mardi 16 août 2011

SAISON 2011/2012 : le signal de départ

A quelques heures de la rentrée des classes pour les footeux loisirs du Junas Omnisports, après les éternels bilans de la saison passées et les objectifs qui pleuvent ici et là pour la nouvelle, je vous propose justement de faire un petit tour de ce qui attends cette équipe lors de ce nouvel execrice 2011/2012.

En effet, le calendrier officiel est sortis depuis quelques semaines déjà, scrutons-le plus en détail.

09 septembre 2011, AUBAIS-JUNAS, le premier rendez-vous de la saison s’annonce assez rude car très bonne heure dans la saison, les goutelettes jaunes dégoulinerons-telle encore du corps suave de nos athlètes ? De mauvaises langue disent que de toute façon elles coulent toute l’année ! Petit rappel de la saison précédente, un nul à Congénies (2-2) et une branlée prise à Aubais (7-3). Non, je ne rappelerais pas au coach son superbe match de ce jour-là mais à charge de revanche. Petite incertitude, ce premier match à l’extérieur pourrais se dérouler à Junas, à suivre…

07 octobre 2011, JUNAS-GALLARGUES, des nouveaux venus pour la première à domicile, les pensionnaires du péage A9 nous rendrons une petite visite qui je l’espère restera gravé dans leur mémoires comme un sacré camouflet ! C’est pas pour mettre la pression mais on va pas se faire dicter la loi sur notre terrain par des nouveaux promus !

21 octobre 2011, CONGENIES-JUNAS, le premier classico de la saison aura lieu au Stadio Monumentale, inutile de révéler l’importance de cette rencontre, défait la saison dernière sur cette pelouse, il s’agira d’être vigilent car c’est peut-être fini le temps où Junas mettait une valise systématique aux voisins.

4 novembre 2011, JUNAS-AIGUES-VIVES, le rythme soutenu des rencontres en cette période de l’année sera l’inconnu, les Jaunes et noirs auront-ils encore du carburant dans les jambes ? dans le gosier je n’en doutes pas mais les rencontres face à Aigues-Vives sont souvent indécises d’un match à l’autre, exemple victoire à l’extérieur et défaite à domicile pour l’exercice précédent.

25 novembre 2011, VILLETELLE-JUNAS, vu la date de cette rencontre, il est jamais aisé de jouer au foot dans ce stade Louzniki de Moscou/Villetelle. Souvenez-vous de la première sur ce terrain ressemblant étrangement à la banquise, notre boule communale en a encore les stigmates. Une seule rencontre l’année dernière avait vu la victoire Junassoles (2-1) en terre héraultaise.

9 décembre 2011, VAUVERT-JUNAS, deuxième déplacement d’affilé pour terminer l’année 2011, pas le plus aisée loin s’en faut, contre les mobylettes du championnat. Retrouvaille également avec l’ancien goléador des temps de gloire, Cyrilgoal, et une victoire assuré pour la 3ème mi-temps, Coca face à 51, vive les produits locaux !

13 janvier 2012, JUNAS-AUBAIS, fini les trêves allemandes de la saison précédente, la ligue Mickey a rectifié le tir mais attention aux restes du réveillons, je ne parle pas forcemment des chocolats mais des breuvages pétillants plus dur à digéré pour certains.

20 janvier 2012, JUNAS-VAUVERT, déjà les retrouvailles face aux U19, pas de surprises dans la composition des équipes comme cela peut parfois se produire entre le début et la fin de la saison, le moment idéal pour faire la différence et creuser l’écart avec les concurrents

16 mars 2012, JUNAS-VILLETELLE, là par contre une coupure plus longue que celles des dindes de Noël, histoire de permettre aux meilleurs éléments de se ressourcer en montagne en évitant les fractures, les ligaments ou autres vins chauds bien entendu.

30 mars 2012, GALLARGUES-JUNAS, cette fois on les connaîtra un peu mieux et on découvrira une nouvelle enceinte, en naming bien entendu, le Stade Autoroute du Soleil, nous accueillera pour une première que l’on espère tous réussi.

1er mai 2012, COPA de JUNAS, c’est toujours une équipe Junassole qui détient donc le trophée, dont l’objectif majeur pour les organisateurs sera de terminer le tournoi et plus précisemment d’organiser une finale avec deux vrais équipes et pas des charlots comme ce fut le cas par le passé.

4 mai 2012, JUNAS-CONGENIES, seulement trois jours après la Copa voilà le derby qui débarque ! Il est possible que certains organismes ne tiennent pas le choc, et pourtant…pas question bien evidemment de laisser filer un classico, si ça trouve se sera une revanche sur la finale disputé trois jours plus tôt. Ce match de gala sera également la clôture à domicile pour la saison.

1er juin 2012, AIGUES-VIVES-JUNAS, c’est sur ce match là que, théoriquement, le Junas Foot Loisir sera sacré Champion, sur le billard du Camp Nou d’Aigues-Vives, la cérémonie qui s’en suivra sera forcement folle et émouvante.

