premier match étant à huis clos, les journalistes étant encore en phase de reprise, les joueurs seront peut-être plus libéré, ne craignant pas l’attentat le lendemain, mais gare à la taupe, parfois il s’en cache dans les équipes…

mardi 16 août 2011

SAISON 2011/2012 : le signal de départ

A quelques heures de la rentrée des classes pour les footeux loisirs du Junas Omnisports, après les éternels bilans de la saison passées et les objectifs qui pleuvent ici et là pour la nouvelle, je vous propose justement de faire un petit tour de ce qui attends cette équipe lors de ce nouvel execrice 2011/2012.

En effet, le calendrier officiel est sortis depuis quelques semaines déjà, scrutons-le plus en détail.

09 septembre 2011, AUBAIS-JUNAS, le premier rendez-vous de la saison s’annonce assez rude car très bonne heure dans la saison, les goutelettes jaunes dégoulinerons-telle encore du corps suave de nos athlètes ? De mauvaises langue disent que de toute façon elles coulent toute l’année ! Petit rappel de la saison précédente, un nul à Congénies (2-2) et une branlée prise à Aubais (7-3). Non, je ne rappelerais pas au coach son superbe match de ce jour-là mais à charge de revanche. Petite incertitude, ce premier match à l’extérieur pourrais se dérouler à Junas, à suivre…

07 octobre 2011, JUNAS-GALLARGUES, des nouveaux venus pour la première à domicile, les pensionnaires du péage A9 nous rendrons une petite visite qui je l’espère restera gravé dans leur mémoires comme un sacré camouflet ! C’est pas pour mettre la pression mais on va pas se faire dicter la loi sur notre terrain par des nouveaux promus !

21 octobre 2011, CONGENIES-JUNAS, le premier classico de la saison aura lieu au Stadio Monumentale, inutile de révéler l’importance de cette rencontre, défait la saison dernière sur cette pelouse, il s’agira d’être vigilent car c’est peut-être fini le temps où Junas mettait une valise systématique aux voisins.

4 novembre 2011, JUNAS-AIGUES-VIVES, le rythme soutenu des rencontres en cette période de l’année sera l’inconnu, les Jaunes et noirs auront-ils encore du carburant dans les jambes ? dans le gosier je n’en doutes pas mais les rencontres face à Aigues-Vives sont souvent indécises d’un match à l’autre, exemple victoire à l’extérieur et défaite à domicile pour l’exercice précédent.

25 novembre 2011, VILLETELLE-JUNAS, vu la date de cette rencontre, il est jamais aisé de jouer au foot dans ce stade Louzniki de Moscou/Villetelle. Souvenez-vous de la première sur ce terrain ressemblant étrangement à la banquise, notre boule communale en a encore les stigmates. Une seule rencontre l’année dernière avait vu la victoire Junassoles (2-1) en terre héraultaise.

9 décembre 2011, VAUVERT-JUNAS, deuxième déplacement d’affilé pour terminer l’année 2011, pas le plus aisée loin s’en faut, contre les mobylettes du championnat. Retrouvaille également avec l’ancien goléador des temps de gloire, Cyrilgoal, et une victoire assuré pour la 3ème mi-temps, Coca face à 51, vive les produits locaux !

13 janvier 2012, JUNAS-AUBAIS, fini les trêves allemandes de la saison précédente, la ligue Mickey a rectifié le tir mais attention aux restes du réveillons, je ne parle pas forcemment des chocolats mais des breuvages pétillants plus dur à digéré pour certains.

20 janvier 2012, JUNAS-VAUVERT, déjà les retrouvailles face aux U19, pas de surprises dans la composition des équipes comme cela peut parfois se produire entre le début et la fin de la saison, le moment idéal pour faire la différence et creuser l’écart avec les concurrents

16 mars 2012, JUNAS-VILLETELLE, là par contre une coupure plus longue que celles des dindes de Noël, histoire de permettre aux meilleurs éléments de se ressourcer en montagne en évitant les fractures, les ligaments ou autres vins chauds bien entendu.

