mardi 28 mai 2013

PFC brillant Lauréat 2013

La Copa 2013 a donc vécu, si le format a dû être raccourci, le vainqueur n’est pas au rabais. Peu de bookmakers  les avaient prévu comme vainqueurs potentiels, mais la recette de ce succès ne souffre d’aucune contestations, du talent (deux extra-terrestres), de la maîtrise, un brin de bonne humeur et un soupçon de réussite nous offre de beaux vainqueurs 2013.
La finale fût acharné, légèrement dominé (peut-être) par nos EPO, mais quelques face à face remporté par le gardien PFCiste construit leur victoire. Un seul but, une belle contre-attaque rondement mené et les noirs et jaunes courèrent aprés le score longtemps, trop longtemps. 
D’un point de vue général, cette Copa fût assez réussi, pas du 100% mais pas loin. On regrettera juste quelques incidents qui nous rappelera quelques sombres moment de cette compétition mais pas de quoi tout remettre en cause pour un ou deux mauvais perdant, pour savoir gagner, il faut savoir perdre aussi mais ça, ce n’est pas dans les manuels, faut croire que cette Copa était qualificative pour la prochaine Coupe du Monde...
Passons sur ce moment qui ne vaut pas la peine de s’y éterniser, une journée enfin ensoleillé, des champions de l’apéro toujours au rendez-vous, le roi de la paëlla toujours fidèle, un crû 2013 difficile mais finalement bien fini.
Alors un grand merci aux huits équipes, à tout seigneurs tout honneurs, les PFC, morts de faim sur le terrain et bon esprit, une cinquième participation couronnée de succès, Nages, plus discret dans le jeu que l’année dernière mais pas aidé par la chance, l’année prochaine ça ira mieux, Seac, si on ne nous as pas volé notre comptoirs ils y sont pour quelques choses en espérant que la fête n’a pas été gâché, également une équipe historique de ce tournoi, Menthe à l’Eau, les caliméro de ce tournoi, vraiment trop injuste mais réveil un peu trop tardif peut-être, l’arrivée de Baumettes leur a quand même fait du bien mais l’honneur est sauf, ils n’ont pas perdu le derby. Adri Olympique, je ne vais rajouter plus que ce que j’ai dit plus haut, les Gard 98, comment dire ? Salvador 82 aurait été plus judicieux mais ils l’avaient déjà fait il y a quelques années, en tout cas un grand merci à Pascalou dont j’ai abusé (j’avoue, excuse-moi) de tes talents d’arbitre loyal, comme quoi perdre n’est pas une fin en soi...EPO, prés de l’exploit mais finalement un trophée de vice-champion n’est pas si mal, les vieux roublards n’ont pas démérité. Et enfin le FC United de notre ami Vlad, un peu juste quantitativement, ça leur a surement coûté la victoire mais pas le sourire ce qui est déjà bien.

La Copa 2013 est morte vive la 2014, d’ici là l’eau aura coulé sous les ponts, en espérant que le 1er mai sera à nouveau disponibles et 16 équipes au rendez-vous...