Petit rappel pour finir sur certaines règles mise en place et à respecter pour cette saison. Impératif d’avertir le coach par voie de blog ou mail ou téléphone, au maximum trois avant la rencontre de sa présence au match ou non, les mésaventures de l’année passé de découvrir si l’équipe est complète ou non le vendredi à 18h sont à éviter fortement, ne serais-ce que par respects de nos adversaires qui commande et prépare l’après-match à l’avance. Un petit papier avec quelques coordonnées et le récapitulatif du calendrier sera distribué lors des premiers entraînements. Bonne saison à tous et Allez Junas !

lundi 8 août 2011

Saison 2010/2011 : Les aventures de Junas d'aprés Ménes (le temps des voyages)

Comme il est de coûtume dans ce genre de récit, le deuxième tome des aventures de Junas va nous faire un peu voyager. Première destination du Menes Tour operator : l’Ecosse, ses fantômes, ses châteaux, ses kilts et…sa douche mémorable comme celles pris par nos Pieds Nickelés face aux voisins d’Aubais. L’une des plus grosses déculottés prise par des Junassols depuis des siècles. Une défense fantômatique, des joueurs clés hantés par leurs démons, nul de William Wallace dans la formation jaune et noire, un score de Rugby, ou presque, à croire que tous les joueurs avaient commencer la soirée par la troisième mi-temps en dégustant tous les Whisky de la rivière Spey ! En chef de la débacle notre Did national, loin des légendaires chefs Celtes et encore plus loin de la stratégie de Sir Alex, notre highlander s’est ce jour-là transformé en joueur de cornemuse. La prestation de Junas était théatrale et aurait pû dignement participer au fameux festival de théatre de rue d’Edimbourg, peut-être une vocation future. Poutant le clan McAubais, n’était à priori pas une forteresse imprenable, sous l’air du Flowers of Scotland ils se sont pourtant régalés, enfilant les buts à la façon des Rangers face à Kilmarnock. Un voyage à oublier bien vite dans les rangs des Capitelles mais pourtant tout le détail de la rencontre et les prestations personnelles furent disséqués le lendemain dans le « Scotmans » genre de Figaro local.

L’humidité Ecossaise n’étant pas le point fort de la cité Gardoise, fallait changer radicalement d’air, revenir aux B.A BA du jeu, dans un lieu où les esprits ne hantent pas les jambes, fallait retrouver du sérieux dans la préparation, de la rigueur dans les choix tactiques, quitte à délaisser le paysage ou les beaux gestes, mais retrouver l’efficacité histoire de se rassurer. Traverser le Rhin, au cœur de la Bavière d’Aigues-Vives et de son brouillard tranchant, non pour ingurgiter des sots de bières ou s’éclaircir les amydales en sirotant du schnapps mais retrouver le goûts de la victoire bien sûr.

Pour cette opposition, notons la colonne vertébrale Germano-Junassole, Pat Kopke dans les buts, Mac Kaiser en libéro, Ballack-Fraise à la baguette et Brandade-Hrubesh en pointe. Un score de 4 buts à 3 aux abords de la Forêt Noire et une victoire enfin retrouvé sans qu’il n’y es grand chose à redire. La culture Germanique se veut froide comme l’efficacité des Jaunes et Noir ce jour-là, une étape pas inoubliable mais le début d’une reconquête, un tournant incontournable dans le long périple de la saison 2010/2011. Que l’on soit vu façon Himmler ou façon Schindler peu importe, l’important était de renvoyer ces Goths à leurs chères études et redonner un peu d’espoir à Junas histoire d’entrevoir une éclaircie dans ce début de saison bien sombre. La suite du programme fût une nouvelle et belle victoire aux abords du Danube héraultais, Villetelle, et leur technique façon CCCP des années 80. Mais le match tant attendu étant bien evidemment le derby face à nos meilleurs ennemis, ils nous hérissent, nous provoquent, nous ignorent, nous battent rarement mais c’est ainsi fait, on ne peut pas s’en passer, Congénies, les plus ritals de nos adversaires annuel. On les as dominé, bouffés, surclassés mais à la fin ils sortent un orteil façon Pippo Inzaghi, un cheveux à la Lombardo (1 verre à celui qui se rappelle où jouait ce type. Mickey tu joue pas toi !) et un péno foireux d’un plongeon Penna Bianca et ils t’ont planté 3 pions, il ne reste alors plus qu’à visiter le jardin des miracles et prier sur la Place St Pierre pour que pareille mésaventures face à la colonie voisine ne se reproduise plus. Les beaux parleurs ressortirent leurs trompettes durant l’après-match sous l’air du Sole Mio, heureusement un petit goût de Provence est toujours là en cas d’urgence.

Comme cela arrive quelquefois dans ces excursions désorganisé, un sérieux couac se présenta, une trêve longue comme une route de corniche et tout autant escarpé pour la bonne entente et l’avenir de l’équipe, mais il fallait passer par-là, c’était la seule route, non sans mal mais le JO s’en est sortit indemne évitant la sortie de route fatale. Après des retours maitrisés plus ou moins bien face à Aubais (un bon nul) et Aigues-Vives (défaite), ce qui devait être le clou du voyage, le grand site exceptionnel de la Copa est apparu bien plus terne que prévu, la faute à un bus de touristes bien irrespectueux qui gachèrent bien la belle journée mise en place par les joyeux GO du JO. Mais la dernière étape fût, heureusement, une bien belle réussite, dans notre bonne vieille France et plus précisemment le Sud où on fait bien vivre. Une défaite malgrè tout par des couches-tôt et des buveurs de Perrier, donc lutte complètement inégale, mais la cuisine maison, sifflard, Jàmon, cahouètes le tout servit par un breuvage local, tout en tradition à l’ancienne firent terminer ce voyage 2010/2011 sur une bonne note. Côté résultats, les années précédentes furent bien meilleures mais comme les grandes équipes ne meurent jamais, quelques saisons par-ci par-là dites de transition sont necessaire parfois pour pouvoir repartir d’un bon pied, préférant tout de même celui à la Fraise qu’à Jourdanov…Reprise très bientôt car premier Rendez-vous de la saison, le 9 septembre, calendrier bientôt disponible.