30 mars 2012, GALLARGUES-JUNAS, cette fois on les connaîtra un peu mieux et on découvrira une nouvelle enceinte, en naming bien entendu, le Stade Autoroute du Soleil, nous accueillera pour une première que l’on espère tous réussi.

1er mai 2012, COPA de JUNAS, c’est toujours une équipe Junassole qui détient donc le trophée, dont l’objectif majeur pour les organisateurs sera de terminer le tournoi et plus précisemment d’organiser une finale avec deux vrais équipes et pas des charlots comme ce fut le cas par le passé.

4 mai 2012, JUNAS-CONGENIES, seulement trois jours après la Copa voilà le derby qui débarque ! Il est possible que certains organismes ne tiennent pas le choc, et pourtant…pas question bien evidemment de laisser filer un classico, si ça trouve se sera une revanche sur la finale disputé trois jours plus tôt. Ce match de gala sera également la clôture à domicile pour la saison.

1er juin 2012, AIGUES-VIVES-JUNAS, c’est sur ce match là que, théoriquement, le Junas Foot Loisir sera sacré Champion, sur le billard du Camp Nou d’Aigues-Vives, la cérémonie qui s’en suivra sera forcement folle et émouvante.

Petit rappel pour finir sur certaines règles mise en place et à respecter pour cette saison. Impératif d’avertir le coach par voie de blog ou mail ou téléphone, au maximum trois avant la rencontre de sa présence au match ou non, les mésaventures de l’année passé de découvrir si l’équipe est complète ou non le vendredi à 18h sont à éviter fortement, ne serais-ce que par respects de nos adversaires qui commande et prépare l’après-match à l’avance. Un petit papier avec quelques coordonnées et le récapitulatif du calendrier sera distribué lors des premiers entraînements. Bonne saison à tous et Allez Junas !

lundi 8 août 2011

Saison 2010/2011 : Les aventures de Junas d'aprés Ménes (le temps des voyages)

Comme il est de coûtume dans ce genre de récit, le deuxième tome des aventures de Junas va nous faire un peu voyager. Première destination du Menes Tour operator : l’Ecosse, ses fantômes, ses châteaux, ses kilts et…sa douche mémorable comme celles pris par nos Pieds Nickelés face aux voisins d’Aubais. L’une des plus grosses déculottés prise par des Junassols depuis des siècles. Une défense fantômatique, des joueurs clés hantés par leurs démons, nul de William Wallace dans la formation jaune et noire, un score de Rugby, ou presque, à croire que tous les joueurs avaient commencer la soirée par la troisième mi-temps en dégustant tous les Whisky de la rivière Spey ! En chef de la débacle notre Did national, loin des légendaires chefs Celtes et encore plus loin de la stratégie de Sir Alex, notre highlander s’est ce jour-là transformé en joueur de cornemuse. La prestation de Junas était théatrale et aurait pû dignement participer au fameux festival de théatre de rue d’Edimbourg, peut-être une vocation future. Poutant le clan McAubais, n’était à priori pas une forteresse imprenable, sous l’air du Flowers of Scotland ils se sont pourtant régalés, enfilant les buts à la façon des Rangers face à Kilmarnock. Un voyage à oublier bien vite dans les rangs des Capitelles mais pourtant tout le détail de la rencontre et les prestations personnelles furent disséqués le lendemain dans le « Scotmans » genre de Figaro local.

L’humidité Ecossaise n’étant pas le point fort de la cité Gardoise, fallait changer radicalement d’air, revenir aux B.A BA du jeu, dans un lieu où les esprits ne hantent pas les jambes, fallait retrouver du sérieux dans la préparation, de la rigueur dans les choix tactiques, quitte à délaisser le paysage ou les beaux gestes, mais retrouver l’efficacité histoire de se rassurer. Traverser le Rhin, au cœur de la Bavière d’Aigues-Vives et de son brouillard tranchant, non pour ingurgiter des sots de bières ou s’éclaircir les amydales en sirotant du schnapps mais retrouver le goûts de la victoire bien sûr.