jeudi 23 mai 2013

Copa 2013 : le retour


Alors à 3 jours de la Copa 2013, qui aura eu bien des péripéties, un point sur le format proposé pour cette édition 2013 un peu remodelé. Tout d’abord on s’avance vers un tournoi à 8 équipes, la crême pourra t-on dire le meilleur du meilleur, les équipes qualifiés pour cette édition sont donc EPO, les Menthe à l’Eau, Seaciens (comptoir d’Or 2012), FC United (Vlad), Nages (3ème l’année dernière), Adri Olympiques (Romain), PFC (des habitués) et enfin Gard 98 (Pascalou).
Maintenant le règlement, il a fallu trouver une formule la plus interressante possible, j’espère que cela sera le cas; merci quand même de votre indulgeance s’il s’avérait que cela soit un fiasco
mais le but est de proposer quelques matches aux équipes présentes. Si on devait comparer cette formule cela serait façon Championnat du Monde de Hand, je m’explique et soyez attentif car je ne répèterais pas !
Tout d’abord chaque match sera de 15mn.
1er tour 2 poules de 4 classique là tout le monde comprends, victoire 3pts, nul 1pt, défaite 0pt, 2ème tour et c’est là que ça se complique avec 2 nouvelles poules de 4, les 2 premiers de chaque groupe avec les 3ème et 4ème, mais les points du 1er tour sont conservé pour le second. A noter aussi qu’il n’y aura que 2 matches par équipe pour ce second tour car on ne rejouera pas contre l’équipe dont on a joué le matin.
Les deux premiers de chaque poule se qualifiant pour la finale et les seconds pour le match pour la médaille de bronze. Il n’y aura pas de consolante cette année.
Exemple :
- poule A EPO arrive en tête avec 3 victoires donc 9pts, FC United second avec 6pts 3ème PFC et Gard 98 avec 1pt
- poule B Menthe à l’Eau 1er avec 7pts Seac 2ème avec 4 pts Romain 3ème avec 3pts et Nages 4ème avec 1pt
 2ème tour : 
- EPO bat Romain 5 à 0, Nages bat FC United 1-0 et EPO bat Nages 2-1, FC United et Romain 0-0
- PFC bat Menthe à l’Eau 1 à 0 , Gard 98 bat Seac 1-0 et Menthe à l’Eau et Gard 98 1-1, PFC bat Seac 2-0
classement final :
poule A : 1 EPO 15pts, 2 FC United 7pts 3 Nages et Romain 4 pts
poule B : 1 Menthe 8pts, 2 PFC 7pts, 3 Gard 5pts 4 Seac 4pts

Cette finale virtuelle opposerait donc EPO à Menthe à l’Eau, et le match pour la 3ème place FC United à PFC.

Au final, un minimum de 5 matches par équipe, j’espère que vous avez compris sonon je vous expliquerais ça dimanche à l’apéro

Pour le bon déroulement des choses rdv dimanche matin 7h30 au stade, il nous faudra un volontaire pour les grillades (plancha), sinon dès que nos hotesses d’accueil arrivrons (vers 9h30) acquittez vous du droit d’inscription afin d’éviter un bordel organisé. Les matches débuterons à 10h00 donc les équipes sont conviées à être là aux alentours de 9h30 afin de laisser le temps à tout le monde de règler les inscriptions et pouvoir démarrer sereinement.
Petit Rappel, EPO : Did, Patou, Yannick, Chris, Nono, Gégé et Willy
Menthe à l’Eau : Mickey, Greg, Greg Bedon, Thibaud Baumettes, Juju et Vincent Lauze