Pour cette opposition, notons la colonne vertébrale Germano-Junassole, Pat Kopke dans les buts, Mac Kaiser en libéro, Ballack-Fraise à la baguette et Brandade-Hrubesh en pointe. Un score de 4 buts à 3 aux abords de la Forêt Noire et une victoire enfin retrouvé sans qu’il n’y es grand chose à redire. La culture Germanique se veut froide comme l’efficacité des Jaunes et Noir ce jour-là, une étape pas inoubliable mais le début d’une reconquête, un tournant incontournable dans le long périple de la saison 2010/2011. Que l’on soit vu façon Himmler ou façon Schindler peu importe, l’important était de renvoyer ces Goths à leurs chères études et redonner un peu d’espoir à Junas histoire d’entrevoir une éclaircie dans ce début de saison bien sombre. La suite du programme fût une nouvelle et belle victoire aux abords du Danube héraultais, Villetelle, et leur technique façon CCCP des années 80. Mais le match tant attendu étant bien evidemment le derby face à nos meilleurs ennemis, ils nous hérissent, nous provoquent, nous ignorent, nous battent rarement mais c’est ainsi fait, on ne peut pas s’en passer, Congénies, les plus ritals de nos adversaires annuel. On les as dominé, bouffés, surclassés mais à la fin ils sortent un orteil façon Pippo Inzaghi, un cheveux à la Lombardo (1 verre à celui qui se rappelle où jouait ce type. Mickey tu joue pas toi !) et un péno foireux d’un plongeon Penna Bianca et ils t’ont planté 3 pions, il ne reste alors plus qu’à visiter le jardin des miracles et prier sur la Place St Pierre pour que pareille mésaventures face à la colonie voisine ne se reproduise plus. Les beaux parleurs ressortirent leurs trompettes durant l’après-match sous l’air du Sole Mio, heureusement un petit goût de Provence est toujours là en cas d’urgence.

Comme cela arrive quelquefois dans ces excursions désorganisé, un sérieux couac se présenta, une trêve longue comme une route de corniche et tout autant escarpé pour la bonne entente et l’avenir de l’équipe, mais il fallait passer par-là, c’était la seule route, non sans mal mais le JO s’en est sortit indemne évitant la sortie de route fatale. Après des retours maitrisés plus ou moins bien face à Aubais (un bon nul) et Aigues-Vives (défaite), ce qui devait être le clou du voyage, le grand site exceptionnel de la Copa est apparu bien plus terne que prévu, la faute à un bus de touristes bien irrespectueux qui gachèrent bien la belle journée mise en place par les joyeux GO du JO. Mais la dernière étape fût, heureusement, une bien belle réussite, dans notre bonne vieille France et plus précisemment le Sud où on fait bien vivre. Une défaite malgrè tout par des couches-tôt et des buveurs de Perrier, donc lutte complètement inégale, mais la cuisine maison, sifflard, Jàmon, cahouètes le tout servit par un breuvage local, tout en tradition à l’ancienne firent terminer ce voyage 2010/2011 sur une bonne note. Côté résultats, les années précédentes furent bien meilleures mais comme les grandes équipes ne meurent jamais, quelques saisons par-ci par-là dites de transition sont necessaire parfois pour pouvoir repartir d’un bon pied, préférant tout de même celui à la Fraise qu’à Jourdanov…Reprise très bientôt car premier Rendez-vous de la saison, le 9 septembre, calendrier bientôt disponible.

mardi 28 juin 2011

Saison 2010-2011 : Les aventures de Junas...d'aprés Ménes

Le début de cette histoire se déroule à la fin de l’été dernier, une chaleur étouffante écrase une petite bourgade gardoise, Junas, un peu endormis sous les lourdes températures :
- Y cogne le type hein ?
- T’as raison con, j’ai passé la journée dans la piscine…
Mais, un événement va réveiller certains personnages étranges de la cité, ils se font appeler les vieux ou les vétérans voirent les loisirs pour certains et ils régnent en maître sur le ballon rond Junassol et aujourd’hui une nouvelle importante les attends…saperlipopette c’est la reprise de l’entraînement !
Les mines déconfitent, des yeux rougis par le jaune de l’été, encore quelques grains de sables traînant au fond des oreilles et voilà qu’un étrange objet atterit sur la pelouse, POK ! un ballon !
- Le Jourdanov, il s’est marié avec son canapé celui-là ?
Tout le monde n’est pas encore au rendez-vous, évidemment, mais les accrocs du pré vert nage dans des idéogrammes ressemblant au paradis sur terre. Ces Boit-sans-Soif démarre, les O’Timmins d’un côté, les O’Haras de l’autre et le rond central au milieu, enfin celui-là on l’imagine…Ce qui ne sera pas un mirage c’est la bouteille promis à la fin de ce premier tome afin de démarrer la série du bon côté des planches :
- Oh Baumettes t’as pas oublié les cubes ?
- Tu me prends pour qui minot ? quand je dis quelque chose je le fais moi ! t’as compris garçon !
Le décor est désormais planté, les héros en place, la saison peut démarrer. Petite présentation…Le gardien du sang, certes il ressemble un peu à un célèbre reporter à la houpette mais là, on y a ajouter quelques kilos superflus, un attachement curieux pour l’empire Britanique, une dose de mystère…my Goodness ! c’est Pat qui entre en scène ! PAF ! sur la barre ! On l’appelle parfois le yéti ou le Migou dans certaines contrées, à Junas c’est Titi, genre de Vergincétorix de Carnaval, autant de poils dans le dos que de verres ingurgités par Christophe dans une saison, mais rugueux et imposant, lorsqu’il entre en scène ça décoiffe par Toutatis ! La défense du royaume est une affaire de pirates d’eau douce, pour Fifi pas besoin de plans panoramiques pour comprendre son jeu, le Rastapopoulos de l’équipe, c’est lui, un vrai filou le type, il t’emmene un carton de Pinard et bizarrement il disparaît le lendemain, le négrier des vignes, côté ballon c’est kif-kif, tu pars seul au but et BOUM ! tu manges le gazon…Ces trois hérétiques ne sont qu’une panoplie très faible de ce qui compose la cavalerie de Junas, mais en ce qui concerne les autres cow-boys des terrains on y reviendra un peu plus tard, la saison est longue.
Après ces premières planches de l’album de la saison, les autres entraînements se succédèrent, les scénaristes eurent l’idée de toujours terminer de la même façon, pas de banquet ni de sangliers mais plutôt une réunion autour d’une boisson énergisante à bases de plantes jaûnatres ou verdâtre selon les goûts, inutile de s’éterniser à faire un dessin ou une dédicace, tout le monde a ces images en tête.
- 10h30 ! je vais me faire tuer les gars, faut que je rentre !
- T’as raison presque 4h00 d’entraînement chaque semaine, la reprise est dure !
Mais la vie dans cette équipe n’est pas un One-Shot, les évènements se succèdent au rythme des rebondissements permanent, mais le premier tournant pointe le bout de la page, l’introduction est désormais terminé, on passe au vif du sujet : Vauvert ou le premier révélateur, l’histoire aura t-elle un sens ou tout ceci n’est-il pas voué à un échec commercial certain ? L’aventure débute ici, enfin, contre un ancien héros d’un lointain passé, une époque où les histoires se contaient différemment, Cyrilou accueille ses anciens partenaires de fortunes. Point besoin d’onomatopée pour décrire le bruit du ballon entrant en contact avec le filet, lui il connaît bien ce son et compte bien le faire écouter aux défenseurs jaunes et noir. Soudain, dans l’obscurité d’un banc de touche, un étrange personnage caché dans la pénombre aiguise ses couteaux…la typographie enjoué, le lettrage acerbe, cet espion-là ne loupe pas une miette du spectacle proposé ce soir. Une canette de Heineken dans les pognes, il trouve toujours un complice ou deux pour exposer ses méfaits, le coup risque d’être fûmant.
Sur le terrain, Juju ouvre le bal et le score, premier but de la saison au bout de quelques secondes, malheureusement la suite est une cascade de déconvenues, le Général Alcazar de la défense, Pascalou pour ne pas le nommer, enhardit ses camarades à la mi-temps, l’idée ? une révolution bien-sûr, faire reculer les capitalistes d’un soir et prendre le pouvoir, réussir le coup d’état parfait en somme. Malheureusement pour sa cause, les locaux triomphe mais les Junassols tombe en brave, le marshall Did est fier mais aucun son ne sort des phylactères, trop occupé à goûter le met local.
Pendant ce temps là, l’homme à la Heineken s’est fondu au groupe, mais que prépare t-il ?