A dimanche

dimanche 19 mai 2013

Gallargues-Junas : 3-3 : les fantômes du fulgure-au-poing


Le chaud et le froid, le soleil et la lune, le tout et son contraire hier soir entre la première et la deuxième mi-temps, sur ce match. Un score qui ne reflète pas vraiment la physionomie de la partie mais il faut rendre à César ce qui appartient à César et louer, pour une fois, la combativité de nos adversaires, (ainsi que leur accueil et leur état d’esprit), d’un soir qui se sont battus avec leurs armes jusqu’au bout et on eu la récompense qu’il voulait.
Pour nos couleurs ce n’est évidemment pas la même chanson, comme on dit dans ces cas-là, on s’est battus nous même, certes pas de défaites mais c’est tout comme..Certains anciens de la saison passée se sont rappelé une mésaventure similaire mais cette fois ou presque, comme quoi la tête enfle un peu trop peut-être parfois ou la facilité prend le dessus sur l’efficacité. Entre tondeuse (Jourdanov prends en de la graine !), chemin de fer et odeur de croquettes le match débutait à 11 contre 11 des deux côtés, les remplaçants n’étant pas la bienvenue sur ce match. Côté noirs et Jaunes, Pascalou dans les cages, mais ça tournera, car sur 4 gardiens potentiels aucun n’était disponibles, une sorte de record, Baumettes et Vlad dans l’axe dans le seul et unique but, non pas de bloquer les attaquants adverses mais d’empêcher Vlad de monter, curieuse tactique pro-Corea du coach d’un soir ! Denis et le 51 sur les côtés, Dorian, efficace dépannage, en 6, Patou en 10, enfin en théorie à moins que ce ne soit Greg, Mickey Arnaud sur les côté et donc Greg et Willy devant. On pourrait aussi resortir quelques fantômes des tout récents Champions de France, Zlatan, Ménez ou Gameiro était également à un moment donné présents sur la pelouse mais de ça on y reviendra.
D’entrée de match, c’est le siège devant les buts Gallarguois, sorte de Fort Alamo Footballistique, les locaux peine à faire trois passes et à ressortir les ballons, le pressing Junassol est efficace et Pascalou se fait ch... tout seul dans ses cages, il voulait une reprise en douceur, le voilà servit !
Alors si on se met à décortiquer toutes les actions on en a jusqu’à la nuit, il y a bien eu une tête de Greg légèrement à côté, une de Willy que le gardien repousse, une frappe de Dorian, un face à face de Patou, quelques débordements de Mickey, j’en passe et des faciles. Sur un énième corner Junassol, frappé côté gauche par jéjé, Willy reprend comme il peut, le gardien repousse joliment mais dans les pieds de Dorian qui ouvre donc le compteur pour la soirée. Le temps d’engager et de laisser passer le Tourcoing-Aubagne qu’une relance rouge digne du championnat d’Azerbaïdjan profite à Patou qui tranquillement va battre de prés le gardien adverse, 2-0, ça devient trop facile, en face le moral est au plus bas et ce n’est pas le troisième but de Greg qui va changer la donne. Et c’est à partir de là qu’entre en scène le duo Zlatan-Ménez avec comme troisième protagoniste Chantome, l’anti-héros qui, altruiste décale idéalement Patou qui tout en finesse redécale à Zlatan, à toi à moi, ça s’amuse du côté des noirs mais le score ne bouge pas jusqu’à la pause où il n’est finalement «que» de 3 buts à 0 mais la seule question qui perturbe les visiteurs est combien vont-il en mettre en seconde ?
Nono dans les buts, dix secondes de jeu, frappe dans la lunette de l’attaquant de Gallargues, 3 buts à 1, il n’y a pas encore le feu à la baraque. Devant les vendanges continue, les stars Parisienne se passent le ballon et Gameiro toujours bien placé mais jamais servi attends les offrandes. Mickey s’obstine à centrer mais le gardien s’en sort toujours, parfois miraculeusement souvent par la maladresse et par facilité adverse, il faut bien l’avouer. Mais à force d’être le nez dans les vignes on en oublie le tracteur, et Gallargues passe la ligne médiane pour la seconde fois, la tactique est élémentaire, tout droit frappe et but. 3-2, l’espoir renaît côté Gallargue, la crainte côté Junassol s’installe. L’évènement de la soirée, un puissant éclair déchire le ciel en deux, les dieux du football, mécontent, transforme le Zlatan en Ahamada, Greg blessé au genou finit dans les bois et va tester le fulgure-au-poing de son enfance, du temps où il dégustait ses biscuits Bahlsen devant son verre de chocolat sur le canapé familial. Mais c’est dingue comme les souvenirs d’enfance sont souvent édulcoré et embellit, à croire que la mémoire d’enfance à un zoom fois dix parce que le fulgure-au-poing version 2013 et ben c’est pas terrible. Le souci avec la presse écrite est qu’il est parfois difficile de décrire l’inimaginable, un geste qui à coup sûr va rester dans les mémoires, bref vous avez compris, boulette du portier Junassol et trois buts partout, le fantôme d’Aigues-Vives est ressortit de sa tombe mais finalement le score en restera là et cette fois les Ultras n’y sont pour rien. A noter quand même notre "Gégé" qui a tapé dans l'oeil des adversaires :"Il faut bloquer le 51, tout le jeu passe par lui !" un vrai meneur de jeu notre boule ? Soit on est aveugle depuis quelques années déjà soit le gars parlait de l'apéro et là oui, tout le jeu de comptoir de notre Gégé national est à prendre en considération et à respecter, chapeau bas l'artiste !
Le ciel est tombé sur la tête des Junassols mais les têtes des noirs et jaunes sont dures, dans une semaine le tournoi, si le ciel reste calme, et c’est ce qui hantent désormais les fiers compagnons de l’horloge. Mickey tente la déstabilisation avec son annonce façon bon coin mais pour les tracas de la saison, le mieux est peut-être d’en débattre à la fin du dernier match. Scrutez bien le blog cette semaine, les nouvelles du tournoi seront affiché dans la semaine, équipes, rdv, etc...