Suite au prochain épisode…

samedi 21 mai 2011

Junas 4 vauvert 5

Je vais tenter de faire un compte rendu le plus impartial possible !
Mais avant cela je voudrais souligner le super boulot de l'association lors du week-end sportif qu'ils ont organisé. Malgré un début et une fin difficile, tous les bénévoles se sont données à bloc et les festivités ont été réussi. Un grand merci à eux ! (et je ne fais pas campagne électorale, je suis habitant de Calvisson maintenant !!!)
J'aurai aimé aussi, que Manu, lui qui a joué avec nous pendant de longues années, nous fasse un signe d'excuse à travers ce blog ou ailleurs, car la finale de la copa avec son équipe, ne s'est joué que 5mn alors que de nombreux enfants et bénévoles autour du Stade attendaient cela...
Bref !
A l'heure où j'écris ces lignes Lille est Champion, J'imagine la joie de quelques supporter de l'esclafidou ou bien celle d'un coach junassol fanatique de l'équipe chti ! Le champagne doit couler à flot dans les chaumières !
Mais revenons au Match d'hier soir ! Je préviens tous les lecteurs, je ne me mesurerai pas au grand maitre capello de notre Blog ! Pour cela, je vais changer la forme de ce compte rendu :

Tout d'abord la défense : elle a beaucoup souffert, de la chaleur, mais surtout de l'adversaire !

PAT : sobre, efficace, autoritaire, du haut de son mètre quatre vingt dix, ses sortis sur corner ont été essentielles ! Il n'a d'ailleurs pris que 2 but sur cette phase de jeu ! Bref aussi rassurant que Castaneda en demi finale de coupe d'europe des club champion en 1990 ! A sa décharge, et pour n'être pas tout à fait malhonnête, il a pris 2 buts sur coup de pied arrêté et un but contre son camp, dur, dur...
TITI : sur son aile, son attaquant lui a mis un vent de 15 ans ! Mais sa ténacité a été plus forte, notre highlander des terrains s'accroche, à l'image d'un Maldini au Milan AC, et on s'en réjouit !
JOURDANOV : Le Gros souci de notre défense centrale : il nous a été impossible de tchacher pendans le match !!! Trop occupés ! notre stoppeur local a colmater les brèches !!! Toujours aussi hargneux, notre spécialiste des pénalty, nous régale, il rend un bel hommage à son un ancien compatriote : Vaghiz Khidiatouline !
PASCALOU : difficile de parler de soi à la troisième personne... Un retour attendu...et il a été éclatant, un style beckenbauerien...une petite erreur qui est passé inaperçue, mais obligé de le souligner en tant qu'apprenti journaliste... un tout petit but contre son camp... surement due à une pelouse mal tondue ou bien un soleil trop bas, à moins que ce soit un coéquipier qui l'est déconcentré ? Les livres d'histoire nous raconterons leur vérités !
FIFI: Notre Daniel Alves !!!!! Sa relance toujours en avançant ! il est à l'origine de l'avant dernier but grace à son jeu pugnace et positif !
Baumette : à mi chemin entre casoni et Ferdinand, notre bucheron a découpé très peu de bois pour cet hiver ! espérons qu'il ne fasse pas trop froid !!!

Le Milieu a beaucoup souffert aussi, mais de la chaleur uniquement !

CHRISTOPHE : en voilà un qui touche le ballon ! tel un makelele des grandes années sans la couleur et avec quelques kilos de plus, notre milieu a été omniprésent !!! Il a donné quelques passes décisives, mais il n'a pu marqué ! Mais comme disait Desproges à propos d'himmler revenant de la campagne hollandaise : on ne peut pas être au four et au moulin !!!! (fin de la citation) !
ARNAUD : notre milieu de terrain aux allures de Matthieu Bodmer ! son entente avec FIFI est aussi évidente qu'une poule avec un renard ! Notre homme de verre a fait une meilleure deuxième mi temps notamment après les encouragement de sa femme (tu t'es pas blessé cheri ?)
MICKEY : aahhh, notre Carmelo michiche !!! Ce coup ci nous avons eu droit à celui de 1988 !!! présent sur toutes les attaques junassoles, buteurs, passeurs, il volait sur le terrain tel une libellule au dessus de corbière !
PATOU : Aie, sujet épineux, pas le droit de taper sur la famille... On va dire qu'il a un jeu similaire à ... Sauzet ! Mais pas celui de 1994, plutôt celui du commentateur d'Orange TV ! On a remarqué sa belle frappe en fin de match... Ah.. personne ne l'a remarqué ????

L'attaque n'a pas souffert, ben oui ils attaquent !

OLIVE O9 : fini la brandade ! notre attaquant déborde toujours et peu importe la manière ! le jeunot de 17 ans qui faisait office d'arrière droit vient d'annoncer la fin de sa carrière ! cette façon de marcher en avant sur son défenseur nous fait penser à un joueur d'un autre sport avec de long cheveux et une grande barbe (non ce n'est pas le père noel)... a noter son penalty réussi et sans trembler (lui !) à la dernière minute !
JUJU : grâce sa technique sure, notre Peter Crouch de l'esclafidou, efficace (un but), et utile dans l'entre jeu, il a fini le match sans se blesser !
ANTONY : aaaaaaaaaah, le tripoteur des Carpates, le Gheorghe Hagi junassol ! Même remplaçant il est capable de recevoir des passes de ses coéquipiers !!! On ne lui en voudra pas de confondre nostradamus avec un ipad !

Deux mots sur nos adversaires : trop jeune.

supporters : femmes + enfants + deux coach un peu moqueur...

3 eme mi temps : pas de folie, tout le monde s'est tenu à carro !

Prochain match : le samedi 4 juin à 10 h : foot en salle à Milhaud. Juste avant la garden party à Corbiere !!!

J'espère que notre journaliste viendra au prochain match ! c'est épuisant d'être apprenti !

Pascalou.






jeudi 28 avril 2011

Le Tableau de la Copa 2011

8h45 : Accueil des équipes
9h30 : Les Pompiers de Lunel - Les Collègues (Poule A)
9h30 : Les Coaches - Anaïs Team (Poule B)
9h45 : La Jeunesse - Les Péruviens (Poule C)
9h45 : Mourinho Boys - Joe le Taxi (Poule D)
10h00 : Carrefour - Les Bleus (Poule A)
10h00 : Seaciens - U13 (Poule B)
10h15 : DHL - Damien & Co (Poule C)
10h15 : Les Vieux - PFC (Poule D)
10h30 : Les Collègues - Les Bleus (Poule A)
10h30 : Seaciens - Les Coaches (Poule B)
10h45 : Péruviens - Damien & Co (Poule C)
10h45 : Mourinho Boys - PFC (Poule D)
11h00 : Carrefour - Les Pompiers de Lunel (Poule A)
11h00 : Anaïs Team - U13 (Poule B)
11h15 : DHL - La Jeunesse (Poule C)
11h15 : Les Vieux - Joe le Taxi (Poule D)
11h30 : Les Collègues - Carrefour (Poule A)
11h30 : U13 - Les Coaches (Poule B)
11h45 : La Jeunesse - Damien & Co (Poule C)
11h45 : Joe le Taxi - PFC (Poule D)
12h00 : Les Pompiers de Lunel - Les Bleus (Poule A)
12h00 : Seaciens - Anaïs Team (Poule B)
12h15 : DHL - Péruviens (Poule C)
12h15 : Les Vieux - Mourinho Boys (Poule D)
12h30 : Fin des matches du 1er tour
12h30 : OUVERTURE DE L'APÉRO
14h30 : match 1 : 1/4 de finale - 1er poule A - 2ème poule B
14h30 : match 2 : 1/4 de finale - 1er poule B - 2ème poule A
14h45 : match 3 : 1/4 de finale - 1er poule C - 2ème poule D
14h45: match 4 : 1/4 de finale - 1er poule D - 2ème poule C
15h00 : match 5 : 1/4 de finale Consolante : 3ème poule A - 4ème poule B
15h00 : match 6 : 1/4 de finale Consolante : 3ème poule B - 4ème poule A
15h15 : match 7 : 1/4 de finale Consolante : 3ème poule C - 4ème poule D
15h15 : match 8 : 1/4 de finale Consolante : 3ème poule D - 4ème poule C
15h30 : Match 9 : 1/2 finale : vainqueur match 1 - vainqueur match 2
15h30 : Match 10 : 1/2 finale : vainqueur match 3 - vainqueur match 4
15h45 : Match 11 : 1/2 finale consolante : vainqueur match 5 - vainqueur match 6
15h45 : Match 12 : 1/2 finale consolante : vainqueur match 7 - vainqueur match 8
16h00 : Match pour la 3ème place : Perdant match 9 - Perdant match 10
16h15 : Finale de consolante : vainqueur match 11 - vainqueur match 12
16h30 : FINALE : vainqueur match 9 - vainqueur match 10
17h00 : remise des prix
17h30 : Apéro de clôture

mercredi 27 avril 2011

La grand Messe de la Copa : Tirage des Poules

Il y a tout juste un an, les Mac Junas triomphait lors de la deuxième édition de la Copa de Junas, ils battaient dans une improbable finale les tenants du titre, Carrefour, dominateur mais muet lors de ce match. La tactique Junassole avait alors été vivement critiqué tant le spectacle proposé était pauvre et tant cette équipe avait subi lors des 1/2 finale et finale mais au bout du compte qui s'en souvient aujourd'hui ? Tout le monde, certes, mais n'est-ce pas le résultat qui compte ? Quelle autre équipe n'aurait-elle pas agit de la sorte en sachant le résultat obtenue? D'autres ont bien essayé mais une seule est parvenu à ses fins. N'est-ce pas l'apanage des grandes équipes qui gagnent tout en jouant mal ? A défaut d'un jeu flamboyant, le trophée 2010, on ne leur enlèvera pas, ils l'ont mérité car ils l'ont gagné sur le terrain et dimanche ils remettent leur titre en jeu.
La Copa 2010 est morte, vive la Copa 2011. Un plateau alléchant avec quelques bonnes formations et un résultat final assez indécit même si, bien entendu, quelques favoris se dégage. A tout seigneur, tout honneur, les tenants, les feu Mac Junas devenu un an aprés les Mourinho Boys... Si leur jeu est aussi ridicule que leur nom ça promet ! Une formation qui a subi quelques transformations, leur capitaine Mac, tout d'abord, transféré à prix d'Or chez l'autre équipe Junassole, les ennemis en quelques sortes, les Coaches, le héros de la victoire, Diegolito, absent cette année ayant préféré se retirer au sommet de sa gloire, car tout n'est jamais écrit d'avance dans le football mais ça c'est une certitude, il ne pourra jamais rééditer son exploit. Au niveau des arrivées, transfuge des Bigs, Patou épaulera les autre attaquants de l'équipe et Richard apportera son expérience et son savoir faire au milieu de terrain, en tout cas une équipe résolument offensive cette année, comme quoi les critiques de l'année dernière ont certainement dû marquer certains esprits. L'autre équipe qui aura le privilège d'évoluer à la maison, les Coaches, demis finalistes malheureux, à l'époque Big Junas, a subit également quelques transformations, outre l'arrivée de Baumettes et le forfait de Menes, l'ossature est resté la même, un défaut peut-être son manque d'attaquants, alors certes Anthony devrait les rejoindre mais leur science tactique devront être au sommet et l'imagination à fleurs de peau pour espérer marquer des buts à moins que l'arme secrète ne soit enfin utilisé, Jourdanov avant-centre ! Vainqueur la première année, finaliste malheureux la saison passée, les carrefours font une nouvelle fois partie des grands favoris. Alors le boucher, le charcutier ou encore le sommelier seront-il une fois encore au rendez-vous ? En tout cas, l'ami Manu, qui je l'espère n'oubliera pas son tabouret cette fois, compte bien reconquerir le Saint-Graal Junassol.
La Jeunesse, sur le podium lors des deux premières éditions, arrivera t-elle enfin à soulever le trophée de champion ? C'est tout le mal qu'on leur souhaite et il ne leur a pas manqué grand chose à chaque fois, un brin de réussite en plus et le succès ne sera pas loin, mais comme je vous le redit, le plateau 2011 est bien relevé. Enfin, parmi les favoris, DHL est également à mettre dans cette catégorie, si leur deux extra-terrestres sont présent sur le pré, ils risquent de faire mal à beaucoup de monde...
Mais la Copa, c'est pas seulement les grosses armadas, il y a peu des côtes de bookmakers sont apparus sur ce blog, voilà des équipes côtés à 2000 contre 1 voire plus, l'Anaïs Team, Joe le Taxi ou encore Damien & co font partie de ces formations, indispensable au tournoi car ils ne sont là que pour apporter ce brin de fraîcheur que parfois il nous manque tant. Quelques outsiders avant de passer au tirage au sort, Les Pompiers de Lunel, première participation à la Copa pourrait bien en fait en surprendre plus d'un, ah s'il n'y avais pas de coupure à midi et pas d'apéro proposé, nul doute que les Seaciens glanerait allègrement une place sur le podium, mais à chacun ses objectifs, la victoire finale ou la consolante, c'est un peu la Ligue des Champions et l'Europa League de Junas.
Avant le tirage un petit mot sur le règlement, 4 poules de 4 équipes, les 2 premiers qualifiés pour la phase finale, les deux suivants pour la consolante. Petite évolution par rapport à 2010, élimination directe pour la suite dans les deux tableaux, avec l'apparition des 1/4 de finale avant les 1/2 et la finale évidemment. A savoir qu'en quart de finale les tableaux se croiserons, le 1er de la poule A rencontrera le second de la poule B, le second de la poule B face au premier de la poule A, idem pour les deux autres poules, 1C-2D et 2C-1D. Les rencontres se déroulant toujours sur une seule mi-temps de dix minutes. Mais le gros bouleversement sera au niveau de l'arbitrage, car il sera demandé à chaque équipe de désigner un ou plusieurs arbitres parmi leur effectif afin de diriger d'autres rencontres du tournoi, mais pas dans la même poule ou le même tableau évidemment que leur formation. Encore plus que les saisons passés, il sera demandé un plus grand respect envers ceux qui voudrons bien officier car pour que la Copa vive, le respect, la convivialité et la bonne humeur sont essentielle, nous sommes là avant tout pour s'amuser de notre passion.
Le tirage, avec comme tête de série les 4 équipes demi-finaliste en 2010.
Poule A : Carrefour - Les Pompiers de Lunel - Les Collègues - Les Bleus
Poule B : Les Coaches - SEAC - Anaïs Team - Les U13
Poule C : La Jeunesse - Péruviens - DHL - Damien & Co
Poule D : Les Mourinho Boys - Joe le Taxi - Les Vieux - PFC

Voilà, je vous laisse à vos réflexions e vous donne rendez-vous dimanche pour la Grande Copa de Junas 2011.